(Q - Nabil : Mais, mais Michel, désolé de le dire comme ça, mais quand on arrive à la 10ème, on s'en fiche un peu des 9 premières et du cahier des charges, non ?)
MB : la10ème, elle a été illustrée comme les autres, hein ! La 10ème, elle répond à l'imaginaire de Max Valentin.
(Q – Nabil : Oui la 10ème elle est indépendante, si on veut non, elle se résout, elle a besoin de rien quoi, les chiffres sur notre tête, quoi, et ça ne s'appuie sur rien du tout.)
MB : Non mais j'ai déjà répondu là-dessus. J'ai dit quand on a fait le parcours des 9 premières énigmes, on a acquis une connaissance, j'ai comparé ça selon les moments à l'apprentissage d'une langue quand on acquiert un vocabulaire, quand on apprend à parler une langue, on acquiert un vocabulaire, puis ça devient, ça devient automatique, on emploie un mot, on ne réfléchit pas à quel mot on va employer, ça vient tout seul.
Eh bien, les notions qu'on va acquérir pendant les 9 premières énigmes, si elles ont besoin d'être appelées, si elles ont une utilité au moment de la super solution, elles viendront de cette manière. Les éléments qui pourront vous être utiles viendront aussi spontanément qu'un mot de de vocabulaire courant dans un langage que vous maîtrisez. Il n’y a pas besoin, c'est en cela que je me suis inscrit en faux contre la notion des reliquats parce que ça a tendance à dire on dissèque une solution, on dissèque une énigme, on en tire quelque chose et il y a un truc qu'on met de côté, …, mais c'est pas du tout ça.
On utilise tout ce qu'on a compris d'une énigme, on passe à l'énigme suivante et ainsi de suite. On fait son cheminement et le moment où on va être confronté à la super solution, si on a besoin d'une référence, d'un critère, d'un élément auquel on doit se rapprocher, ça va venir tout seul, on l'a en tête quoi.
MB : la10ème, elle a été illustrée comme les autres, hein ! La 10ème, elle répond à l'imaginaire de Max Valentin.
(Q – Nabil : Oui la 10ème elle est indépendante, si on veut non, elle se résout, elle a besoin de rien quoi, les chiffres sur notre tête, quoi, et ça ne s'appuie sur rien du tout.)
MB : Non mais j'ai déjà répondu là-dessus. J'ai dit quand on a fait le parcours des 9 premières énigmes, on a acquis une connaissance, j'ai comparé ça selon les moments à l'apprentissage d'une langue quand on acquiert un vocabulaire, quand on apprend à parler une langue, on acquiert un vocabulaire, puis ça devient, ça devient automatique, on emploie un mot, on ne réfléchit pas à quel mot on va employer, ça vient tout seul.
Eh bien, les notions qu'on va acquérir pendant les 9 premières énigmes, si elles ont besoin d'être appelées, si elles ont une utilité au moment de la super solution, elles viendront de cette manière. Les éléments qui pourront vous être utiles viendront aussi spontanément qu'un mot de de vocabulaire courant dans un langage que vous maîtrisez. Il n’y a pas besoin, c'est en cela que je me suis inscrit en faux contre la notion des reliquats parce que ça a tendance à dire on dissèque une solution, on dissèque une énigme, on en tire quelque chose et il y a un truc qu'on met de côté, …, mais c'est pas du tout ça.
On utilise tout ce qu'on a compris d'une énigme, on passe à l'énigme suivante et ainsi de suite. On fait son cheminement et le moment où on va être confronté à la super solution, si on a besoin d'une référence, d'un critère, d'un élément auquel on doit se rapprocher, ça va venir tout seul, on l'a en tête quoi.