(Q - Exalastro : Bah c'est bien ce que j'ai peur, c'est que c'est ce qu'on essaie de comprendre et d’éplucher chaque minute en se disant d'accord, mais merci pour votre réponse et alors j'en ai une 2ème, désolé pour la communauté et puis après je me tais à tout jamais, oui elle était importante pour moi parce que la question ça touche les visuels et vous avez dit l'importance d'associer visuels et textes, certaines énigmes, c'était important de ne pas trop dissocier l'un de l'autre puisque certaines fois on avait une confirmation par un visuel sur une théorie, tandis que là il était important de les associer ensemble. Quand vous dites le visuel, est-ce que le visuel du cahier des charges ou c'est par la plus grande, la fameuse coïncidence ultime que un jour, la personne, l'inventeur comprendra, est-ce que c'est votre imagination aussi qui s inclut dans l'association visuelle versus texte des énigmes.)
MB : C'est une très, très bonne question. C'est une très bonne question et je vais vous dire quelque chose que je n'ai pas encore dite jusqu'à présent, mais qui est très importante. Quand vous parlez des visuels moi je vous réponds cahier des charges, les visuels sont la résultante du cahier des charges. D'accord ? Qu'est-ce que le cahier des charges ?
Le cahier des charges, c'est la manière dont l'imaginaire de Max Valentin a envisagé d'illustrer ses propres énigmes. Ce n'est pas mon imaginaire, le cahier des charges, c'est celui de Max Valentin.
Les choix qui sont faits dans le cahier des charges, ce sont les siens. Ce ne sont pas les miens.
Moi, j'aurais peut-être pas du tout illustré les choses de la même manière, peut-être pas choisi les mêmes éléments, tous les éléments qui sont donnés dans le cahier des charges, d'ailleurs le seul sur lequel je sois revenu, c'est les fameuses pattes du coq que j'ai remplacées par l'œil du coq, parce que je trouvais ça plus précis.
Mais en dehors de ça on a on a affaire à l'imaginaire de Max Valentin. Posez-vous la question de vous dire, moi, j'ai tel énigme, prenons-en une que vous êtes sûr d'avoir bien résolue, y en a sûrement une dont vous êtes certain que vous l'avez bien résolue. Comment l'auriez-vous illustrée ? Est-ce que vous auriez choisi les mêmes éléments ? Est-ce que vous m'auriez donné à moi le même cahier des charges que celui que m'a donné Max Valentin ? Par-là, je veux dire qu’on est dans les éléments choisis, le coq, la boussole, ce que vous voudrez, les éléments qui étaient imposés dans le cahier des charges résultent de l'imaginaire de Max Valentin, pas du mien.
Ça, c'est la première fois que j'en parle et ça, c'est un truc qui m'est venu à l'esprit il n’y a pas très longtemps, en réfléchissant à tout ça et notamment en pensant à ce que je pourrais être, le cas échéant, amené à peindre en corrélation avec la super solution. Que m'aurait donné Max comme cahier des charges pour illustrer la super solution, que vais-je faire moi-même ? Et ça, c'est une question importante parce qu’autant Max a utilisé tout ce que moi j’ai, … la manière dont j'ai enjolivé, on va dire les images, tout ce que j'ai apporté, tout ce que mon imaginaire a pu greffer sur les images autant ce qui figure et qui est en corrélation avec le cahier des charges, répond à l'imaginaire de Max Valentin et pas au mien.
Et Max Valentin n'était pas spécialement un esthète, n'était pas spécialement quelqu'un de féru en matière d'art contemporain ou pas, ou d'histoire de la peinture et donc il avait un imaginaire, on va dire relativement basique.
Par rapport à ça, les choix qu'il a opérés, le cahier des charges qui m'a donné, je dirais que par rapport aux énigmes, c'est relativement basique.
Mais ça vous repositionne, si vous voulez les visuels, la partie des visuels où on a on a pu délirer, où vous avez pu vous égarer pendant un moment du fait que Max Valentin lui-même a laissé planer le doute sur les choses que j'avais pu représenter, c'est une chose, mais ce qui est important à considérer, c'est les éléments qu’il a demandé, c'est à dire que le cahier des charges, encore une fois, ce sont les images que lui avait imaginées comme étant celle qu’il devait associer à ces textes.
MB : C'est une très, très bonne question. C'est une très bonne question et je vais vous dire quelque chose que je n'ai pas encore dite jusqu'à présent, mais qui est très importante. Quand vous parlez des visuels moi je vous réponds cahier des charges, les visuels sont la résultante du cahier des charges. D'accord ? Qu'est-ce que le cahier des charges ?
Le cahier des charges, c'est la manière dont l'imaginaire de Max Valentin a envisagé d'illustrer ses propres énigmes. Ce n'est pas mon imaginaire, le cahier des charges, c'est celui de Max Valentin.
Les choix qui sont faits dans le cahier des charges, ce sont les siens. Ce ne sont pas les miens.
Moi, j'aurais peut-être pas du tout illustré les choses de la même manière, peut-être pas choisi les mêmes éléments, tous les éléments qui sont donnés dans le cahier des charges, d'ailleurs le seul sur lequel je sois revenu, c'est les fameuses pattes du coq que j'ai remplacées par l'œil du coq, parce que je trouvais ça plus précis.
Mais en dehors de ça on a on a affaire à l'imaginaire de Max Valentin. Posez-vous la question de vous dire, moi, j'ai tel énigme, prenons-en une que vous êtes sûr d'avoir bien résolue, y en a sûrement une dont vous êtes certain que vous l'avez bien résolue. Comment l'auriez-vous illustrée ? Est-ce que vous auriez choisi les mêmes éléments ? Est-ce que vous m'auriez donné à moi le même cahier des charges que celui que m'a donné Max Valentin ? Par-là, je veux dire qu’on est dans les éléments choisis, le coq, la boussole, ce que vous voudrez, les éléments qui étaient imposés dans le cahier des charges résultent de l'imaginaire de Max Valentin, pas du mien.
Ça, c'est la première fois que j'en parle et ça, c'est un truc qui m'est venu à l'esprit il n’y a pas très longtemps, en réfléchissant à tout ça et notamment en pensant à ce que je pourrais être, le cas échéant, amené à peindre en corrélation avec la super solution. Que m'aurait donné Max comme cahier des charges pour illustrer la super solution, que vais-je faire moi-même ? Et ça, c'est une question importante parce qu’autant Max a utilisé tout ce que moi j’ai, … la manière dont j'ai enjolivé, on va dire les images, tout ce que j'ai apporté, tout ce que mon imaginaire a pu greffer sur les images autant ce qui figure et qui est en corrélation avec le cahier des charges, répond à l'imaginaire de Max Valentin et pas au mien.
Et Max Valentin n'était pas spécialement un esthète, n'était pas spécialement quelqu'un de féru en matière d'art contemporain ou pas, ou d'histoire de la peinture et donc il avait un imaginaire, on va dire relativement basique.
Par rapport à ça, les choix qu'il a opérés, le cahier des charges qui m'a donné, je dirais que par rapport aux énigmes, c'est relativement basique.
Mais ça vous repositionne, si vous voulez les visuels, la partie des visuels où on a on a pu délirer, où vous avez pu vous égarer pendant un moment du fait que Max Valentin lui-même a laissé planer le doute sur les choses que j'avais pu représenter, c'est une chose, mais ce qui est important à considérer, c'est les éléments qu’il a demandé, c'est à dire que le cahier des charges, encore une fois, ce sont les images que lui avait imaginées comme étant celle qu’il devait associer à ces textes.