(Q – faBergé : Oui, mais en fait ma question sous-jacente, c'est qu’il m'a toujours semblé que vous disiez qu’une fois qu'on aurait le déclic, ça s'enclenche et ça va jusqu'au bout. Donc des nouveaux angles de vue, mais pas forcément le bon angle quoi, de ce que je comprends.)
MB : Le déclic, c'est un déclic. Le déclic, c'est un truc qui débloque.
D'accord, ça débloque et au moment où il va se produire, la personne qui va l'avoir en premier va, ça va être complètement débloqué. Cette personne-là va se dire OK, j'ai compris, cette fois j'y suis et j'y vais, je trouve, C'est vraiment un processus de déclic, ce n'est pas un processus de décryptage, d'analyse longue et compliquée, c'est un truc qu'on doit trouver et quand on l'a trouvé, tout se débloque.
C'est pour ça que je parle de cette notion, que j'ai employé ce terme de déclic.
(Q - ?? : Et donc c'est direct, c'était ça ma question c'est…)
MB : ouais, ouais.
MB : Le déclic, c'est un déclic. Le déclic, c'est un truc qui débloque.
D'accord, ça débloque et au moment où il va se produire, la personne qui va l'avoir en premier va, ça va être complètement débloqué. Cette personne-là va se dire OK, j'ai compris, cette fois j'y suis et j'y vais, je trouve, C'est vraiment un processus de déclic, ce n'est pas un processus de décryptage, d'analyse longue et compliquée, c'est un truc qu'on doit trouver et quand on l'a trouvé, tout se débloque.
C'est pour ça que je parle de cette notion, que j'ai employé ce terme de déclic.
(Q - ?? : Et donc c'est direct, c'était ça ma question c'est…)
MB : ouais, ouais.