(Q – Sylvain : Michel, je vous donne un exemple qui n’a rien à voir avec la Super Solution, enfin je n’en sais rien mais par rapport à cet aspect catégorique qui est qu'on ne peut plus modifier les chiffres, je prends l'exemple bidon 1727 et 1750, quand on fait la soustraction on a 23, ce qui pourrait représenter la pelle, creuse, bon bah ça si je prends ça comme ça, ben je peux plus le modifier !)
MB : il y a un truc que vous pouvez modifier, c'est que vous avez employé un conditionnel, vous avez dit qui « pourrait ». Tant que vous employez le conditionnel c'est qu'il y a une autre possibilité.
(Q - ?? : l’imagination va nous faire trouver quelque chose ? Ces chiffres n’auront qu’une seule et unique utilisation ? On va foncer dedans, on a enfin compris)
MB : vous allez vous dire c'est tellement ça, ça peut tellement plus être autre chose. Vous allez plus pouvoir vous en défaire une fois que vous allez être dessus, vous allez dire c'est ça, ce n’est pas possible ça y est c'est terminé j'y suis quoi !
(Q – nlc : c'est quelque chose qu'on doit s'imaginer, mais il faut s'adapter au terrain donc c'est quand même quelque chose qui est lié au terrain ?)
MB : oui, oui, bien sûr que c'est lié au terrain, puisque j'ai dit que ça ne peut pas s'appliquer ailleurs, c'est ce qui me fait tellement être catégorique sur le fait qu’il n’y a pas de cache numéro 1, de cache numéro 2, de contremarque numéro 1, de contremarque numéro 2, tout ça c'est des conneries. Il n’y a qu'un endroit qui correspond, un seul et unique.
(Q – nlc : on est sur le canapé et apparemment on comprend ces chiffres avant d'utiliser la carte, parce que la carte servira pour éventuellement les appliquer mais de fou sur notre canapé…)
MB : elle servira peut-être pour éventuellement les appliquer entre peut-être et éventuellement on est sûr de rien.
Moi je ne parle pas de la carte, je parle juste de l'utilisation qu'on fait des chiffres et à un moment donné, on se dit ah bah oui, oui, maintenant que j'en suis là ça y est je peux plus m'en sortir, c'est fini quoi, c'est fini.
MB : il y a un truc que vous pouvez modifier, c'est que vous avez employé un conditionnel, vous avez dit qui « pourrait ». Tant que vous employez le conditionnel c'est qu'il y a une autre possibilité.
(Q - ?? : l’imagination va nous faire trouver quelque chose ? Ces chiffres n’auront qu’une seule et unique utilisation ? On va foncer dedans, on a enfin compris)
MB : vous allez vous dire c'est tellement ça, ça peut tellement plus être autre chose. Vous allez plus pouvoir vous en défaire une fois que vous allez être dessus, vous allez dire c'est ça, ce n’est pas possible ça y est c'est terminé j'y suis quoi !
(Q – nlc : c'est quelque chose qu'on doit s'imaginer, mais il faut s'adapter au terrain donc c'est quand même quelque chose qui est lié au terrain ?)
MB : oui, oui, bien sûr que c'est lié au terrain, puisque j'ai dit que ça ne peut pas s'appliquer ailleurs, c'est ce qui me fait tellement être catégorique sur le fait qu’il n’y a pas de cache numéro 1, de cache numéro 2, de contremarque numéro 1, de contremarque numéro 2, tout ça c'est des conneries. Il n’y a qu'un endroit qui correspond, un seul et unique.
(Q – nlc : on est sur le canapé et apparemment on comprend ces chiffres avant d'utiliser la carte, parce que la carte servira pour éventuellement les appliquer mais de fou sur notre canapé…)
MB : elle servira peut-être pour éventuellement les appliquer entre peut-être et éventuellement on est sûr de rien.
Moi je ne parle pas de la carte, je parle juste de l'utilisation qu'on fait des chiffres et à un moment donné, on se dit ah bah oui, oui, maintenant que j'en suis là ça y est je peux plus m'en sortir, c'est fini quoi, c'est fini.