(Q – Sarah Vargas : est-ce possible que je n’arrive pas à la compréhension des chiffres mais que j’arrive à avoir mes 2 dernières indications sur place ?)
MB : [direct] non. Ce n’est pas possible. Les chiffres (71721075) on ne peut les comprendre que si on a eu le déclic, il faut ce déclic dont nous parlions avec Roc, ce déclic international, polyglotte… Non sérieux il y a un truc à piger, et derrière le reste va s’enchaîner.
(Q – Sarah Vargas : c’est important pour moi, parce que moi je me suis focalisé sur une idée précise qui m’a assez convaincue, et là finalement je me pose réellement la question et j’essaye du coup de trouver cette fameuse question, pour engendrer ce fameux déclic)
MB : je dirai en fait que quand on pense avoir solutionné cette question de chiffres, si on estime, qu’il pourrait y avoir une autre possibilité c’est que l’on n’a pas bon. Quand on a les a vraiment solutionnés, on comprend qu’il n’y a aucune autre possibilité, là on est vraiment sûr. Mais si on se dit, effectivement, si en faisant autrement je peux quand même les utiliser, c’est que l’on n’a pas eu le déclic.
C’est intéressant ça hein ? Quand on a résolu cette question de chiffres, on ne doit pas…les chiffres, une fois qu’on a résolu la question des chiffres, on ne doit pas pouvoir en faire autre chose. On a compris, on dit « ben voilà, c’est ça, effectivement c’est ça et rien d’autre, ça ne peut pas être autre chose ».
(Q - aladore : il n’y a qu’une seule compréhension des chiffres ?)
MB : oui. Même dans votre tête, je dis ça pour éviter les emballements, les kilomètres inutiles et tout ce que vous voudrez. En toute conscience, honnêteté, vous vous dites, ma solution pourrait être reprise différemment, si (n’y voyez pas un indice sur ce terme) on manipulait, interprétait, décryptait, comprenait les chiffres autrement, si vous admettez dans votre tête qu’il pourrait y avoir une autre formule, alors c’est que ce n’est pas bon.
MB : [direct] non. Ce n’est pas possible. Les chiffres (71721075) on ne peut les comprendre que si on a eu le déclic, il faut ce déclic dont nous parlions avec Roc, ce déclic international, polyglotte… Non sérieux il y a un truc à piger, et derrière le reste va s’enchaîner.
(Q – Sarah Vargas : c’est important pour moi, parce que moi je me suis focalisé sur une idée précise qui m’a assez convaincue, et là finalement je me pose réellement la question et j’essaye du coup de trouver cette fameuse question, pour engendrer ce fameux déclic)
MB : je dirai en fait que quand on pense avoir solutionné cette question de chiffres, si on estime, qu’il pourrait y avoir une autre possibilité c’est que l’on n’a pas bon. Quand on a les a vraiment solutionnés, on comprend qu’il n’y a aucune autre possibilité, là on est vraiment sûr. Mais si on se dit, effectivement, si en faisant autrement je peux quand même les utiliser, c’est que l’on n’a pas eu le déclic.
C’est intéressant ça hein ? Quand on a résolu cette question de chiffres, on ne doit pas…les chiffres, une fois qu’on a résolu la question des chiffres, on ne doit pas pouvoir en faire autre chose. On a compris, on dit « ben voilà, c’est ça, effectivement c’est ça et rien d’autre, ça ne peut pas être autre chose ».
(Q - aladore : il n’y a qu’une seule compréhension des chiffres ?)
MB : oui. Même dans votre tête, je dis ça pour éviter les emballements, les kilomètres inutiles et tout ce que vous voudrez. En toute conscience, honnêteté, vous vous dites, ma solution pourrait être reprise différemment, si (n’y voyez pas un indice sur ce terme) on manipulait, interprétait, décryptait, comprenait les chiffres autrement, si vous admettez dans votre tête qu’il pourrait y avoir une autre formule, alors c’est que ce n’est pas bon.