(Q - Isidore : concernant les pseudo clé entre les énigmes tu nous a dit que les énigmes nous aménent en général sur des lieux et que de lieux en lieux on avançait, pas toutes - il y a certaines énigmes on démarre d'un lieu trouvé avant, si on n'a pas ce lieu là on n'a pas peu de chance de trouver le lieu vers lequel va nous amener cette énigme puisqu'on n'a pas le point de départ donc ce point de départ crée un lien avec l'énigme précédente ou une autre avant)
(Q - nlc : pourquoi tu as besoin de ton lieu pour trouver la résolution de l'énigme je comprends pas ?)
(Q - Isidore : pour résoudre l'énigme non, mais par exemple quand il a des mesures de tant, si ton point de départ tu ne le connais pas, tu peux difficilement savoir vers où tu vas)
(Q - nlc : il n'y a pas de mesures qui partent du lieu de l'énigme précédente, tout est lié à l'énigme en cours)
(Q - Isidore : justement l'énigme elle part bien d'un point, exemple en 650 il faut bien le là)
(Q - nlc : justement qui te dis que ce n'est pas une des deux qui nécessitent un élément de l'énigme précédente et que la clé de passage c'est pas ce là justement)
(Q - Isidore : c'est à Michel que je posais la question)
MB : Isidore tu es un incorrigible, tu le sais ou tu fais semblant ? Tu as raison d'être mal à l'aise parce que la manière d'approcher la situation actuelle est la suivante, soit on se dit le père Becker il déconne, il n'a pas tout compris, il nous raconte des trucs mais il va se planter, il y a 2 manières de prendre les choses :
- soit toi Isidore ou d'autres vous acceptez que j'intervienne et vous dites OK il fait le job il est sérieux, il essaye de comprendre il discute avec nous, il passe beaucoup de temps, auquel cas on essaye de progresser
- soit tu continues à dire, à penser, sans en avoir l'air et c'est encore plus vicieux que si tu en avais l'air que peut-être bien quand même je n'ai pas tout compris, si tu es dans cet état d'esprit, si quand je dis il n'y a pas de clés de passage à part 2 ènigmes, comme je viens de l'expliquer où il est nécessaire d'utiliser un élément de la précédente pour le décryptage de la suivante, à part ces 2 là, soit tu marches dans le truc, on bosse ensemble, soit tu continues à avoir les pieds sur le frein, auquel cas c'est sans issue parce qu'à chaque fois que tu auras un doute, tu vas te raccorcher à ton pied sur le frein et te dire bon peut-être qu'il sait pas vraiment bien ce qu'il dit, qu'il a peut-être pas bien compris, alors si on en est là, ben écoute ça va coincer forcément à un moment. Je veux dire qu'à un moment il faut que vous acceptiez que ce jeu existe, dans lequel est intervenu un personnage qui a joué un rôle que je trouve personnellement passionnant et fascinant mais toxique, mais c'est l'histoire il n'est plus là, il a agi, j'allais dire il a sévi mais c'est un petit clin d'oeil parce qu'il n'a pas fairt que sévir, il y a du génie dans ce qu'il a fait aussi, il a laissé son empreinte donc à partir de là ou on accepte de reprendre le truc tous ensemble et de dire OK il y a un échange réel et on essaye d'avancer ou on gomme progressivement, c'est-à-dire que je dis un truc on enchaine en disant ouai mais il dit ça mais finalement il dit la même chose avec d'autres mots et puis hop, au bout de quelques temps on est revenu au point de départ.
(Q - nlc : ne vous inquiétez pas il y en a plein qui écoutent, Isidore il fait ce qu'il veut, rester sur ces idées..)
MB : Isidore est aussi intéressant que les autres je veux pas le laisser sur le bas côté, je l'aime bien Isidore, il nous sert d'exemple en tant que réfractaire et érudits du madit, forcément je l'incite à lâcher prise sur quelque chose à quoi il est accroché depuis longtemps, tu m'en veux pas Isidore ?
(Q - nlc : pourquoi tu as besoin de ton lieu pour trouver la résolution de l'énigme je comprends pas ?)
(Q - Isidore : pour résoudre l'énigme non, mais par exemple quand il a des mesures de tant, si ton point de départ tu ne le connais pas, tu peux difficilement savoir vers où tu vas)
(Q - nlc : il n'y a pas de mesures qui partent du lieu de l'énigme précédente, tout est lié à l'énigme en cours)
(Q - Isidore : justement l'énigme elle part bien d'un point, exemple en 650 il faut bien le là)
(Q - nlc : justement qui te dis que ce n'est pas une des deux qui nécessitent un élément de l'énigme précédente et que la clé de passage c'est pas ce là justement)
(Q - Isidore : c'est à Michel que je posais la question)
MB : Isidore tu es un incorrigible, tu le sais ou tu fais semblant ? Tu as raison d'être mal à l'aise parce que la manière d'approcher la situation actuelle est la suivante, soit on se dit le père Becker il déconne, il n'a pas tout compris, il nous raconte des trucs mais il va se planter, il y a 2 manières de prendre les choses :
- soit toi Isidore ou d'autres vous acceptez que j'intervienne et vous dites OK il fait le job il est sérieux, il essaye de comprendre il discute avec nous, il passe beaucoup de temps, auquel cas on essaye de progresser
- soit tu continues à dire, à penser, sans en avoir l'air et c'est encore plus vicieux que si tu en avais l'air que peut-être bien quand même je n'ai pas tout compris, si tu es dans cet état d'esprit, si quand je dis il n'y a pas de clés de passage à part 2 ènigmes, comme je viens de l'expliquer où il est nécessaire d'utiliser un élément de la précédente pour le décryptage de la suivante, à part ces 2 là, soit tu marches dans le truc, on bosse ensemble, soit tu continues à avoir les pieds sur le frein, auquel cas c'est sans issue parce qu'à chaque fois que tu auras un doute, tu vas te raccorcher à ton pied sur le frein et te dire bon peut-être qu'il sait pas vraiment bien ce qu'il dit, qu'il a peut-être pas bien compris, alors si on en est là, ben écoute ça va coincer forcément à un moment. Je veux dire qu'à un moment il faut que vous acceptiez que ce jeu existe, dans lequel est intervenu un personnage qui a joué un rôle que je trouve personnellement passionnant et fascinant mais toxique, mais c'est l'histoire il n'est plus là, il a agi, j'allais dire il a sévi mais c'est un petit clin d'oeil parce qu'il n'a pas fairt que sévir, il y a du génie dans ce qu'il a fait aussi, il a laissé son empreinte donc à partir de là ou on accepte de reprendre le truc tous ensemble et de dire OK il y a un échange réel et on essaye d'avancer ou on gomme progressivement, c'est-à-dire que je dis un truc on enchaine en disant ouai mais il dit ça mais finalement il dit la même chose avec d'autres mots et puis hop, au bout de quelques temps on est revenu au point de départ.
(Q - nlc : ne vous inquiétez pas il y en a plein qui écoutent, Isidore il fait ce qu'il veut, rester sur ces idées..)
MB : Isidore est aussi intéressant que les autres je veux pas le laisser sur le bas côté, je l'aime bien Isidore, il nous sert d'exemple en tant que réfractaire et érudits du madit, forcément je l'incite à lâcher prise sur quelque chose à quoi il est accroché depuis longtemps, tu m'en veux pas Isidore ?