(Q - Exalastro : J'essaye d'enchaîner un peu avec ce que disait Xavier, donc c'est bien parce que là, on a une clarté entre règles et méthodes. Concernant un petit peu ce qu'on a vu sur la vidéo avec le passage en revue de Ash, c'est vrai qu'il avait fait plusieurs tentatives, donc dans ces méthodes, il y en a une qui sera à comprendre et à garder, c'est ça ? Donc, par exemple, j'aimais bien aussi votre idée du pianiste, mais par rapport au passage en revue de Ash et du pianiste, peu importe, quand on va me dire, OK, je vous ai appris à jouer du piano, ce qui est bien, ça, ça ferait surtout, avec vos micrits, de prendre du recul, de se dire, aujourd'hui, limite de chez soi, sur une feuille blanche, n'ayant pas encore la connaissance des sentinelles, peut-être des informations quand même à capter, on a compris, ça y est, le passage en vue est important, mais comme le pianiste, on pourrait se dire, je t'ai appris à jouer au piano. Ok, super. À un moment, on va te mettre devant un piano, est-ce que tu auras appris la bonne méthode va te permettre de jouer une mélodie qui va être agréable à entendre. Donc, on est un peu dans cette situation-là. Il y a quand même un objectif. On a vu sur la vidéo avec Ash et le passage en revue des tentatives de méthode dont vous avez souligné qu'une était… la voilà ça y est ça, c'est un passage en revue, voilà ok. Mais aujourd'hui, il y a quand même, il reste derrière un objectif, c'est-à-dire, on apprend à quelqu'un à jouer au piano, c'est évidemment pour bien jouer sans faire de fausses notes par exemple.)
MB : Oui alors c'est très bien, l'exemple est parfaitement adapté, on apprend une méthode de piano, puis une fois qu'on a acquis la méthode de piano, c'est-à-dire l'indépendance des mains, l'indépendance des doigts, les notes, le solfège, tout ce que tu veux. Après, il y a des partitions, il y a des niveaux de difficultés dans les partitions. Et là, quand on parle des deux dernières énigmes, donc de la dernière solution, quand on parle de tout ça, il y a un niveau de partition qui est plus ou moins difficile effectivement et qui nécessite une… On dirait au piano un certain entraînement dans ce qui nous occupe, une certaine réflexion en tout cas.
(Q - Exalastro : D'accord, et le pirate, c'est cette partition un peu compliquée ? C'est là que la partition est plus compliquée à jouer ?)
MB : Oui, c'est là où il faut plus ou moins d'astuces. Si on compare avec le piano, plus ou moins de virtuosité, de souplesse. Ce n'est pas forcément à la portée du premier venu. En d'autres cas, c'est à la portée de beaucoup de gens.
(Q - Exalastro : Un peu de dextérité, en effet.)
(Q - Exalastro : On parle beaucoup de méthode, mais derrière cette méthode, est-ce qu'on peut aussi mettre l'importance du passage en revue ? C'est comme les policiers, on les forme pour attraper les voleurs. Le passage en revue, Ok, quand on prend l'exemple de Macron, on se pose un peu la question, ça ressemble à un protocole, mais à la base, il y avait une mission derrière, il y a bien quelque chose qui lui aussi est important à devoir mettre à un moment, il faut sortir quelque chose de ces passages en revue, de pouvoir jouer au piano, on s'attend à ce qu'il n'y ait aucune fausse note, est-ce que c'est aussi important que la méthode quelque part ? Ben, je vais t'apprendre à jouer Ok, tu sais lire les partitions Ok, celle que nous, on doit trouver, elle est peut-être un peu plus complexe à trouver et à jouer, mais est-ce que derrière, il y a aussi l'objectif de bien savoir la jouer, enfin, je ne sais pas comment m'exprimer, pour voir un peu, essayer de comprendre où je dois mettre ma réflexion actuellement.)
MB : Quand tu prends l'exemple de Macron, tu as évoqué mission, il y a une mission derrière, on s'en fout de la mission de Macron, ce qui nous intéresse, c'est le passage en revue, là en l'occurrence.
Quand tu cites Macron, tu parles d'un passage en revue. Donc ce qui est intéressant, c'est de voir comment il le fait, comment il le fait.
(Q - Exalastro : À l'époque, tu avais dit, on verra les cheveux longs, le képi de travers. Ça, finalement, la mission qui était à la base, c'est quand même de s'assurer que tout le monde est bien sapé, peu importe, ou les cheveux bien coupés. Ici, tu me dis quelque part que ce n'est pas ça l'important. C'est la méthode qu'il va appliquer.)
MB : Ben si c'est quand même ça l'important. Je n'ai pas dit que ce n'était pas ça l'important. Il y a forcément des choses à voir, assurément. Mais tu sais, des fois, il y a des questions de logique. Je crois que j'ai déjà employé cet exemple de trois personnes qui se trouvent dans le désert avec un âne et qui meurent de chaud. Puis à un moment donné, il faut qu'ils s'arrêtent parce qu'ils sont crevés. Et donc, ils s'arrêtent et il y en a un qui dit, on va s'asseoir à l'ombre de l'âne. Et il y en a un qui dit moi, je me mets à l'ombre du ventre. Un autre qui dit, moi, je vais me mettre à l'ombre de la tête. Puis le dernier, il dit, moi, il ne me reste plus que l'ombre de la queue, je vais me mettre à l'ombre de la queue. Et on dit, quel est le plus malheureux ? Qu'est-ce que tu réponds ?
(Q - ?? : L'âne ?)
MB : Oui, c'est ça. Oui, c'est l'âne. Et souvent, on l'oublie, celui-là. Et c'est peut-être à réfléchir dans notre situation.
(Q - ?? : C’est vous, MB, l'âne ou quoi ?)
MB : C'est peut-être moi, je suis un âne dans mon style, c'est sûr. J'aime bien faire l'âne en tout cas.
(Q - ?? : Il peut se faire chier dessus quand même.)
MB : Oui non mais là après, c'est des considérations extrêmement viriles et scatologiques, mais ce n'est pas le débat. Dans le désert de toute façon, vu qu'il n'a rien à bouffer, il ne va pas t'en faire des tonnes.
MB : Oui alors c'est très bien, l'exemple est parfaitement adapté, on apprend une méthode de piano, puis une fois qu'on a acquis la méthode de piano, c'est-à-dire l'indépendance des mains, l'indépendance des doigts, les notes, le solfège, tout ce que tu veux. Après, il y a des partitions, il y a des niveaux de difficultés dans les partitions. Et là, quand on parle des deux dernières énigmes, donc de la dernière solution, quand on parle de tout ça, il y a un niveau de partition qui est plus ou moins difficile effectivement et qui nécessite une… On dirait au piano un certain entraînement dans ce qui nous occupe, une certaine réflexion en tout cas.
(Q - Exalastro : D'accord, et le pirate, c'est cette partition un peu compliquée ? C'est là que la partition est plus compliquée à jouer ?)
MB : Oui, c'est là où il faut plus ou moins d'astuces. Si on compare avec le piano, plus ou moins de virtuosité, de souplesse. Ce n'est pas forcément à la portée du premier venu. En d'autres cas, c'est à la portée de beaucoup de gens.
(Q - Exalastro : Un peu de dextérité, en effet.)
(Q - Exalastro : On parle beaucoup de méthode, mais derrière cette méthode, est-ce qu'on peut aussi mettre l'importance du passage en revue ? C'est comme les policiers, on les forme pour attraper les voleurs. Le passage en revue, Ok, quand on prend l'exemple de Macron, on se pose un peu la question, ça ressemble à un protocole, mais à la base, il y avait une mission derrière, il y a bien quelque chose qui lui aussi est important à devoir mettre à un moment, il faut sortir quelque chose de ces passages en revue, de pouvoir jouer au piano, on s'attend à ce qu'il n'y ait aucune fausse note, est-ce que c'est aussi important que la méthode quelque part ? Ben, je vais t'apprendre à jouer Ok, tu sais lire les partitions Ok, celle que nous, on doit trouver, elle est peut-être un peu plus complexe à trouver et à jouer, mais est-ce que derrière, il y a aussi l'objectif de bien savoir la jouer, enfin, je ne sais pas comment m'exprimer, pour voir un peu, essayer de comprendre où je dois mettre ma réflexion actuellement.)
MB : Quand tu prends l'exemple de Macron, tu as évoqué mission, il y a une mission derrière, on s'en fout de la mission de Macron, ce qui nous intéresse, c'est le passage en revue, là en l'occurrence.
Quand tu cites Macron, tu parles d'un passage en revue. Donc ce qui est intéressant, c'est de voir comment il le fait, comment il le fait.
(Q - Exalastro : À l'époque, tu avais dit, on verra les cheveux longs, le képi de travers. Ça, finalement, la mission qui était à la base, c'est quand même de s'assurer que tout le monde est bien sapé, peu importe, ou les cheveux bien coupés. Ici, tu me dis quelque part que ce n'est pas ça l'important. C'est la méthode qu'il va appliquer.)
MB : Ben si c'est quand même ça l'important. Je n'ai pas dit que ce n'était pas ça l'important. Il y a forcément des choses à voir, assurément. Mais tu sais, des fois, il y a des questions de logique. Je crois que j'ai déjà employé cet exemple de trois personnes qui se trouvent dans le désert avec un âne et qui meurent de chaud. Puis à un moment donné, il faut qu'ils s'arrêtent parce qu'ils sont crevés. Et donc, ils s'arrêtent et il y en a un qui dit, on va s'asseoir à l'ombre de l'âne. Et il y en a un qui dit moi, je me mets à l'ombre du ventre. Un autre qui dit, moi, je vais me mettre à l'ombre de la tête. Puis le dernier, il dit, moi, il ne me reste plus que l'ombre de la queue, je vais me mettre à l'ombre de la queue. Et on dit, quel est le plus malheureux ? Qu'est-ce que tu réponds ?
(Q - ?? : L'âne ?)
MB : Oui, c'est ça. Oui, c'est l'âne. Et souvent, on l'oublie, celui-là. Et c'est peut-être à réfléchir dans notre situation.
(Q - ?? : C’est vous, MB, l'âne ou quoi ?)
MB : C'est peut-être moi, je suis un âne dans mon style, c'est sûr. J'aime bien faire l'âne en tout cas.
(Q - ?? : Il peut se faire chier dessus quand même.)
MB : Oui non mais là après, c'est des considérations extrêmement viriles et scatologiques, mais ce n'est pas le débat. Dans le désert de toute façon, vu qu'il n'a rien à bouffer, il ne va pas t'en faire des tonnes.