(Q - Roc : Est-ce que les toiles sont au musée encore pour longtemps ?)
MB : Les toiles sont au musée pour longtemps, j'espère. Tu parles du Lingot d'Art à Rochefort. Le lingot d'art aujourd'hui c'est une période, c'est une période intéressante et en même temps intense, autant pour Claudina qui a réalisé tout ça, que pour moi au niveau des éditions et de la Chouette d'Or, parce qu'il faut passer au stade suivant, c'est-à-dire qu'il faut arriver à faire fonctionner la structure. Pour la faire fonctionner, il faut développer autour d'elle un certain nombre d'actions, mettre en place un certain nombre de financements et on est en train d'y travailler.
Donc j'espère que l'organisation a encore une longue vie devant elle, mais ça nous demande beaucoup de travail et beaucoup d'implication. On a beaucoup d'interlocuteurs aujourd'hui, on a des interlocuteurs financiers, on a des interlocuteurs médiatiques, beaucoup de producteurs qui s'intéressent à l'histoire, des gens qui veulent développer des jeux, des gens qui veulent développer beaucoup de choses. Donc il faut qu'on arrive dans tout ça, à faire le tri et à mettre en place des équipes qui vont permettre de pérenniser à la fois l'histoire et à la fois le musée.
MB : Les toiles sont au musée pour longtemps, j'espère. Tu parles du Lingot d'Art à Rochefort. Le lingot d'art aujourd'hui c'est une période, c'est une période intéressante et en même temps intense, autant pour Claudina qui a réalisé tout ça, que pour moi au niveau des éditions et de la Chouette d'Or, parce qu'il faut passer au stade suivant, c'est-à-dire qu'il faut arriver à faire fonctionner la structure. Pour la faire fonctionner, il faut développer autour d'elle un certain nombre d'actions, mettre en place un certain nombre de financements et on est en train d'y travailler.
Donc j'espère que l'organisation a encore une longue vie devant elle, mais ça nous demande beaucoup de travail et beaucoup d'implication. On a beaucoup d'interlocuteurs aujourd'hui, on a des interlocuteurs financiers, on a des interlocuteurs médiatiques, beaucoup de producteurs qui s'intéressent à l'histoire, des gens qui veulent développer des jeux, des gens qui veulent développer beaucoup de choses. Donc il faut qu'on arrive dans tout ça, à faire le tri et à mettre en place des équipes qui vont permettre de pérenniser à la fois l'histoire et à la fois le musée.