(Q - Fabergé : Bonjour Michel, je vais enchainer sur le même sujet. Je n'ai pas suivi le début du vocal, je viens juste d'arriver.)
MB : J'ai fait exprès, j'ai fait exprès. On a démarré peu nombreux, j'étais tout seul avec CatsEyes, ça fait des années que j'en rêve. Et puis après, progressivement, on a ouvert la porte. C'était volontaire.
(Q - Fabergé : Du coup, je reviens un petit peu parce que j'ai entendu le sujet juste avant. Sur la méthode, vous avez répondu à Saïd et à Aladore. Vous répondez à Saïd que les bonnes sentinelles ont l'air d'être essentielles pour bien comprendre la méthode. Et ensuite, vous suggérez à Aladore, l'inverse, que le terrain, lui, n'est pas essentiel pour définir la méthode. J'entends bien, c'est deux choses différentes?; définir la méthode et la comprendre pourraient être deux choses différentes. Est-ce que c'est moi qui ai mal interprété ?)
MB : Alors, attend Fabergé, je n'ai pas souvenir d'avoir dit ça comme ça à Aladore. Tu peux expliciter un peu ?
(Q - Fabergé : Je peux citer ce que vous avez dit. Du coup, c'est plus pour parler, mais pour répondre, la méthode est donnée par le terrain et elle donne la cadence, mais ses paramètres sont vraiment trop difficilement décelables. Et vous, vous répondez : la méthode donnée par le terrain, point d'interrogation. Tu es vraiment sûr-sûr ? Et ensuite, il y a un échange où Aladore dit : à fond et vous répondez : pas moi. Donc moi, j'ai l'impression que quand vous ne répondez pas moi à ça…)
MB : C'est que moi, je suis moins convaincu que lui que la méthode est donnée par le terrain. La méthode… une méthode, c'est quelque chose qui peut s'enseigner. On va enseigner à quelqu'un une méthode pour jouer du piano, pour faire la cuisine, pour faire ce que tu voudras. C'est une méthode. Ou un pile-poil, bon machin, ce que tu veux. Il y a une méthode. Tu l'expliques, tu l'enseignes, tu demandes à ton élève de s'entraîner jusqu'à ce qu'il acquière cette méthode. Là, le terrain n'a pas d'incidence à ça, là-dessus. C'est vraiment une méthode, c'est une technique, c'est une méthode.
(Q - Fabergé : Ok, donc on comprend la méthode avec le livre, enfin, on comprend, on définit la méthode avec le livre et on arrive à l'expliciter, à la comprendre avec le terrain, avec les bonnes sentinelles.)
MB : Si on t'apprend à jouer une méthode de musique, une méthode de piano, tu vas apprendre à jouer du piano, le jour où tu t'assois devant un piano, tu joues. C'est ça, le principe de la méthode, c'est que ça te permet une fois que tu es in situ, d'opérer.
(Q - CatsEyes : C'est ce que font les 9 premières ?)
MB : Non, non, non… C'est ce que font les 2 dernières.
(Q - Nlc : La méthode est à la fin. On l'avait compris depuis longtemps. Michel, à propos du passage en revue, je peux vous donner la notion que j'en retire ou pas ?)
MB : Moi, je suis tout à fait d'accord. Après, je ne suis pas obligé de faire de commentaires, mais vas-y, donne.
(Q - Nlc : Moi, je considère que l'important, c'est de tourner la tête. Après, je ne sais pas encore comment faire, mais après avoir passé en revue tous les passages en revue qui ont été faits, justement, le seul truc qu'on peut constater sur celui qui fait l'action, c'est qu'il marche tout droit en tournant la tête. Donc, je ne pense pas qu'on ait besoin de s'intéresser à ce que la personne voit sur les sentinelles, mais qu'on doit s'intéresser sur ce que fait la personne qui passe en revue, en fait. Et donc, cette action de tourner la tête. Voilà pour moi.)
MB : D'accord. Et l'action de tourner la tête, elle est censée se suffire à elle-même ?
(Q - Nlc : J'imagine qu'il doit falloir en déduire quelque chose derrière et l'appliquer, ou continuer la démarche. Mais pour le moment, je bloque à ce niveau-là.
MB : D'accord. Ben non, tu ne bloques pas. Tu réfléchis.
(Q - Nlc : Je réfléchis oui !)
MB : Ce n'est pas bloqué, là. C'est une réflexion.
(Q - Nlc : C'est un point d'entrée sur ma réflexion à suivre, c'est ça.)
MB : Oui, on est d'accord.
(Q - Roc : Il faut marcher en ayant la tête de côté.)
MB : C’est ce que tu fais tous les jours Roc !
(Q - Nlc : Sauf qu'à part se prendre un arbre, je ne vois pas ce que cette méthode peut nous apporter.)
(Q - Roc : C'est même dangereux.)
MB : Pourquoi ? Il y a des arbres sur ta zone ?
(Q - Nlc : Ah oui, quelques-uns, oui. Il y a même des pierres.)
MB : Ha… C'est une zone fréquentée, alors.
(Q - Nlc : Assez, oui. )
MB : J'aime bien ces minutes de silence. Je sens que ce sont des silences qui sont très évocateurs pour certains.
MB : J'ai fait exprès, j'ai fait exprès. On a démarré peu nombreux, j'étais tout seul avec CatsEyes, ça fait des années que j'en rêve. Et puis après, progressivement, on a ouvert la porte. C'était volontaire.
(Q - Fabergé : Du coup, je reviens un petit peu parce que j'ai entendu le sujet juste avant. Sur la méthode, vous avez répondu à Saïd et à Aladore. Vous répondez à Saïd que les bonnes sentinelles ont l'air d'être essentielles pour bien comprendre la méthode. Et ensuite, vous suggérez à Aladore, l'inverse, que le terrain, lui, n'est pas essentiel pour définir la méthode. J'entends bien, c'est deux choses différentes?; définir la méthode et la comprendre pourraient être deux choses différentes. Est-ce que c'est moi qui ai mal interprété ?)
MB : Alors, attend Fabergé, je n'ai pas souvenir d'avoir dit ça comme ça à Aladore. Tu peux expliciter un peu ?
(Q - Fabergé : Je peux citer ce que vous avez dit. Du coup, c'est plus pour parler, mais pour répondre, la méthode est donnée par le terrain et elle donne la cadence, mais ses paramètres sont vraiment trop difficilement décelables. Et vous, vous répondez : la méthode donnée par le terrain, point d'interrogation. Tu es vraiment sûr-sûr ? Et ensuite, il y a un échange où Aladore dit : à fond et vous répondez : pas moi. Donc moi, j'ai l'impression que quand vous ne répondez pas moi à ça…)
MB : C'est que moi, je suis moins convaincu que lui que la méthode est donnée par le terrain. La méthode… une méthode, c'est quelque chose qui peut s'enseigner. On va enseigner à quelqu'un une méthode pour jouer du piano, pour faire la cuisine, pour faire ce que tu voudras. C'est une méthode. Ou un pile-poil, bon machin, ce que tu veux. Il y a une méthode. Tu l'expliques, tu l'enseignes, tu demandes à ton élève de s'entraîner jusqu'à ce qu'il acquière cette méthode. Là, le terrain n'a pas d'incidence à ça, là-dessus. C'est vraiment une méthode, c'est une technique, c'est une méthode.
(Q - Fabergé : Ok, donc on comprend la méthode avec le livre, enfin, on comprend, on définit la méthode avec le livre et on arrive à l'expliciter, à la comprendre avec le terrain, avec les bonnes sentinelles.)
MB : Si on t'apprend à jouer une méthode de musique, une méthode de piano, tu vas apprendre à jouer du piano, le jour où tu t'assois devant un piano, tu joues. C'est ça, le principe de la méthode, c'est que ça te permet une fois que tu es in situ, d'opérer.
(Q - CatsEyes : C'est ce que font les 9 premières ?)
MB : Non, non, non… C'est ce que font les 2 dernières.
(Q - Nlc : La méthode est à la fin. On l'avait compris depuis longtemps. Michel, à propos du passage en revue, je peux vous donner la notion que j'en retire ou pas ?)
MB : Moi, je suis tout à fait d'accord. Après, je ne suis pas obligé de faire de commentaires, mais vas-y, donne.
(Q - Nlc : Moi, je considère que l'important, c'est de tourner la tête. Après, je ne sais pas encore comment faire, mais après avoir passé en revue tous les passages en revue qui ont été faits, justement, le seul truc qu'on peut constater sur celui qui fait l'action, c'est qu'il marche tout droit en tournant la tête. Donc, je ne pense pas qu'on ait besoin de s'intéresser à ce que la personne voit sur les sentinelles, mais qu'on doit s'intéresser sur ce que fait la personne qui passe en revue, en fait. Et donc, cette action de tourner la tête. Voilà pour moi.)
MB : D'accord. Et l'action de tourner la tête, elle est censée se suffire à elle-même ?
(Q - Nlc : J'imagine qu'il doit falloir en déduire quelque chose derrière et l'appliquer, ou continuer la démarche. Mais pour le moment, je bloque à ce niveau-là.
MB : D'accord. Ben non, tu ne bloques pas. Tu réfléchis.
(Q - Nlc : Je réfléchis oui !)
MB : Ce n'est pas bloqué, là. C'est une réflexion.
(Q - Nlc : C'est un point d'entrée sur ma réflexion à suivre, c'est ça.)
MB : Oui, on est d'accord.
(Q - Roc : Il faut marcher en ayant la tête de côté.)
MB : C’est ce que tu fais tous les jours Roc !
(Q - Nlc : Sauf qu'à part se prendre un arbre, je ne vois pas ce que cette méthode peut nous apporter.)
(Q - Roc : C'est même dangereux.)
MB : Pourquoi ? Il y a des arbres sur ta zone ?
(Q - Nlc : Ah oui, quelques-uns, oui. Il y a même des pierres.)
MB : Ha… C'est une zone fréquentée, alors.
(Q - Nlc : Assez, oui. )
MB : J'aime bien ces minutes de silence. Je sens que ce sont des silences qui sont très évocateurs pour certains.