(Q - McDo : Mais l'auteur a dû utiliser une carte pour calculer ces 8000 mesures.)
MB : Et alors ?
(Q - McDo : Ah non mais voilà, ok. Non, je raisonnais par l'absurde. Vous disiez que lui, l'auteur, a été obligé d'utiliser une deuxième carte.)
MB : L'auteur, il connaissait les lieux. Après, quand il est remonté, il a créé un parcours. Il est parti de son arrivée pour créer son parcours. Oui, il a pris des mesures. Comment il les a prises ? Probablement sur une carte, effectivement. C'est tout à fait logique. Mais lui, il avait le devoir de donner des éléments précis pour permettre aux joueurs de trouver. Maintenant, quand on le fait dans l'autre sens, on arrive quelque part, on doit faire parcourir, disons, ces 8000 mesures, on a différents moyens de procéder.
Déjà, on ne va pas parler de 8000 mesures, la mesure, on va la calculer, on va dire 8000 mesures, ça fait tant, donc on va très probablement se questionner sur une distance en mètres, kilomètres. Et donc, on est en mesure d'interroger différentes sources qui peuvent être encore une fois un office de tourisme, une carte, pourquoi pas, ou des gens qui connaissent les lieux ou que sais-je, ou une documentation quelconque. Il y a différentes manières de procéder, mais pour le concepteur des énigmes, il est évident que lui, il avait la nécessité absolue de donner des éléments précis, donc de mesurer, donc d'utiliser probablement, effectivement, une carte.
(Q - ?? : Et vous comprenez qu'aujourd'hui, avec tous les outils qu'on a depuis quelques années déjà, c'est pour nous, chercheurs, plus pertinent normalement d'utiliser une seconde carte. Peut-être plus que ça ne pouvait être à l'époque, alors que c'était déjà pertinent pour… Les gens utilisaient déjà une seconde carte à l'époque. Mais ce que je veux dire, c'est qu'aujourd'hui… Parce qu'en fait, beaucoup de gens ont l'impression qu'on ne doit pas utiliser la seconde carte. On doit absolument s’en passer pour trouver les sentinelles, etc. Et certains sont le débat que oui, mais non, tu utilises ta seconde carte pour 8000 mesures. Bon, là où il y a 8000 mesures, on peut se servir d'une carte. Mais du coup, moi, ça ne me paraît pas forcément déconnant que...)
MB : La carte, utilisez-la, ne l’utilisez pas, prenez-la virtuellement, prenez-la sur papier, faites ce que vous voulez avec la carte. Mais en aucun cas, n'essayez pas d'en faire une carte au trésor. C'est inutile.
(Q - ?? : Oui, bien sûr. En fait, aujourd'hui, personne ne va appeler un office de tourisme pour demander qu'est-ce qu'il y a à 8000 mesures, pardon, de telles choses, quoi. Tout le monde veut utiliser une carte, c’est là où je voulais en venir. )
MB : Vous pariez avec moi ? Qu'on appelle certains offices de tourisme pour voir ?
MB : Et alors ?
(Q - McDo : Ah non mais voilà, ok. Non, je raisonnais par l'absurde. Vous disiez que lui, l'auteur, a été obligé d'utiliser une deuxième carte.)
MB : L'auteur, il connaissait les lieux. Après, quand il est remonté, il a créé un parcours. Il est parti de son arrivée pour créer son parcours. Oui, il a pris des mesures. Comment il les a prises ? Probablement sur une carte, effectivement. C'est tout à fait logique. Mais lui, il avait le devoir de donner des éléments précis pour permettre aux joueurs de trouver. Maintenant, quand on le fait dans l'autre sens, on arrive quelque part, on doit faire parcourir, disons, ces 8000 mesures, on a différents moyens de procéder.
Déjà, on ne va pas parler de 8000 mesures, la mesure, on va la calculer, on va dire 8000 mesures, ça fait tant, donc on va très probablement se questionner sur une distance en mètres, kilomètres. Et donc, on est en mesure d'interroger différentes sources qui peuvent être encore une fois un office de tourisme, une carte, pourquoi pas, ou des gens qui connaissent les lieux ou que sais-je, ou une documentation quelconque. Il y a différentes manières de procéder, mais pour le concepteur des énigmes, il est évident que lui, il avait la nécessité absolue de donner des éléments précis, donc de mesurer, donc d'utiliser probablement, effectivement, une carte.
(Q - ?? : Et vous comprenez qu'aujourd'hui, avec tous les outils qu'on a depuis quelques années déjà, c'est pour nous, chercheurs, plus pertinent normalement d'utiliser une seconde carte. Peut-être plus que ça ne pouvait être à l'époque, alors que c'était déjà pertinent pour… Les gens utilisaient déjà une seconde carte à l'époque. Mais ce que je veux dire, c'est qu'aujourd'hui… Parce qu'en fait, beaucoup de gens ont l'impression qu'on ne doit pas utiliser la seconde carte. On doit absolument s’en passer pour trouver les sentinelles, etc. Et certains sont le débat que oui, mais non, tu utilises ta seconde carte pour 8000 mesures. Bon, là où il y a 8000 mesures, on peut se servir d'une carte. Mais du coup, moi, ça ne me paraît pas forcément déconnant que...)
MB : La carte, utilisez-la, ne l’utilisez pas, prenez-la virtuellement, prenez-la sur papier, faites ce que vous voulez avec la carte. Mais en aucun cas, n'essayez pas d'en faire une carte au trésor. C'est inutile.
(Q - ?? : Oui, bien sûr. En fait, aujourd'hui, personne ne va appeler un office de tourisme pour demander qu'est-ce qu'il y a à 8000 mesures, pardon, de telles choses, quoi. Tout le monde veut utiliser une carte, c’est là où je voulais en venir. )
MB : Vous pariez avec moi ? Qu'on appelle certains offices de tourisme pour voir ?