(Q - Brybry : J'ai une petite remarque à vous soumettre, si vous pouvez répondre, tant mieux, sinon ce n'est pas grave. J'avais une question. Moi, personnellement, j'arrive à mes sentinelles. Et de là, je comprends ou je crois comprendre que le pile-poil, imaginons, il est à 7 mètres d'un repère quelconque, perdu, il me fait trouver ça, il me dit, il est à 7 mètres de ce repère-là en direction de... Est-ce que c'est faux de dire, dans mon cas, que les sentinelles sont le dernier repère physique à ce stade du jeu ? Voilà, c'est la question qui me portait à cœur.)
MB : Mais est-ce que je n'ai pas déjà dit ça ? Il faut réécouter les vocaux Brybry. Pourtant, tu es le dictionnaire vivant. Tu es l'encyclopédie vivante des Midits toi ?
(Q - ?? : Roc : Excusez-moi, là. La question, tu ne l'as pas bien posée. Allons-y directement. Quelqu'un trouve les sentinelles et sur les sentinelles, il comprend qu'il doit se déplacer ailleurs, que le pile-poil est à 7 mètres d'un autre repère. C'est ça ta question, Brybry ?)
(Q - Brybry : Oui, c'est ça. Est-ce que c'est faux de dire que les sentinelles sont le dernier repère physique qui m'ont fait comprendre où est le pile-poil??)
MB : “Est-ce que c'est le dernier repère physique qui t'a fait comprendre où était le pile-poil ?” C'est bien ça ta question ?
(Q - Brybry : Oui, c'est ça.)
MB : Tu as pesé chaque mot ?
(Q - Brybry : Vous m’avez mis un doute.)
(Q - nlc : Répondez à la question de Roc, elle était plus claire, directe.)
MB : Roc, repose ta question. Juste la question.
(Q - Roc : Est-ce qu'on peut avoir un autre repère après les sentinelles parce qu'il a été induit par la compréhension qu'on a eu des sentinelles??)
MB : Quand tu dis après, c'est chronologique ou c'est géographique??
(Q - Roc : C'est les deux.)
MB : Rires
(Q - Roc : On fait le passage en revue et on comprend que maintenant, on doit se déplacer à un autre repère et que la chouette est à proximité de ce repère.)
MB : C'est chronologique ou géographique ? On est d'accord, Roc ? Tu maintiens ? C'est les deux ? Alors l'autre, c'était physique. Toi, c'est chronologique ou géographique ? On est d'accord ?
(Q - Roc : Oui, ben, Brybry, c'était physique aussi.)
MB : Bon, alors, je réponds à une des deux questions. Laquelle ? Non, mais parce que vous n'allez pas m'entuber quand même jusqu'au bout. Il faut vous mettre d'accord. Donc, vous en choisissez une, je réponds à une des deux.
(Q - Roc : Géographique. Quelle différence tu as entre géographique et physique??)
MB : Est-ce que tu es un être géographique ou physique, toi ?
(Q - Roc : Bah je suis les deux. Je suis un être physique situé à un endroit géographique.)
MB : Oui, mais tu n’es pas quelqu'un de géographique ? Aujourd’hui, tu es là, demain, tu es ailleurs.
(Q - Brybry : Géographique, géographique s'il vous plaît.)
MB : Attendez, je veux tout de suite vous enlever une idée que vous allez sûrement avoir, que je suis en train de me foutre de vous. Ce n'est pas le cas. Je suis juste en train de vous mettre le doigt sur le fait que même dans la manière dont vous posez les questions, ce n'est pas évident pour moi de répondre. Parce qu'il y a tellement d'extrapolations possibles après, que vous m'avez rendu méfiant, je suis devenu méfiant.
(Q - Brybry : Attendez, juste pour… Ce que moi, sincèrement, j'ai voulu dire, c'est que vous nous aviez dit que les derniers repères physiques à ce stade du jeu, c'est les sentinelles. Physiquement, à ce stade du jeu, c'est les sentinelles. Moi, j'ai un autre repère physique qui va m'aider à me matérialiser le pile-poil. Et je me demandais si c'était faux de se dire, vu que ce repère-là, il m'est donné, parce que je comprends au moment où je suis devant les sentinelles, est-ce que je peux dire que les sentinelles sont le dernier repère physique, même si j'en ai un autre, mais qu'il est dans la compréhension de la Super solution.)
MB : Donc c'est un repère physique que tu découvres après avoir découvert les sentinelles ? La réponse, c'est non, il n'y en a pas.
(Q - nlc : La confusion, c’est que vous n'avez jamais voulu valider la proximité de la cache par rapport au dernier repère, donc aux sentinelles. Vous aviez dit que ce soit 10, 30, 3 kilomètres, 100 kilomètres, 300 kilomètres, c'est vous qui vous démerdez. Mais à 300 kilomètres, on voit bien qu'il est impossible de localiser un point précis sans avoir un autre repère sur lequel matérialiser une mesure, par exemple, ou un alignement, ou n'importe quoi. En fait, la confusion vient de là.)
MB : Mais ce n'est pas une confusion, c'est un propos délibéré et le fait de dire 300 kilomètres, c'est comme quand on répond à quelqu'un, tu peux me le répéter 10 fois, 100 fois, 1000 fois, on sait bien qu'il ne va pas le répéter 1000 fois, mais on utilise cette expression. J’ai utilisé 300 kilomètres de la même manière. Je suis un homme normal.
(Q - nlc : Moi je l'avais compris comme ça aussi, quand on dit repères, on est logique.)
MB : Non, je ne suis pas en mesure, je n'ai pas l'intelligence, je n'ai pas la forme d'esprit, je n'ai pas la capacité d'être en permanence sur des propos qui pourraient avoir un sens. Quand je dis des trucs comme ça, une expression, vous avez remarqué qu'on a des échanges très directs, très spontanés. La spontanéité fait qu'on s'exprime en langage courant. Le langage courant, c'est de dire : “tu m'en mets un, tu m'en mets dix, tu m'en mets mille”, ça ne change rien. Bon ben voilà, c'est sur ce ton-là que j'avais répondu. Et donc, il n'y a pas à chercher midi à 14h.
(Q - nlc : Il y avait un autre point de confusion, c'était quand vous aviez dit une fois, ben non, non, pour le mécanisme de la supersolution, il n'y a pas besoin de toucher les repères ou les sentinelles. Sauf que nous, on s'est dit, mais s'il n'y a pas besoin de les toucher, on fait comment pour prendre nos mesures ?)
MB : Alors, très bien, mais c'est une excellente question. Comment je dois comprendre “ toucher “ ?
(Q - nlc : Bah toucher, c'est par exemple, admettons, je dois faire une mesure par rapport à un de mes repères qui serait donc une sentinelle, je pose mon mètre à proximité ou contre un bord de mon repère, je fais ma mesure, donc automatiquement je touche mon repère.)
MB : Mais le mètre touche, tu ne touches pas, le mètre touche.
(Q - nlc : Très bien, c'est très clair.)
MB : Mais hé, ça fait deux ans et demi que je me fais disséquer vivant, je deviens quand même un peu méfiant sur des coups comme ça. En tant qu'archi, j'ai fait des relevés dans des bâtiments colossaux, j'ai pris des milliers de mesures. À une époque où je travaillais, il n'y avait pas les télémètres et machin, donc avec un mètre souple et un mètre rigide, je prenais des mesures et dans les centaines de bâtiments que j'ai pu mesurer, il y a des milliers de murs que je n'ai jamais touchés. Mais le bout de mon mètre a touché le mur, c'est évident. Autrement, je n'aurais pas pu prendre la mesure.
(Q - nlc : Vous voyez, nous, ça fait 30 ans, on était basé sur des raisonnements madits. Donc, on cherchait à chaque fois à interpréter chaque virgule, chaque mot, chaque lettre et à chercher des subtilités de langage ou des subtilités de compréhension. Ce qui fait que dans vos propos, parfois, évidemment, on arrive à trouver soit des incohérences, soit des paradoxes, soit des choses qui nous envoient dans le mur.)
MB : Des incohérences, je voudrais voir quand même. Je n'ai pas la sensation d'avoir été si souvent que ça incohérent, sibyllin je veux bien.
(Q - nlc : Non, il y a parfois des propos qui ont évolué dans le temps. Il y a des propos qui ont évolué dans le temps de votre bouche, mais après…)
MB : Bien sûr, mais moi, j'ai évolué. Moi, j'ai évolué, on a appris un langage. Moi, j'ai appris à échanger avec les chouetteurs, ce qui n'est pas évident.
(Q - nlc : Vous voyez aussi comment on avance de notre côté, donc vous évoluez aussi en fonction de ce qui se passe de notre côté, forcément.)
MB : Oui, et je vois comment vous percevez certaines choses que je peux dire, et j'essaye des fois de rectifier un peu. Si je me dis, j’ai dit ça, ils ne l'ont pas très bien capté, ou je n'aurais peut-être pas dû le dire comme ça. Donc j'essaye de réorienter derrière, etc. C'est mon rôle.
(Q - nlc : C'est comme l'histoire du pape, je ne sais pas si vous en avez peut-être déjà parlé, parce que je viens d'arriver moi, mais là ça a soulevé encore des discussions incroyables cette histoire du pape là.)
MB : Mais alors ce que je remarque, c'est qu'à chaque fois que je mets comme ça un petit coup de pied dans la fourmilière, je ne suis pas forcément inconscient de ce que je fais, je peux même être parfois tout à fait conscient, mais il en résulte de très très très bonnes choses, parce que plus ça s'excite sur le Discord, et plus il sort de choses intéressantes.
(Q - nlc : Remarquez que quand ça s'excite en général, c'est pour re-soulever encore le schisme Dabo-anti-Dabo à chaque fois.)
MB : Encore une fois, c'est une partie de l'ADN de la chasse.
MB : Mais est-ce que je n'ai pas déjà dit ça ? Il faut réécouter les vocaux Brybry. Pourtant, tu es le dictionnaire vivant. Tu es l'encyclopédie vivante des Midits toi ?
(Q - ?? : Roc : Excusez-moi, là. La question, tu ne l'as pas bien posée. Allons-y directement. Quelqu'un trouve les sentinelles et sur les sentinelles, il comprend qu'il doit se déplacer ailleurs, que le pile-poil est à 7 mètres d'un autre repère. C'est ça ta question, Brybry ?)
(Q - Brybry : Oui, c'est ça. Est-ce que c'est faux de dire que les sentinelles sont le dernier repère physique qui m'ont fait comprendre où est le pile-poil??)
MB : “Est-ce que c'est le dernier repère physique qui t'a fait comprendre où était le pile-poil ?” C'est bien ça ta question ?
(Q - Brybry : Oui, c'est ça.)
MB : Tu as pesé chaque mot ?
(Q - Brybry : Vous m’avez mis un doute.)
(Q - nlc : Répondez à la question de Roc, elle était plus claire, directe.)
MB : Roc, repose ta question. Juste la question.
(Q - Roc : Est-ce qu'on peut avoir un autre repère après les sentinelles parce qu'il a été induit par la compréhension qu'on a eu des sentinelles??)
MB : Quand tu dis après, c'est chronologique ou c'est géographique??
(Q - Roc : C'est les deux.)
MB : Rires
(Q - Roc : On fait le passage en revue et on comprend que maintenant, on doit se déplacer à un autre repère et que la chouette est à proximité de ce repère.)
MB : C'est chronologique ou géographique ? On est d'accord, Roc ? Tu maintiens ? C'est les deux ? Alors l'autre, c'était physique. Toi, c'est chronologique ou géographique ? On est d'accord ?
(Q - Roc : Oui, ben, Brybry, c'était physique aussi.)
MB : Bon, alors, je réponds à une des deux questions. Laquelle ? Non, mais parce que vous n'allez pas m'entuber quand même jusqu'au bout. Il faut vous mettre d'accord. Donc, vous en choisissez une, je réponds à une des deux.
(Q - Roc : Géographique. Quelle différence tu as entre géographique et physique??)
MB : Est-ce que tu es un être géographique ou physique, toi ?
(Q - Roc : Bah je suis les deux. Je suis un être physique situé à un endroit géographique.)
MB : Oui, mais tu n’es pas quelqu'un de géographique ? Aujourd’hui, tu es là, demain, tu es ailleurs.
(Q - Brybry : Géographique, géographique s'il vous plaît.)
MB : Attendez, je veux tout de suite vous enlever une idée que vous allez sûrement avoir, que je suis en train de me foutre de vous. Ce n'est pas le cas. Je suis juste en train de vous mettre le doigt sur le fait que même dans la manière dont vous posez les questions, ce n'est pas évident pour moi de répondre. Parce qu'il y a tellement d'extrapolations possibles après, que vous m'avez rendu méfiant, je suis devenu méfiant.
(Q - Brybry : Attendez, juste pour… Ce que moi, sincèrement, j'ai voulu dire, c'est que vous nous aviez dit que les derniers repères physiques à ce stade du jeu, c'est les sentinelles. Physiquement, à ce stade du jeu, c'est les sentinelles. Moi, j'ai un autre repère physique qui va m'aider à me matérialiser le pile-poil. Et je me demandais si c'était faux de se dire, vu que ce repère-là, il m'est donné, parce que je comprends au moment où je suis devant les sentinelles, est-ce que je peux dire que les sentinelles sont le dernier repère physique, même si j'en ai un autre, mais qu'il est dans la compréhension de la Super solution.)
MB : Donc c'est un repère physique que tu découvres après avoir découvert les sentinelles ? La réponse, c'est non, il n'y en a pas.
(Q - nlc : La confusion, c’est que vous n'avez jamais voulu valider la proximité de la cache par rapport au dernier repère, donc aux sentinelles. Vous aviez dit que ce soit 10, 30, 3 kilomètres, 100 kilomètres, 300 kilomètres, c'est vous qui vous démerdez. Mais à 300 kilomètres, on voit bien qu'il est impossible de localiser un point précis sans avoir un autre repère sur lequel matérialiser une mesure, par exemple, ou un alignement, ou n'importe quoi. En fait, la confusion vient de là.)
MB : Mais ce n'est pas une confusion, c'est un propos délibéré et le fait de dire 300 kilomètres, c'est comme quand on répond à quelqu'un, tu peux me le répéter 10 fois, 100 fois, 1000 fois, on sait bien qu'il ne va pas le répéter 1000 fois, mais on utilise cette expression. J’ai utilisé 300 kilomètres de la même manière. Je suis un homme normal.
(Q - nlc : Moi je l'avais compris comme ça aussi, quand on dit repères, on est logique.)
MB : Non, je ne suis pas en mesure, je n'ai pas l'intelligence, je n'ai pas la forme d'esprit, je n'ai pas la capacité d'être en permanence sur des propos qui pourraient avoir un sens. Quand je dis des trucs comme ça, une expression, vous avez remarqué qu'on a des échanges très directs, très spontanés. La spontanéité fait qu'on s'exprime en langage courant. Le langage courant, c'est de dire : “tu m'en mets un, tu m'en mets dix, tu m'en mets mille”, ça ne change rien. Bon ben voilà, c'est sur ce ton-là que j'avais répondu. Et donc, il n'y a pas à chercher midi à 14h.
(Q - nlc : Il y avait un autre point de confusion, c'était quand vous aviez dit une fois, ben non, non, pour le mécanisme de la supersolution, il n'y a pas besoin de toucher les repères ou les sentinelles. Sauf que nous, on s'est dit, mais s'il n'y a pas besoin de les toucher, on fait comment pour prendre nos mesures ?)
MB : Alors, très bien, mais c'est une excellente question. Comment je dois comprendre “ toucher “ ?
(Q - nlc : Bah toucher, c'est par exemple, admettons, je dois faire une mesure par rapport à un de mes repères qui serait donc une sentinelle, je pose mon mètre à proximité ou contre un bord de mon repère, je fais ma mesure, donc automatiquement je touche mon repère.)
MB : Mais le mètre touche, tu ne touches pas, le mètre touche.
(Q - nlc : Très bien, c'est très clair.)
MB : Mais hé, ça fait deux ans et demi que je me fais disséquer vivant, je deviens quand même un peu méfiant sur des coups comme ça. En tant qu'archi, j'ai fait des relevés dans des bâtiments colossaux, j'ai pris des milliers de mesures. À une époque où je travaillais, il n'y avait pas les télémètres et machin, donc avec un mètre souple et un mètre rigide, je prenais des mesures et dans les centaines de bâtiments que j'ai pu mesurer, il y a des milliers de murs que je n'ai jamais touchés. Mais le bout de mon mètre a touché le mur, c'est évident. Autrement, je n'aurais pas pu prendre la mesure.
(Q - nlc : Vous voyez, nous, ça fait 30 ans, on était basé sur des raisonnements madits. Donc, on cherchait à chaque fois à interpréter chaque virgule, chaque mot, chaque lettre et à chercher des subtilités de langage ou des subtilités de compréhension. Ce qui fait que dans vos propos, parfois, évidemment, on arrive à trouver soit des incohérences, soit des paradoxes, soit des choses qui nous envoient dans le mur.)
MB : Des incohérences, je voudrais voir quand même. Je n'ai pas la sensation d'avoir été si souvent que ça incohérent, sibyllin je veux bien.
(Q - nlc : Non, il y a parfois des propos qui ont évolué dans le temps. Il y a des propos qui ont évolué dans le temps de votre bouche, mais après…)
MB : Bien sûr, mais moi, j'ai évolué. Moi, j'ai évolué, on a appris un langage. Moi, j'ai appris à échanger avec les chouetteurs, ce qui n'est pas évident.
(Q - nlc : Vous voyez aussi comment on avance de notre côté, donc vous évoluez aussi en fonction de ce qui se passe de notre côté, forcément.)
MB : Oui, et je vois comment vous percevez certaines choses que je peux dire, et j'essaye des fois de rectifier un peu. Si je me dis, j’ai dit ça, ils ne l'ont pas très bien capté, ou je n'aurais peut-être pas dû le dire comme ça. Donc j'essaye de réorienter derrière, etc. C'est mon rôle.
(Q - nlc : C'est comme l'histoire du pape, je ne sais pas si vous en avez peut-être déjà parlé, parce que je viens d'arriver moi, mais là ça a soulevé encore des discussions incroyables cette histoire du pape là.)
MB : Mais alors ce que je remarque, c'est qu'à chaque fois que je mets comme ça un petit coup de pied dans la fourmilière, je ne suis pas forcément inconscient de ce que je fais, je peux même être parfois tout à fait conscient, mais il en résulte de très très très bonnes choses, parce que plus ça s'excite sur le Discord, et plus il sort de choses intéressantes.
(Q - nlc : Remarquez que quand ça s'excite en général, c'est pour re-soulever encore le schisme Dabo-anti-Dabo à chaque fois.)
MB : Encore une fois, c'est une partie de l'ADN de la chasse.