(Q - Syn : Mais là, c'est l'angle qui est différent aussi.)
MB : Oui, mais là, franchement, je ne sais pas vous le dire. Ce qui est certain, c'est que ce qui est absolument certain, là, j'y reviens quand même parce que c'est une constante et j'invite chacun à ne pas douter de ça. Ce qui est absolument certain, c'est que l'emplacement de la cache, il est unique et que le cheminement, il est le même depuis le début. Depuis l'origine de cette chasse, le cheminement est le même.
Après, il a assaisonné, il a varié, il a changé des trucs, on vient de le dire, mais le cheminement est toujours le même, le point d'arrivée est toujours le même, et là-dessus, le doute n'est pas permis. Une fois qu'on a épluché les solutions, etc., comme je l'ai pu le faire avec Blanche-Neige, le doute n'est pas permis. Il n'y a qu'un point d'arrivée possible.
Donc, ce qui se passe en cours de route, c'est les idées, les changements d'idées, les folies d'un concepteur d'énigmes. Pourquoi ? Comment ? Je ne peux pas répondre à tout là-dessus.
(Q - Syn : Dans la lecture, Michel, dans la lecture de la 560, du coup, celle du Père Méhus, donc avec le trait, avec un autre angle, etc. Pour certains, c'est plus facile de comprendre ce côté circulaire, parce que du coup, il irait avec le titre.)
MB : Mais il y a quand même un autre truc à dire là-dessus. Alors là, j'ai eu l'occasion de m'en apercevoir de mes yeux. C'est que Max Valentin n'avait absolument aucune pertinence dans le choix des illustrations et des éléments d'illustration. C'était du basico-basique, il n'avait vraiment aucune imagination là-dessus. Donc il a créé ce qu'on appelle le cahier des charges, ses préconisations pour l'illustrateur, c'étaient vraiment ses idées à lui. Bon ben, on va mettre ça, ça, ça… Mais encore une fois, choisir une équerre, choisir une portée musicale, choisir tel ou tel élément, c'est vraiment son choix personnel. Et je pense qu'autant il était à l'aise avec le verbe, autant avec l'image, il n'était pas toujours très pertinent.
MB : Oui, mais là, franchement, je ne sais pas vous le dire. Ce qui est certain, c'est que ce qui est absolument certain, là, j'y reviens quand même parce que c'est une constante et j'invite chacun à ne pas douter de ça. Ce qui est absolument certain, c'est que l'emplacement de la cache, il est unique et que le cheminement, il est le même depuis le début. Depuis l'origine de cette chasse, le cheminement est le même.
Après, il a assaisonné, il a varié, il a changé des trucs, on vient de le dire, mais le cheminement est toujours le même, le point d'arrivée est toujours le même, et là-dessus, le doute n'est pas permis. Une fois qu'on a épluché les solutions, etc., comme je l'ai pu le faire avec Blanche-Neige, le doute n'est pas permis. Il n'y a qu'un point d'arrivée possible.
Donc, ce qui se passe en cours de route, c'est les idées, les changements d'idées, les folies d'un concepteur d'énigmes. Pourquoi ? Comment ? Je ne peux pas répondre à tout là-dessus.
(Q - Syn : Dans la lecture, Michel, dans la lecture de la 560, du coup, celle du Père Méhus, donc avec le trait, avec un autre angle, etc. Pour certains, c'est plus facile de comprendre ce côté circulaire, parce que du coup, il irait avec le titre.)
MB : Mais il y a quand même un autre truc à dire là-dessus. Alors là, j'ai eu l'occasion de m'en apercevoir de mes yeux. C'est que Max Valentin n'avait absolument aucune pertinence dans le choix des illustrations et des éléments d'illustration. C'était du basico-basique, il n'avait vraiment aucune imagination là-dessus. Donc il a créé ce qu'on appelle le cahier des charges, ses préconisations pour l'illustrateur, c'étaient vraiment ses idées à lui. Bon ben, on va mettre ça, ça, ça… Mais encore une fois, choisir une équerre, choisir une portée musicale, choisir tel ou tel élément, c'est vraiment son choix personnel. Et je pense qu'autant il était à l'aise avec le verbe, autant avec l'image, il n'était pas toujours très pertinent.