(Q - Xavier D’Homan : Oui, mais donc vous considérez, vous, que ce que vous avez dit précédemment, c'est-à-dire…, je ne cherche pas une conviction, je ne cherche pas à finir…)
MB : Qu’est-ce que j'ai dit précédemment ?)
(Q - Xavier D’Homan : Précédemment, ça a commencé par, vous donnez une réponse à chaud de Léon, c'est-à-dire que vous avez mis en latin “Non habemus papam”, pas de pape. C'est-à-dire que dans la tête d'un daboïste, automatiquement, automatiquement, c'est-à-dire même pas daboïste, c'est-à-dire ceux qui utilisent la nef, voilà, de Dabo. Ça veut dire pas de pape, donc pas de nef, donc le débat tourne autour de ça.)
MB : Ça, c'est de la déduction à l'emporte-pièce. Si moi, je fonctionne comme vous fonctionnez, Xavier, le jeu, je le fous en l'air en 5 minutes. Mais est-ce que vous réalisez à quel point vos raisonnements sont taillés à la serpe. Mais enfin, non, non, non, Xavier, pardonnez-moi. Je dis il n'y a pas de pape, il n'y a pas de pape. Je n'ai pas dit, il n'y a pas de rocher, il n'y a pas de chapelle, il n'y a pas de Léon, il n'y a pas tout ce que tu veux. Je dis, il n'y a pas de pape. Quand on me parle d'un pape, on me parle d'un pape. On ne m'a pas demandé s'il y avait une chapelle, s'il y avait des édifices religieux. On en a déjà parlé de ça. J'ai déjà répondu. C'est bon. Mais on me dit, est-ce qu'il y a un pape dans la chasse ? Il n'y a pas de pape dans la chasse. Point à la ligne.
(Q - Manuella : Ça y est, ça commence déjà à s'énerver, là.)
MB : Je ne suis pas énervé, je suis aussi passionné que les joueurs. Et donc, de temps en temps, je m'emballe, mais je ne m'emporte pas.
(Q - Manuella : En tout cas, bonjour Michel, ça fait plaisir de vous entendre.)
MB : Bonjour, c'est réciproque. Moi, ça ne me fait pas plaisir de m'entendre, mais je comprends que vous, ça puisse éventuellement vous apporter un petit quelque chose. Non, mais pour être sérieux, sincèrement, il ne faut absolument pas travailler à la serpe comme vous le faites. Moi, je n'ai pas le pouvoir. Je considère que j'ai des devoirs vis-à-vis des joueurs avant toute chose. Et j'essaye de ne pas abuser justement du pouvoir, cette fois, que me confère le rôle d'organisateur du jeu. Parce que je sais qu'au moins une personne avant moi en a abusé, j'en connais les conséquences, et je ne veux pas réitérer ça, certainement pas. Je ne veux pas refaire le même, reproduire le même schéma.
(Q - Xavier : Pour finir, Michel, je précise bien que je ne travaille pas à la serpe, c'est-à-dire que ce n'est pas moi qui interprète. C'est-à-dire, moi, au contraire, je me suis dit, faites attention, Michel a dit quelque chose, ça, par exemple, il parle bien d'un pape, mais ça ne veut pas dire qu'il parle du reste autour. Attention, ce n'est pas moi qui dis, il a dit ça. Je dis, il parle du pape, il invalide peut-être un pape, le fait de s'intéresser à la religion, voilà. Mais il n'a pas dit, oui, il n'y a pas de nef, pas de Dabo, il n'y a pas de Fontainebleau, il n'a pas dit ça. Donc, je ne taille pas, moi, personnellement, au contraire, j'essaye de tirer l'essence de ce que vous dites. C'est-à-dire…)
MB : Oui, non mais je suis d'accord Xavier, mais il y a quand même une nuance entre opérer des déductions par rapport à un certain nombre de mes écrits ou de mes propos, et générer, parce qu'on pousse trop loin le débat ou trop loin le ballon, générer des polémiques. Les polémiques, c'est des questionnements, c'est des questionnements sur le questionnement. Du style, ouais, mais tu poses cette question, mais est-ce que tu es sûr qu'en posant cette question, tu ne vas pas ceci…, C'est ça qui se passe en ce moment beaucoup sur le Discord. Et je trouve qu'à un moment donné, ça devient un peu pervers. Et toi, Xavier, tu fais partie des gens qui ont, c'est mon point de vue, ça n’engage que moi, mais je pense que ça ne te déplaira pas, qui ont, selon moi, une belle intelligence, une très bonne manière de poser des questions et qui, au bout d'un moment, les questions, c'est tellement agréable de les poser qu'au bout d'un moment, tu pars dans la polémique. Tu polémiques toi-même sur les premières questions que tu poses. Tu y reviens, tu en rajoutes et on n'en sort plus. On n'est pas dans une affaire d'État, on est dans quelque chose qui est relativement accessible, même je dirai très accessible à la plupart des gens, et par conséquent, il ne faut pas rentrer dans des polémiques sans fin.
(Q - Xavier : Non mais c'est bien de mettre les choses au point, au moins on sait...)
MB : Non, mais j'essaye de te dire, tu sais, ce n'est pas de la critique, c'est du commentaire. Je serais bien mal placé pour critiquer quiconque sur ce Discord, étant donné que moi-même, dans mes propos, j'ai évolué, etc. Chacun a le droit de le faire et chacun le fait d'ailleurs de son mieux, c'est visible et c'est pour ça qu'on progresse. Mais je ne suis pas du tout dans la critique. J'essaye de rester dans le commentaire explicatif pour pouvoir vous faire partager mon ressenti.
Et c'est vrai qu'il m'arrive, c'est rare, c'est très rare, mais il m'arrive de vous écouter en loucedé. Et dans ces moments-là, j'entends des choses qui me font parfois hurler de rire. Franchement, des fois, j'éclate de rire. Et des fois, je me dis, ah, pourquoi ils poussent le ballon aussi loin ? C'est les deux pôles, en fait, de mes réactions. C'est un coup, j'éclate de rire. Un coup, je me dis, mais pourquoi ils poussent le débat aussi loin ? Pourquoi ils ne s'arrêtent pas à des questions normales, entre guillemets, normales ? On se pose la question. OK, on se pose la question. Ben oui, mais tu poses la question, mais si cependant, alors quand les si se multiplient, ah, là ça devient moins confortable et souvent ça en embarque beaucoup dans des tas de suppositions, de supputations. Voilà, c'est ça que j'essayais de définir.
MB : Qu’est-ce que j'ai dit précédemment ?)
(Q - Xavier D’Homan : Précédemment, ça a commencé par, vous donnez une réponse à chaud de Léon, c'est-à-dire que vous avez mis en latin “Non habemus papam”, pas de pape. C'est-à-dire que dans la tête d'un daboïste, automatiquement, automatiquement, c'est-à-dire même pas daboïste, c'est-à-dire ceux qui utilisent la nef, voilà, de Dabo. Ça veut dire pas de pape, donc pas de nef, donc le débat tourne autour de ça.)
MB : Ça, c'est de la déduction à l'emporte-pièce. Si moi, je fonctionne comme vous fonctionnez, Xavier, le jeu, je le fous en l'air en 5 minutes. Mais est-ce que vous réalisez à quel point vos raisonnements sont taillés à la serpe. Mais enfin, non, non, non, Xavier, pardonnez-moi. Je dis il n'y a pas de pape, il n'y a pas de pape. Je n'ai pas dit, il n'y a pas de rocher, il n'y a pas de chapelle, il n'y a pas de Léon, il n'y a pas tout ce que tu veux. Je dis, il n'y a pas de pape. Quand on me parle d'un pape, on me parle d'un pape. On ne m'a pas demandé s'il y avait une chapelle, s'il y avait des édifices religieux. On en a déjà parlé de ça. J'ai déjà répondu. C'est bon. Mais on me dit, est-ce qu'il y a un pape dans la chasse ? Il n'y a pas de pape dans la chasse. Point à la ligne.
(Q - Manuella : Ça y est, ça commence déjà à s'énerver, là.)
MB : Je ne suis pas énervé, je suis aussi passionné que les joueurs. Et donc, de temps en temps, je m'emballe, mais je ne m'emporte pas.
(Q - Manuella : En tout cas, bonjour Michel, ça fait plaisir de vous entendre.)
MB : Bonjour, c'est réciproque. Moi, ça ne me fait pas plaisir de m'entendre, mais je comprends que vous, ça puisse éventuellement vous apporter un petit quelque chose. Non, mais pour être sérieux, sincèrement, il ne faut absolument pas travailler à la serpe comme vous le faites. Moi, je n'ai pas le pouvoir. Je considère que j'ai des devoirs vis-à-vis des joueurs avant toute chose. Et j'essaye de ne pas abuser justement du pouvoir, cette fois, que me confère le rôle d'organisateur du jeu. Parce que je sais qu'au moins une personne avant moi en a abusé, j'en connais les conséquences, et je ne veux pas réitérer ça, certainement pas. Je ne veux pas refaire le même, reproduire le même schéma.
(Q - Xavier : Pour finir, Michel, je précise bien que je ne travaille pas à la serpe, c'est-à-dire que ce n'est pas moi qui interprète. C'est-à-dire, moi, au contraire, je me suis dit, faites attention, Michel a dit quelque chose, ça, par exemple, il parle bien d'un pape, mais ça ne veut pas dire qu'il parle du reste autour. Attention, ce n'est pas moi qui dis, il a dit ça. Je dis, il parle du pape, il invalide peut-être un pape, le fait de s'intéresser à la religion, voilà. Mais il n'a pas dit, oui, il n'y a pas de nef, pas de Dabo, il n'y a pas de Fontainebleau, il n'a pas dit ça. Donc, je ne taille pas, moi, personnellement, au contraire, j'essaye de tirer l'essence de ce que vous dites. C'est-à-dire…)
MB : Oui, non mais je suis d'accord Xavier, mais il y a quand même une nuance entre opérer des déductions par rapport à un certain nombre de mes écrits ou de mes propos, et générer, parce qu'on pousse trop loin le débat ou trop loin le ballon, générer des polémiques. Les polémiques, c'est des questionnements, c'est des questionnements sur le questionnement. Du style, ouais, mais tu poses cette question, mais est-ce que tu es sûr qu'en posant cette question, tu ne vas pas ceci…, C'est ça qui se passe en ce moment beaucoup sur le Discord. Et je trouve qu'à un moment donné, ça devient un peu pervers. Et toi, Xavier, tu fais partie des gens qui ont, c'est mon point de vue, ça n’engage que moi, mais je pense que ça ne te déplaira pas, qui ont, selon moi, une belle intelligence, une très bonne manière de poser des questions et qui, au bout d'un moment, les questions, c'est tellement agréable de les poser qu'au bout d'un moment, tu pars dans la polémique. Tu polémiques toi-même sur les premières questions que tu poses. Tu y reviens, tu en rajoutes et on n'en sort plus. On n'est pas dans une affaire d'État, on est dans quelque chose qui est relativement accessible, même je dirai très accessible à la plupart des gens, et par conséquent, il ne faut pas rentrer dans des polémiques sans fin.
(Q - Xavier : Non mais c'est bien de mettre les choses au point, au moins on sait...)
MB : Non, mais j'essaye de te dire, tu sais, ce n'est pas de la critique, c'est du commentaire. Je serais bien mal placé pour critiquer quiconque sur ce Discord, étant donné que moi-même, dans mes propos, j'ai évolué, etc. Chacun a le droit de le faire et chacun le fait d'ailleurs de son mieux, c'est visible et c'est pour ça qu'on progresse. Mais je ne suis pas du tout dans la critique. J'essaye de rester dans le commentaire explicatif pour pouvoir vous faire partager mon ressenti.
Et c'est vrai qu'il m'arrive, c'est rare, c'est très rare, mais il m'arrive de vous écouter en loucedé. Et dans ces moments-là, j'entends des choses qui me font parfois hurler de rire. Franchement, des fois, j'éclate de rire. Et des fois, je me dis, ah, pourquoi ils poussent le ballon aussi loin ? C'est les deux pôles, en fait, de mes réactions. C'est un coup, j'éclate de rire. Un coup, je me dis, mais pourquoi ils poussent le débat aussi loin ? Pourquoi ils ne s'arrêtent pas à des questions normales, entre guillemets, normales ? On se pose la question. OK, on se pose la question. Ben oui, mais tu poses la question, mais si cependant, alors quand les si se multiplient, ah, là ça devient moins confortable et souvent ça en embarque beaucoup dans des tas de suppositions, de supputations. Voilà, c'est ça que j'essayais de définir.