MB : Cela dit, d'une manière très claire, j'ai l'impression d'être Cahuzac devant l'Assemblée. Mesdames et messieurs, je n'ai jamais invalidé, je n'invalide pas et je n'invaliderai jamais Dabo. Simplement parce que Dabo est inscrit dans l'ADN du jeu. On n'y peut rien, c'est comme ça aujourd'hui. Voilà.
(Q - Xavier D’Homan : Non, mais vous avez le pouvoir Michel, c'est-à-dire que même si vous…)
MB : Non, non, non, non. Excuse-moi. Là, je réagis très vite. Je n'ai pas le pouvoir. J'ai le devoir. J'ai le devoir de ne pas me moquer des joueurs et de répondre par rapport à ce que j'ai appris, par rapport à ce que j’ai compris de l'histoire, par rapport à ce que je découvre d'implication, d'idées, de génie parfois dans les solutions qui me sont proposées. Par rapport à tout ça, par rapport à toute cette matière grise qui a été mise en jeu, par rapport à l'énergie qui a été déployée par des dizaines ou des centaines de milliers de joueurs, j’ai des devoirs, je n'ai pas le pouvoir et je n'en ai jamais considéré que j'ai le pouvoir et que je peux faire ce que je veux. Ce serait ridicule.
(Q - Xavier D’Homan : Non, mais vous avez le pouvoir Michel, c'est-à-dire que même si vous…)
MB : Non, non, non, non. Excuse-moi. Là, je réagis très vite. Je n'ai pas le pouvoir. J'ai le devoir. J'ai le devoir de ne pas me moquer des joueurs et de répondre par rapport à ce que j'ai appris, par rapport à ce que j’ai compris de l'histoire, par rapport à ce que je découvre d'implication, d'idées, de génie parfois dans les solutions qui me sont proposées. Par rapport à tout ça, par rapport à toute cette matière grise qui a été mise en jeu, par rapport à l'énergie qui a été déployée par des dizaines ou des centaines de milliers de joueurs, j’ai des devoirs, je n'ai pas le pouvoir et je n'en ai jamais considéré que j'ai le pouvoir et que je peux faire ce que je veux. Ce serait ridicule.