(Q - Séboustien : D'accord, mais moi je pensais en fait que le travail besogneux, il était justement avant ça, et donc en fait finalement le travail besogneux, c'est ça.)
MB : Bon, donc le travail laborieux, ce n'est pas spécialement un travail laborieux, ce n'est pas le même boulot. Dans un premier temps, on navigue. Dans un deuxième temps, on est arrivé quelque part et là, il faut se repérer, il faut comprendre, il faut trouver. Ça n'a plus rien à voir avec des éléments qui ont permis de naviguer.
(Q - Séboustien : D'accord, OK. Et du coup, j'avais une dernière question, j'ai du mal à comprendre la distinction entre solution unique qui n'accepte pas d'être maniée et plusieurs tunnels à la fin où il faut faire un choix.)
MB : Alors ouais, Ouais, Ouais. C'est effectivement difficile à capter. Il y a une notion, il y a une notion de choix, de doute, on emploie le terme qu'on veut à la fin, mais qui est d'une ampleur réduite. On réfléchit et a priori, on va assez vite trouver. Mais ça n'a rien à voir avec une remise en perspective complète ou disons une théorie qui permettrait d'avoir 150 solutions possibles, donc de définir 150 points différents, par exemple. Ce n'est pas du tout le cas. Simplement, quand on va être à la toute fin, au moment de vraiment trouver, on va encore se poser quelques questions et puis très vite, on va dire : “Oui, bon, OK, il y a 2, 3 possibilités”, mais la bonne, c'est forcément celle-là. Et puis voilà, c'est à ce niveau-là, ce n'est pas autre chose.
(Q - Séboustien : Merci beaucoup Michel.)
MB : De rien.
MB : Bon, donc le travail laborieux, ce n'est pas spécialement un travail laborieux, ce n'est pas le même boulot. Dans un premier temps, on navigue. Dans un deuxième temps, on est arrivé quelque part et là, il faut se repérer, il faut comprendre, il faut trouver. Ça n'a plus rien à voir avec des éléments qui ont permis de naviguer.
(Q - Séboustien : D'accord, OK. Et du coup, j'avais une dernière question, j'ai du mal à comprendre la distinction entre solution unique qui n'accepte pas d'être maniée et plusieurs tunnels à la fin où il faut faire un choix.)
MB : Alors ouais, Ouais, Ouais. C'est effectivement difficile à capter. Il y a une notion, il y a une notion de choix, de doute, on emploie le terme qu'on veut à la fin, mais qui est d'une ampleur réduite. On réfléchit et a priori, on va assez vite trouver. Mais ça n'a rien à voir avec une remise en perspective complète ou disons une théorie qui permettrait d'avoir 150 solutions possibles, donc de définir 150 points différents, par exemple. Ce n'est pas du tout le cas. Simplement, quand on va être à la toute fin, au moment de vraiment trouver, on va encore se poser quelques questions et puis très vite, on va dire : “Oui, bon, OK, il y a 2, 3 possibilités”, mais la bonne, c'est forcément celle-là. Et puis voilà, c'est à ce niveau-là, ce n'est pas autre chose.
(Q - Séboustien : Merci beaucoup Michel.)
MB : De rien.