(Q - Brybry : Avant, pardon, vite fait, je fais très rapidement. Alors promis. Vous parliez de la façon dont les gens s’exprimaient avec un ton type un peu… Ça, c'est fait de manière inconsciente, donc je suis désolé.)
MB : Non, ce n'est pas inconscient du tout. Ce n'est pas inconscient, c'est ta manière de fonctionner. Là, tu es là pour quelque chose, tu n'es pas là par hasard, tu es là parce que ça te plaît, parce que tu as un rôle, tu as une place et tu tiens ta place. C'est ça que je veux dire. Comme moi d'ailleurs ! Moi aussi, je m'exprime, je fais sûrement des effets de voix de temps en temps, certains diront que je m'écoute parler et on a tous notre jeu de scène quelque part. Le naturel 100% n'existe pas. Tu le sais bien, tu l'entends bien quand tu parles d'une certaine manière, à un certain rythme, avec un certain ton. Tu sens très bien que le silence devient un peu plus profond, que les gens t'écoutent toujours. Bah pas toujours, c'est la réponse. Un peu fort, un peu, mais un peu moins, vous me connaissez. Je pense que ce n'est pas innocent du tout, tu le sais très bien, t'en joue très bien et parfait !
(Q - Brybry : Et après, vous me connaissez. Moi, je fais partie des indécrottables. Vous parliez avant de la nature des sentinelles. Je suis incapable de trancher à travers la réponse que vous nous avez faite. Je reçois des MP. On me dit : oui, ça veut dire (première acception) - non, il a validé (2ème acception). Je vous jure que quand vous nous parlez, c'est clair. Mais, la moitié va dire : bah oui, c'est logique. Et quand on va se confronter, en fait non, on n'aura pas la même logique. Là, quand vous avez parlé de la nature, je vous le jure, ça la refait. On ne le fait pas exprès.)
MB : Quand j'ai écrit sur la nature tout à l'heure ?
(Q - Brybry : Ouais, c'est ça.)
MB : Oui, mais là, je l'ai précisé donc il n’y a plus de doute. Qu'est-ce qui s'est passé ? On m'a remis la question : mais qu'est-ce que vous appelez nature ? On me demande ce que j'appelle nature alors que moi, j'ai répondu à quelqu'un qui me parle de la nature des sentinelles. Quand quelqu'un me dit : est-ce qu'on peut savoir la nature des sentinelles ? Pour moi, je comprends immédiatement que ce qu’il me demande, c'est : est-ce qu'on peut savoir ce que sont les sentinelles ? Est-ce que c'est des maisons, est-ce que c'est des arbres, est-ce que c'est des pierres, est-ce que c'est des statues, est-ce que c'est quoi ? Voilà, c'est la nature des sentinelles pour moi, voilà, ça se comprend d'une manière premier degré, assez simple, donc je réponds premier degré, assez simple, oui. C'était quand même simple. J'ai quelqu'un qui vient me dire : mais qu'est-ce que vous appelez nature ? Donc là, je commence à partir en vrille, je dis bon, attends, si on commence à éplucher les mots comme ça, on n'aboutit plus jamais. Donc, je lui ai répondu, je suis d'une nature primesautière et c'est pour ça qu'il m'arrive de temps en temps d'envoyer bouler les gens. Mais c'était une boutade effectivement, mais pour dire : bon, il faut arrêter de se prendre la tête avec le terme nature quoi, quand on parle de la nature des sentinelles, c'est : que sont les sentinelles ?
(Q - Brybry : Et ça, on peut le savoir avant de les découvrir? )
MB : Ah, en tout cas, depuis que je m'occupe du jeu, c'est sûr.
(Q - Brybry : Merci Michel. Non mais des fois, je vous jure, ça fait du bien. Sinon il y a toujours une part de doute. On se dit : ouais, on fait tellement de trouvailles et de coïncidences.)
MB : Déjà, je vais t'expliquer. C'est ce que font les chaînes d'info continue. À chaque fois, ils te disent, une bombe est tombée sur Kiev, va-t-il en tomber une 2ème ? Ça, c'est la chaîne d'information continue, histoire de te faire monter les tours et de capter l'auditoire. Pourquoi tu dis ça ? Pourquoi tu dis : on est toujours dans le doute ? Non, il y en a qui ne doutent pas. Moi, je vois bien les réponses, même dans les écrits, il y en a qui disent : bah Voilà ça veut dire ça, ce n'est pas la peine de se prendre la tête. Mais toi, tu fais partie des gens qui évoquent tellement de possibilités sans arrêt qu'on finit par se dire : bah oui, est-ce qu'on est vraiment sûr que le mot veut dire ça ? Pourquoi pas partir du principe qu'il n'y a pas besoin justement d'éplucher comme ça les mots et qu'on peut se permettre de les prendre au premier niveau, ils arrivent. Bon OK, on le comprend comme ça. Bon OK, on parle la même langue, OK, on parle de la même chose donc. Moi, habituellement, quand j'emploie ce mot-là, je le comprends comme ça. Donc restons sur ce niveau-là, voyons ce que ça donne.
MB : Non, ce n'est pas inconscient du tout. Ce n'est pas inconscient, c'est ta manière de fonctionner. Là, tu es là pour quelque chose, tu n'es pas là par hasard, tu es là parce que ça te plaît, parce que tu as un rôle, tu as une place et tu tiens ta place. C'est ça que je veux dire. Comme moi d'ailleurs ! Moi aussi, je m'exprime, je fais sûrement des effets de voix de temps en temps, certains diront que je m'écoute parler et on a tous notre jeu de scène quelque part. Le naturel 100% n'existe pas. Tu le sais bien, tu l'entends bien quand tu parles d'une certaine manière, à un certain rythme, avec un certain ton. Tu sens très bien que le silence devient un peu plus profond, que les gens t'écoutent toujours. Bah pas toujours, c'est la réponse. Un peu fort, un peu, mais un peu moins, vous me connaissez. Je pense que ce n'est pas innocent du tout, tu le sais très bien, t'en joue très bien et parfait !
(Q - Brybry : Et après, vous me connaissez. Moi, je fais partie des indécrottables. Vous parliez avant de la nature des sentinelles. Je suis incapable de trancher à travers la réponse que vous nous avez faite. Je reçois des MP. On me dit : oui, ça veut dire (première acception) - non, il a validé (2ème acception). Je vous jure que quand vous nous parlez, c'est clair. Mais, la moitié va dire : bah oui, c'est logique. Et quand on va se confronter, en fait non, on n'aura pas la même logique. Là, quand vous avez parlé de la nature, je vous le jure, ça la refait. On ne le fait pas exprès.)
MB : Quand j'ai écrit sur la nature tout à l'heure ?
(Q - Brybry : Ouais, c'est ça.)
MB : Oui, mais là, je l'ai précisé donc il n’y a plus de doute. Qu'est-ce qui s'est passé ? On m'a remis la question : mais qu'est-ce que vous appelez nature ? On me demande ce que j'appelle nature alors que moi, j'ai répondu à quelqu'un qui me parle de la nature des sentinelles. Quand quelqu'un me dit : est-ce qu'on peut savoir la nature des sentinelles ? Pour moi, je comprends immédiatement que ce qu’il me demande, c'est : est-ce qu'on peut savoir ce que sont les sentinelles ? Est-ce que c'est des maisons, est-ce que c'est des arbres, est-ce que c'est des pierres, est-ce que c'est des statues, est-ce que c'est quoi ? Voilà, c'est la nature des sentinelles pour moi, voilà, ça se comprend d'une manière premier degré, assez simple, donc je réponds premier degré, assez simple, oui. C'était quand même simple. J'ai quelqu'un qui vient me dire : mais qu'est-ce que vous appelez nature ? Donc là, je commence à partir en vrille, je dis bon, attends, si on commence à éplucher les mots comme ça, on n'aboutit plus jamais. Donc, je lui ai répondu, je suis d'une nature primesautière et c'est pour ça qu'il m'arrive de temps en temps d'envoyer bouler les gens. Mais c'était une boutade effectivement, mais pour dire : bon, il faut arrêter de se prendre la tête avec le terme nature quoi, quand on parle de la nature des sentinelles, c'est : que sont les sentinelles ?
(Q - Brybry : Et ça, on peut le savoir avant de les découvrir? )
MB : Ah, en tout cas, depuis que je m'occupe du jeu, c'est sûr.
(Q - Brybry : Merci Michel. Non mais des fois, je vous jure, ça fait du bien. Sinon il y a toujours une part de doute. On se dit : ouais, on fait tellement de trouvailles et de coïncidences.)
MB : Déjà, je vais t'expliquer. C'est ce que font les chaînes d'info continue. À chaque fois, ils te disent, une bombe est tombée sur Kiev, va-t-il en tomber une 2ème ? Ça, c'est la chaîne d'information continue, histoire de te faire monter les tours et de capter l'auditoire. Pourquoi tu dis ça ? Pourquoi tu dis : on est toujours dans le doute ? Non, il y en a qui ne doutent pas. Moi, je vois bien les réponses, même dans les écrits, il y en a qui disent : bah Voilà ça veut dire ça, ce n'est pas la peine de se prendre la tête. Mais toi, tu fais partie des gens qui évoquent tellement de possibilités sans arrêt qu'on finit par se dire : bah oui, est-ce qu'on est vraiment sûr que le mot veut dire ça ? Pourquoi pas partir du principe qu'il n'y a pas besoin justement d'éplucher comme ça les mots et qu'on peut se permettre de les prendre au premier niveau, ils arrivent. Bon OK, on le comprend comme ça. Bon OK, on parle la même langue, OK, on parle de la même chose donc. Moi, habituellement, quand j'emploie ce mot-là, je le comprends comme ça. Donc restons sur ce niveau-là, voyons ce que ça donne.