MB : L’exemple d’Apollon pour moi, il est excellent, le “prêtre un arc à Apollon”, il faut arrêter, prêter, il n'est pas à vous l'arc, vous ne pouvez pas lui prêter quoi, c'est évident, ce n’est pas ce sens-là, ce n’est même pas la peine d’en discuter quoi.
(Q - Syn : c'est un classique, quand on fait des énigmes, “prête un arc à Apollon”, enfin, c'est presque du lyrique, presque.)
MB : Donc oui, mais alors c'est exactement ça. Et quand on parle de propos émanant d'un publicitaire, c'était son cœur de métier, comment valoriser le produit, comment donner envie, comment créer un univers autour du produit, que ce soit une casserole, une cuillère ou je ne sais quoi, ou un téléviseur ou une voiture comme c'est aujourd'hui, très à la mode d'en rajouter sur les bagnoles, elle vole, elle plane, elle vous procure du bien-être. On ferme les yeux tellement on est bien, tiens, essaye de le faire sur la route, tu vas voir ce qui se passe. C'est, je veux dire, on est complètement dans l'image et c'est ça les textes de Régis Hauser quand il les a…, ouais ?
(Q - Syn : c'est un classique, quand on fait des énigmes, “prête un arc à Apollon”, enfin, c'est presque du lyrique, presque.)
MB : Donc oui, mais alors c'est exactement ça. Et quand on parle de propos émanant d'un publicitaire, c'était son cœur de métier, comment valoriser le produit, comment donner envie, comment créer un univers autour du produit, que ce soit une casserole, une cuillère ou je ne sais quoi, ou un téléviseur ou une voiture comme c'est aujourd'hui, très à la mode d'en rajouter sur les bagnoles, elle vole, elle plane, elle vous procure du bien-être. On ferme les yeux tellement on est bien, tiens, essaye de le faire sur la route, tu vas voir ce qui se passe. C'est, je veux dire, on est complètement dans l'image et c'est ça les textes de Régis Hauser quand il les a…, ouais ?