(Q - ?? : Et après, il dit bonne nuit.)
MB : Ah ouais, après, il se casse, il va fêter son anniversaire et démerdez-vous. Ça, c'est du Brybry tout craché !
C'est la réalité, c'est la réalité. Gringos, c'est un autre style. Mais les uns et les autres, finalement, mettent en scène leurs propos, leurs pensées, avec le dessein conscient ou pas d'ailleurs, d'influencer, de capter l'auditoire et évidemment de l'influencer, mais plus encore de le capter, je crois.
(Q - Droopy : Brybry, il met quand même en scène une somme quand même conséquente, des madits, des midits. Ce n'est pas pour rien que je l'appelais l'archiviste, mais il est bon là-dedans hein, il peut te ressortir des trucs…)
MB : Ce n'est pas une critique Droopy, c'est juste le moyen de dire…, des fois, il faut faire gaffe parce qu'il y en a qui sont très bons au micro.
(Q - Droopy : Ouais pour mettre une ambiance et encenser…)
MB : Par exemple, en ce moment, Brybry boit du petit lait…
(Q - Brybry : c'est vrai en plus.)
(Q - Droopy : Ah Ben dis donc Michel, tu es devin ou quoi ? Michel, il a vu Brybry sur sa table de cuisine avec un verre de lait.)
MB : Non mais sérieusement, quand on arrive à concevoir ça, quand on écoute ces chaînes d'info, pour reprendre l'exemple de départ, très bon exemple. Je veux dire, on a forcément, de par leur mise en scène, il y a une incidence sur notre rythme cardiaque, sur notre mental. Et on est, on est pris malgré soi, sauf si on coupe le son. Et par exemple, si on lisait sur les lèvres des journalistes, on n'aurait pas du tout la même perception de ce qu'ils racontent, ça, c'est un bon exemple de comment…, pour redonner un peu de neutralité aux propos, pour ne pas se laisser embarquer quoi.
Un autre exemple absolument génial de quelqu'un qui raconte tout et n'importe quoi, c'est Tompoucex. Bon, il a un débit, une intonation, et cetera, et il fait marrer tout le monde, il en énerve beaucoup, mais il tient la scène. Donc à un moment donné, certains disent ou écrivent, bah ouais ouais, Tompoucex a raison. Tompoucex, il cherche la 1 sur 2, il n'a aucune idée d'où elle est et vive la tour Eiffel. Mais il y en a qui arrivent à dire ah ouais ouais Tompoucex a raison. Parce qu'il le fait de cette manière-là.
Mais oui, il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu dans la manière de comprendre et en ce qui me concerne, je sais parfaitement que les opinions des uns des autres, par exemple un Giulio Fumastella que j'ai viré ce soir parce que je le trouve très indigeste. Ces gens-là ont des a priori, greffent sur mon personnage des intentions que de toute évidence je n'ai pas, du style régler mes comptes avec Max Valentin ou Dieu sait quoi et donne à mes propos ou cherche à donner à mes propos une tonalité qu’ils n'ont pas, c'est-à-dire un côté parti pris tendancieux et ça influe sur la manière dont les uns et les autres peuvent capter ce que je dis. Alors qu'en fait, j'essaye quand je peux hein, parce qu'il y a des fois où je ne peux pas parce que ça déflorerait le jeu.
Mais quand je peux m'exprimer d'une manière normale, on va dire, les termes que j'emploie sont toujours à prendre au premier degré. Enfin, il n'y a pas…, tant qu'il ne s'agit pas de la rédaction de Pierrette ou de choses comme ça, où là les termes sont à bien éplucher et peuvent être pris d'ailleurs pour beaucoup, au premier degré, pour la plupart même.
Mais dans mon propos habituel, quand…,
(Q - ?? : Michel, sauf ton respect, il n’y a pas que du premier degré parce que tu es joueur, tu as l'esprit des jeux de mots aussi. Et tu balances, à mon avis hein, c'est mon humble avis, tu balances aussi des choses, des petites pichenettes de mots, dans les vocaux qui font sursauter ou pas, parce qu'ils l'ont vu ou ils ne l'ont pas vu, ils l'ont compris ou pas compris, ils font sursauter les joueurs quoi. Tu as quand même…, tu n’es pas qu'au premier degré quand tu parles hein. C'est ça que je voulais dire quoi. Il y a aussi…, tu es un petit malin, si je puis m'exprimer ainsi.)
MB : Alors, je ne peux pas dire le contraire. Non pas que je sois un petit malin, mais sur le fait que je joue un peu avec les mots. Et quand on…, c'est toujours d'ailleurs quand il s'agit de flirter avec des points sensibles du jeu, mais les mots eux-mêmes, pour ceux qu'on doit retenir, sont à prendre au premier degré.
MB : Ah ouais, après, il se casse, il va fêter son anniversaire et démerdez-vous. Ça, c'est du Brybry tout craché !
C'est la réalité, c'est la réalité. Gringos, c'est un autre style. Mais les uns et les autres, finalement, mettent en scène leurs propos, leurs pensées, avec le dessein conscient ou pas d'ailleurs, d'influencer, de capter l'auditoire et évidemment de l'influencer, mais plus encore de le capter, je crois.
(Q - Droopy : Brybry, il met quand même en scène une somme quand même conséquente, des madits, des midits. Ce n'est pas pour rien que je l'appelais l'archiviste, mais il est bon là-dedans hein, il peut te ressortir des trucs…)
MB : Ce n'est pas une critique Droopy, c'est juste le moyen de dire…, des fois, il faut faire gaffe parce qu'il y en a qui sont très bons au micro.
(Q - Droopy : Ouais pour mettre une ambiance et encenser…)
MB : Par exemple, en ce moment, Brybry boit du petit lait…
(Q - Brybry : c'est vrai en plus.)
(Q - Droopy : Ah Ben dis donc Michel, tu es devin ou quoi ? Michel, il a vu Brybry sur sa table de cuisine avec un verre de lait.)
MB : Non mais sérieusement, quand on arrive à concevoir ça, quand on écoute ces chaînes d'info, pour reprendre l'exemple de départ, très bon exemple. Je veux dire, on a forcément, de par leur mise en scène, il y a une incidence sur notre rythme cardiaque, sur notre mental. Et on est, on est pris malgré soi, sauf si on coupe le son. Et par exemple, si on lisait sur les lèvres des journalistes, on n'aurait pas du tout la même perception de ce qu'ils racontent, ça, c'est un bon exemple de comment…, pour redonner un peu de neutralité aux propos, pour ne pas se laisser embarquer quoi.
Un autre exemple absolument génial de quelqu'un qui raconte tout et n'importe quoi, c'est Tompoucex. Bon, il a un débit, une intonation, et cetera, et il fait marrer tout le monde, il en énerve beaucoup, mais il tient la scène. Donc à un moment donné, certains disent ou écrivent, bah ouais ouais, Tompoucex a raison. Tompoucex, il cherche la 1 sur 2, il n'a aucune idée d'où elle est et vive la tour Eiffel. Mais il y en a qui arrivent à dire ah ouais ouais Tompoucex a raison. Parce qu'il le fait de cette manière-là.
Mais oui, il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu dans la manière de comprendre et en ce qui me concerne, je sais parfaitement que les opinions des uns des autres, par exemple un Giulio Fumastella que j'ai viré ce soir parce que je le trouve très indigeste. Ces gens-là ont des a priori, greffent sur mon personnage des intentions que de toute évidence je n'ai pas, du style régler mes comptes avec Max Valentin ou Dieu sait quoi et donne à mes propos ou cherche à donner à mes propos une tonalité qu’ils n'ont pas, c'est-à-dire un côté parti pris tendancieux et ça influe sur la manière dont les uns et les autres peuvent capter ce que je dis. Alors qu'en fait, j'essaye quand je peux hein, parce qu'il y a des fois où je ne peux pas parce que ça déflorerait le jeu.
Mais quand je peux m'exprimer d'une manière normale, on va dire, les termes que j'emploie sont toujours à prendre au premier degré. Enfin, il n'y a pas…, tant qu'il ne s'agit pas de la rédaction de Pierrette ou de choses comme ça, où là les termes sont à bien éplucher et peuvent être pris d'ailleurs pour beaucoup, au premier degré, pour la plupart même.
Mais dans mon propos habituel, quand…,
(Q - ?? : Michel, sauf ton respect, il n’y a pas que du premier degré parce que tu es joueur, tu as l'esprit des jeux de mots aussi. Et tu balances, à mon avis hein, c'est mon humble avis, tu balances aussi des choses, des petites pichenettes de mots, dans les vocaux qui font sursauter ou pas, parce qu'ils l'ont vu ou ils ne l'ont pas vu, ils l'ont compris ou pas compris, ils font sursauter les joueurs quoi. Tu as quand même…, tu n’es pas qu'au premier degré quand tu parles hein. C'est ça que je voulais dire quoi. Il y a aussi…, tu es un petit malin, si je puis m'exprimer ainsi.)
MB : Alors, je ne peux pas dire le contraire. Non pas que je sois un petit malin, mais sur le fait que je joue un peu avec les mots. Et quand on…, c'est toujours d'ailleurs quand il s'agit de flirter avec des points sensibles du jeu, mais les mots eux-mêmes, pour ceux qu'on doit retenir, sont à prendre au premier degré.