(Q - SaïdParis : Bourges, si on la réutilise à la fin en se disant, on l'a trouvé au début, c'est un reliquat, c'est quelque chose qui vient de notre jeu.)
MB : Non. La notion de reliquat qui s'est développée pendant toutes ces années… Moi je l'ai lu, je ne l'invente pas, je l'ai lu une fois où j'allais regarder un petit peu ce qui se disait sur le forum de l’A2CO, j'ai lu quelqu'un qui disait Bah Moi j'ai, je me souviens plus de mémoire, j'ai 94 reliquats, donc c'est des déductions. C'était expliqué comme étant des déductions des choses trouvées dans les énigmes qui n'avaient pas d'utilité sur le moment, mais qui serviraient le moment venu. Genre, je ramasse des outils sur mon chemin et à un moment donné, il va falloir que je dévisse quelque chose ou voilà… et c'est un peu l'histoire de je ne sais plus comment s'appelle ce film, le type qui fait des trouvailles extraordinaires, et on lui efface sa mémoire. Et puis il a planqué des trucs dans une enveloppe, ça vous dit quelque chose ? Vous voyez ce que c'est ce film ?
(Q - SaïdParis : Oui, Mémento.)
MB : Ouais. Ben c'est un peu ça, c'est la notion de reliquat. C'est comme si on avait son enveloppe avec plein de trucs dedans, puis à un moment donné, quand on arrive à la fin, on va ouvrir l'enveloppe et on va dire alors ça, je fais quoi avec ? Mais ce n'est pas du tout ça, ça n'a rien à voir avec ça. C'est pour ça que je veux vraiment gommer cette notion de reliquat qui est complètement perturbatrice, hein ?
(Q - Xavier d’Homan : Bonjour Michel, c'est Xavier. J'aurais une question à propos de l’île de tout à l'heure, l'île au Trésor. Une question : quand vous dites qu'on arrive, qu'on arrive de n'importe quelle façon, on s'en fout, mais est-ce qu'on pourrait être d'accord sur le fait que c'est des éléments…)
MB : Non, non, je n'ai pas dit de n'importe quelle façon. J'ai dit : par n'importe quel moyen, en l'occurrence.
(Q - Xavier : Oui, oui, d'accord, d'accord.)
MB : Mais on arrive au même endroit. Donc ça veut dire qu'on suit un parcours, un itinéraire si vous préférez, on arrive à un endroit, qu’on y arrive à pied, à cheval ou en voiture, comme dit l'autre, peu importe.
(Q - Xavier : D'accord, donc quand on arrive sur cette île, est-ce qu'on pourrait tomber d'accord sur le fait que c'est des éléments qu'on va trouver sur l'île qui vont nous aider, avec évidemment les réflexes, à trouver la super solution.)
MB : Bah il semble bien que ça se présente comme ça, avec les réflexes qu'on doit avoir, donc une connaissance de certains éléments qui peut être utile et on est là, on a tout en main si j'ose dire.
(Q - Xavier : D'accord, ça veut dire qu'on arrive sur l'île, ce n'est pas comme une carte au Trésor où il y a …)
MB : T’es sûr ? T'es vraiment sûr ?
(Q - Xavier : Non, je suis simplement en train de vous dire, par exemple, quand on a une carte au trésor pirate, la carte va nous amener sur l'île…)
MB : Xavier, je ne veux pas me paraphraser. J'ai répondu, il ne faut pas me reposer la question différemment et c'est ça que j'évoque quand je dis: ”Tu es sûr ? Tu es vraiment sûr ? “. Là, vous venez glisser la notion de carte. On n'a pas parlé de carte avant.
(Q - Xavier : Non, je n'ai pas parlé de carte non plus.)
MB : Si, à l'instant.
(Q - Xavier : Non, non, non, je vous parle de chasse dans les... non, je vous parle dans les histoires de trésor.)
MB : Mais Xavier, je ne joue pas avec les mots, je fais juste attention de répondre à la question qui m'est posée mais il ne faut pas me la reposer autrement avec des mots différents qui pourraient laisser à penser… il y a des gens qui écoutent ce qu'on est en train de se dire, il y en a qui vont dire Ah tiens, il a parlé d'une carte et demain, il y en a qui vont discuter sur le fait de savoir si la carte ceci ou la carte cela. C'est pour ça que je fais gaffe.
(Q - Xavier : Oui non, mais après ça n'a aucun rapport avec la carte qu'on utiliserait dans notre chasse. C'était simplement pour dire que quand un pirate, il laisse son trésor, il laisse une carte. Elle nous indique jusqu'à la fin où on va pour creuser, donc je vous parle pas de carte de chouette d'or. Mais, là on est bien d'accord que c'est l'endroit qui va nous aider à comprendre ce qu'on doit faire pour aller jusqu'à la fin.)
MB : Bah oui, forcément, ça ne peut fonctionner qu'à un seul endroit.
MB : Bon, on ne va pas se lancer dans une nuit de question réponse hein ? Parce que d'abord moi je suis un peu claqué parce que je bosse comme un malade là en ce moment, non seulement sur les solutions mais sur la préparation de la procédure, et cetera. Donc c'est très chronophage tout ça. Et donc, je ne souhaite pas qu'on fasse question réponse toute la nuit, vous êtes d'accord ?
(Q - ?? : Bah justement si j'avais une question par rapport à ça, moi, est-ce que l’heure de votre vocal était préméditée en fait ?)
MB : Non
MB : Non. La notion de reliquat qui s'est développée pendant toutes ces années… Moi je l'ai lu, je ne l'invente pas, je l'ai lu une fois où j'allais regarder un petit peu ce qui se disait sur le forum de l’A2CO, j'ai lu quelqu'un qui disait Bah Moi j'ai, je me souviens plus de mémoire, j'ai 94 reliquats, donc c'est des déductions. C'était expliqué comme étant des déductions des choses trouvées dans les énigmes qui n'avaient pas d'utilité sur le moment, mais qui serviraient le moment venu. Genre, je ramasse des outils sur mon chemin et à un moment donné, il va falloir que je dévisse quelque chose ou voilà… et c'est un peu l'histoire de je ne sais plus comment s'appelle ce film, le type qui fait des trouvailles extraordinaires, et on lui efface sa mémoire. Et puis il a planqué des trucs dans une enveloppe, ça vous dit quelque chose ? Vous voyez ce que c'est ce film ?
(Q - SaïdParis : Oui, Mémento.)
MB : Ouais. Ben c'est un peu ça, c'est la notion de reliquat. C'est comme si on avait son enveloppe avec plein de trucs dedans, puis à un moment donné, quand on arrive à la fin, on va ouvrir l'enveloppe et on va dire alors ça, je fais quoi avec ? Mais ce n'est pas du tout ça, ça n'a rien à voir avec ça. C'est pour ça que je veux vraiment gommer cette notion de reliquat qui est complètement perturbatrice, hein ?
(Q - Xavier d’Homan : Bonjour Michel, c'est Xavier. J'aurais une question à propos de l’île de tout à l'heure, l'île au Trésor. Une question : quand vous dites qu'on arrive, qu'on arrive de n'importe quelle façon, on s'en fout, mais est-ce qu'on pourrait être d'accord sur le fait que c'est des éléments…)
MB : Non, non, je n'ai pas dit de n'importe quelle façon. J'ai dit : par n'importe quel moyen, en l'occurrence.
(Q - Xavier : Oui, oui, d'accord, d'accord.)
MB : Mais on arrive au même endroit. Donc ça veut dire qu'on suit un parcours, un itinéraire si vous préférez, on arrive à un endroit, qu’on y arrive à pied, à cheval ou en voiture, comme dit l'autre, peu importe.
(Q - Xavier : D'accord, donc quand on arrive sur cette île, est-ce qu'on pourrait tomber d'accord sur le fait que c'est des éléments qu'on va trouver sur l'île qui vont nous aider, avec évidemment les réflexes, à trouver la super solution.)
MB : Bah il semble bien que ça se présente comme ça, avec les réflexes qu'on doit avoir, donc une connaissance de certains éléments qui peut être utile et on est là, on a tout en main si j'ose dire.
(Q - Xavier : D'accord, ça veut dire qu'on arrive sur l'île, ce n'est pas comme une carte au Trésor où il y a …)
MB : T’es sûr ? T'es vraiment sûr ?
(Q - Xavier : Non, je suis simplement en train de vous dire, par exemple, quand on a une carte au trésor pirate, la carte va nous amener sur l'île…)
MB : Xavier, je ne veux pas me paraphraser. J'ai répondu, il ne faut pas me reposer la question différemment et c'est ça que j'évoque quand je dis: ”Tu es sûr ? Tu es vraiment sûr ? “. Là, vous venez glisser la notion de carte. On n'a pas parlé de carte avant.
(Q - Xavier : Non, je n'ai pas parlé de carte non plus.)
MB : Si, à l'instant.
(Q - Xavier : Non, non, non, je vous parle de chasse dans les... non, je vous parle dans les histoires de trésor.)
MB : Mais Xavier, je ne joue pas avec les mots, je fais juste attention de répondre à la question qui m'est posée mais il ne faut pas me la reposer autrement avec des mots différents qui pourraient laisser à penser… il y a des gens qui écoutent ce qu'on est en train de se dire, il y en a qui vont dire Ah tiens, il a parlé d'une carte et demain, il y en a qui vont discuter sur le fait de savoir si la carte ceci ou la carte cela. C'est pour ça que je fais gaffe.
(Q - Xavier : Oui non, mais après ça n'a aucun rapport avec la carte qu'on utiliserait dans notre chasse. C'était simplement pour dire que quand un pirate, il laisse son trésor, il laisse une carte. Elle nous indique jusqu'à la fin où on va pour creuser, donc je vous parle pas de carte de chouette d'or. Mais, là on est bien d'accord que c'est l'endroit qui va nous aider à comprendre ce qu'on doit faire pour aller jusqu'à la fin.)
MB : Bah oui, forcément, ça ne peut fonctionner qu'à un seul endroit.
MB : Bon, on ne va pas se lancer dans une nuit de question réponse hein ? Parce que d'abord moi je suis un peu claqué parce que je bosse comme un malade là en ce moment, non seulement sur les solutions mais sur la préparation de la procédure, et cetera. Donc c'est très chronophage tout ça. Et donc, je ne souhaite pas qu'on fasse question réponse toute la nuit, vous êtes d'accord ?
(Q - ?? : Bah justement si j'avais une question par rapport à ça, moi, est-ce que l’heure de votre vocal était préméditée en fait ?)
MB : Non