(Q - Saïd : D'accord. Parce que vous savez que vous dites que Michel, c'est un littéraire, euh Max, c'est un littéraire. Pardon, Michel aussi d'ailleurs. Et que c'était très intéressant de reprendre les énigmes en les lisant attentivement, etc, ce que j'essaie de faire en ce moment. Mais vous savez que sur un petit mot, on peut bâtir une piste entière. Il y a des pistes qui sont bâties entièrement sur un petit mot, une compréhension qu'ils ont faite de ce mot et malheureusement, ben…)
MB : Oui, mais ce que j'ai essayé en fait de mettre en avant et encore une fois bien, bien, bien au-delà de toute préoccupation personnelle, de revanche ou de quoi que ce soit, ce n'est vraiment pas mon propos, ce que j'ai essayé de mettre en avant, c'est que ce jeu a été conçu par un publicitaire et en plus, je dirais un publicitaire du siècle dernier, un publicitaire avec des méthodes qui étaient celles des publicitaires du 20ème siècle. C'est-à-dire, on essaie de… ça a pas vraiment changé, mais quand même, il y a beaucoup de paramètres qui se sont affinés aujourd'hui, avec des capacités d'analyse beaucoup plus fines que ce qu'on avait à l'époque.
Mais l'époque de Max Valentin, c'est l'époque où les publicitaires, et à fortiori ceux qui travaillaient par mailing, donc courrier postal, document imprimé, etc, prospectus et tout ce que vous voulez. C'est à l'époque où la rédaction publicitaire était quelque chose de très important. Aujourd'hui, on sacrifie davantage au visuel, beaucoup moins au textuel. Mais à l'époque de Max Valentin, le textuel était très important et donc bon nombre de vocables employés dans la chasse sont des vocables à haut potentiel d'adrénaline. Ils sont là pour titiller, pour suggérer, pour instiller quelque chose et surtout pour donner envie, pour intriguer, pour motiver. Et c'était vraiment une démarche qui était celle de rédacteur publicitaire de l'époque et il ne faut pas oublier que Régis Hauser en l'occurrence, était rédacteur publicitaire. Il rédigeait des prospectus. Il était spécialisé dans la vente par correspondance et il savait très bien quand il employait certains vocables, certaines tournures de phrases. Quand il donnait, certaines couleurs à son texte. Voilà, il savait très bien ce qu'il allait provoquer chez le lecteur.
(Q - Saïd : Je suis enclin à continuer, mais bon, il y en a beaucoup qui disent qu'ils n'ont pas de micro et il y a beaucoup qui me disent, on entend que toi arrête de parler donc je ne sais pas moi.)
MB : Oui, mais ce que j'ai essayé en fait de mettre en avant et encore une fois bien, bien, bien au-delà de toute préoccupation personnelle, de revanche ou de quoi que ce soit, ce n'est vraiment pas mon propos, ce que j'ai essayé de mettre en avant, c'est que ce jeu a été conçu par un publicitaire et en plus, je dirais un publicitaire du siècle dernier, un publicitaire avec des méthodes qui étaient celles des publicitaires du 20ème siècle. C'est-à-dire, on essaie de… ça a pas vraiment changé, mais quand même, il y a beaucoup de paramètres qui se sont affinés aujourd'hui, avec des capacités d'analyse beaucoup plus fines que ce qu'on avait à l'époque.
Mais l'époque de Max Valentin, c'est l'époque où les publicitaires, et à fortiori ceux qui travaillaient par mailing, donc courrier postal, document imprimé, etc, prospectus et tout ce que vous voulez. C'est à l'époque où la rédaction publicitaire était quelque chose de très important. Aujourd'hui, on sacrifie davantage au visuel, beaucoup moins au textuel. Mais à l'époque de Max Valentin, le textuel était très important et donc bon nombre de vocables employés dans la chasse sont des vocables à haut potentiel d'adrénaline. Ils sont là pour titiller, pour suggérer, pour instiller quelque chose et surtout pour donner envie, pour intriguer, pour motiver. Et c'était vraiment une démarche qui était celle de rédacteur publicitaire de l'époque et il ne faut pas oublier que Régis Hauser en l'occurrence, était rédacteur publicitaire. Il rédigeait des prospectus. Il était spécialisé dans la vente par correspondance et il savait très bien quand il employait certains vocables, certaines tournures de phrases. Quand il donnait, certaines couleurs à son texte. Voilà, il savait très bien ce qu'il allait provoquer chez le lecteur.
(Q - Saïd : Je suis enclin à continuer, mais bon, il y en a beaucoup qui disent qu'ils n'ont pas de micro et il y a beaucoup qui me disent, on entend que toi arrête de parler donc je ne sais pas moi.)