(Q - Xavier : Michel, il y a un midit que j’aime beaucoup, que j’adore, c'est celui, rappelez-vous de l'histoire de la balle au ralenti. Vous aviez dit, vous aviez trouvé un exemple, vous aviez dit que c'était un peu, comme vous aviez fait une comparaison en disant c'est comme une balle au ralenti, ça veut dire on voit une balle au ralenti, si jamais elle passe trop vite, on ne la voit pas. Par contre, si elle passe au ralenti, on a le temps de voir les choses.)
MB : Oui, je me souviens de ça effectivement.
(Q - Xavier : J'avais beaucoup aimé ce truc parce que ça faisait penser à justement ce concept de voir les choses et pour voir les choses, il faut prendre son temps, comme la balle au ralenti. Parce que si on passe trop vite…)
MB : Faut-être zélé…
(Q - Xavier : D’accord…)
(Q - ?? : Ouais, avec application.
(Q - Xavier : donc il faut prendre le temps de voir chaque chose au lieu de voir l'ensemble, c'est-à-dire que si on regarde de manière générale, on ne voit pas, il faut savoir ralentir et s'arrêter pour comprendre les choses.)
MB : Bah oui oui, vous venez de me le dire 3 fois de suite hein.
(Q - Xavier : Parce que j'aime bien vu que je me disais que c'était, je donnais mon interprétation de cette histoire de balle quoi.)
MB : Mais je suis d'accord.
MB : Oui, je me souviens de ça effectivement.
(Q - Xavier : J'avais beaucoup aimé ce truc parce que ça faisait penser à justement ce concept de voir les choses et pour voir les choses, il faut prendre son temps, comme la balle au ralenti. Parce que si on passe trop vite…)
MB : Faut-être zélé…
(Q - Xavier : D’accord…)
(Q - ?? : Ouais, avec application.
(Q - Xavier : donc il faut prendre le temps de voir chaque chose au lieu de voir l'ensemble, c'est-à-dire que si on regarde de manière générale, on ne voit pas, il faut savoir ralentir et s'arrêter pour comprendre les choses.)
MB : Bah oui oui, vous venez de me le dire 3 fois de suite hein.
(Q - Xavier : Parce que j'aime bien vu que je me disais que c'était, je donnais mon interprétation de cette histoire de balle quoi.)
MB : Mais je suis d'accord.