(Q - Exalastro : Ben je me fais un peu l'avocat du diable, mais moi je vous ai principalement écouté et je me dis, Ben le cold case j'ai pas remué ce que Max a pu dire par le passé et le 8 janvier, on avait une expression qui allait tout résoudre et on est le, allez, je vais prendre la date du 8 novembre on est x mois plus tard et toujours rien quoi donc repartir à 0, je suis reparti à 0 en disant je vais écouter Michel et Michel me dit qu'il y a une expression qui va tout résoudre et pas plus quoi. Qu'est-ce qui peut expliquer ce non-déclic ? Je ne sais pas, qu'est-ce qui pourtant…, vous étiez assez affirmatif dans ce qu'on aurait pu arriver à découler de cette expression, et je me dis bah mince en fait j'ai pas réussi…)
MB : Je suis toujours affirmatif mais on subit, vous subissez, nous subissons ensemble en ce moment même, un des phénomènes qui perdure dans cette chasse, à savoir que plus on en parle, plus on embrouille, plus on en rajoute, plus j'entends des gens qui me disent, mais vous avez dit que, mais est-ce que ça voudrait dire que ? Et plus ça s'étoffe, plus ça s'embrouille, plus ça devient…
(Q - Exalastro : Ben parce qu'on n'y arrive pas, parce que enfin oui, c'est le fait de se dire ça paraissait simple à la base…)
MB : C'est quoi votre expression à vous ?
(Q - Exalastro : Passer en revue.)
MB : Et vous avez fait quoi avec ?
(Q - Exalastro : Ah, j'ai essayé de regarder ce que faisait un gradé face à ses troupes, à essayer de le mettre en application puisque je suis censé passer en revue mes sentinelles. J'ai tout essayé.)
MB : Et vous l'avez fait ?
(Q - Exalastro : en vous écoutant, alors mais apparemment je n'ai pas tout essayé, sinon j'aurais la chouette entre les mains.)
MB : Vous êtes allé sur place ?
(Q - Exalastro : Oui.)
MB : Vous avez passé en revue vos sentinelles ?
(Q - Exalastro : oui en appliquant à la lettre, ce que je pouvais voir, ce que ferait un président devant ses sentinelles, donc c'est pas compliqué, il ne fait pas un schéma de scientifique à la NASA hein, il marche, il passe devant une à une et il les regarde et il va dans une direction. Il y a un petit air, enfin voilà, il regarde un peu sur le côté et je me suis dit bah j'ai une situation pas aussi évidente que ça mais je pourrais faire un passage en revue mais toujours rien.)
MB : Vous vous rendez compte que personne ne vous interrompt là, le silence est très lourd. Vous n'êtes pas le seul, mon cher. [ouais] Ils attendent tous une réponse.
(Q - Exalastro : Ah non, mais on n’en aura pas, ce serait trop beau.)
MB : Alors vous avez passé vos sentinelles en revue. Très bien. Vous en avez déduit quoi ?
(Q - Exalastro : J'ai déduit… bah par exemple oui j'ai plusieurs sentinelles, j'en ai déduit que certaines pouvaient être passées en revue. On passe en revue d'habitude des hommes, donc…)
MB : Vous passez en revue, vous les avez passées en revue, bon, et vous en avez tiré quoi ?
(Q - Aladore : Une direction !)
(Q - Mupsaï : Qu’elles n’étaient pas toutes seules…)
(Q - Skybears : Qu’il y en a beaucoup plus !)
(Q - Exalastro : J'en ai déduit des orientations, des positions. J'en ai déduit une certaine manière de pouvoir les passer en revue. Un passage en revue, ça se fait d'un point A à un point B, donc il y a des…, j’ai essayé de calquer ce que pouvait faire un président ou qu'on pourrait voir dans un n'importe quel…)
MB : Et il fait quoi un président ou un général ou machin, disons…
(Q - Exalastro : bah il commence à un endroit, il se positionne, ses troupes par chance sont bien alignées pour le coup, elles sont sur sa droite par exemple, et il va les regarder, il va avancer droit devant lui, puis elles vont être sur sa droite à un angle de 90° et puis il va avancer et puis il va les regarder une à une et il va avancer, elle sont bien droites au garde à vous et on avance, on y va…)
MB : Et s’il y en a un qui a les cheveux longs ou un képi de travers et il va le repérer.
(Q - Exalastro : bah sur ce que fait Macron au 14 juillet, il ne s'arrête pas hein, il avance droit devant lui, il a un petit coup d'œil sur chaque premier de lignée mais c'est tout hein, il ne va pas…, il va peut-être faire une liste dans sa tête mais à la fin du défilé il ne va pas aller leur dire que c'était de travers hein ?)
MB : Non mais le général qui est derrière lui, fera le nécessaire.
(Q - Xavier : Ouais mais ça c'est de la revue détail Michel.
MB : Ah non.
(Q - Xavier : Ah bah si, la revue de détails, c'est justement une revue de détail.)
MB : Vous avez fait votre service militaire, vous ?
(Q - Xavier : Ah oui oui, en 87 à Arras, un an.)
MB : Ouais, et vous avez eu des revues de détails ?
(Q - Xavier : Ah oui, un paquet, oui, surtout le matin !)
MB : Comment ça se passe??
(Q - Xavier : C'était simple, les revues de détail, on était tous, comment dire, alignés bien sûr pour être passés en revue, on était alignés et on nous disait, ils regardaient enfin, ce n'était pas le général hein, c'était un adjudant ou n'importe quoi, ils passaient, ils disaient bon toi la barbe non, ça s'appelle de la revue de détail. Par contre, on faisait des défilés une fois tous les mois par exemple, où il y avait le général qui venait, là c'était autre chose. Il ne venait pas regarder si on avait un petit poil de barbe en plus ou une chemise avec un bouton en moins. Il s'en foutait, il passait…, vous comprenez, c'est pas du tout le même concept, ça veut dire que d'un côté il y a la revue de détail qui permet justement que la personne soit parfaite, c'est-à-dire disons qu'elle soit dans les règles et la revue, le général il passe mais il ne s'arrête pas sur ce genre de chose quoi.)
MB : Pour la revue de détails, vous les armoires étaient ouvertes.
(Q - Xavier : Oui, non, mais ça c'est autre chose, parce que revue de détails, ça peut être plein de choses, c'est-à-dire on peut effectivement, vous avez raison, ouvrir une armoire pour vérifier si c'était bien droit ou ceci cela, mais en général, ce qu'on appelait une revue de détails, c'était à l'humain, c'était on passait la revue de détail, c'était l'humain, c'est-à-dire il n'y avait pas…, les revues de chambres, oui, les revues de chambre, c'était pour le matériel, mais le vrai passage en revue, c'est-à-dire de détails, c'est la personne, la façon qu'elle est rasée, sa chemise et il y a ses chaussures sont, mais le passage en revue au sens militaire, général, président, il s'en fout, le président, il passe devant vous, simplement, c'est une espèce de, c'est pas du tout le même concept…)
(Q - Saïdparis : Il ne vient pas regarder si on vérifie quelque chose, bah si c'est pour vérifier quelque chose, après vas-y excuse-moi, je te laisse terminer, après je poserai la question à Michel…)
(Q - Xavier : Parce qu’on va prendre président ou général. Quand il passe, il ne s'arrête pas sur le fait que tu as un bouton en moins, il passe devant toi, c'est le personnage, il regarde les troupes en général, la revue de détail, c'est justement pour ça qu'on appelle ça son nom, c'est qu'on prend une personne, on va regarder ce qui ne fonctionne pas, alors ça s'appelle une revue de détails…)
MB : La revue de détails, ça comprend les équipements aussi Xavier.
(Q - Xavier : Oui oui, mais ça oui oui, ça je vous l'accorde, je vous l'accorde, je vous l'accorde, ça fait partie aussi puisque étant donné que par exemple…)
MB : Je ne pense pas que nos sentinelles à nous aient des équipements ? Si ? Vous croyez ?
(Q - Xavier : Non, je ne pense pas non plus, non, non non, non, pour moi, le problème c'est que si on leur donne, c'est toujours pareil, les sentinelles, est-ce que si on leur donne un côté, quand on les appelle sentinelles ou gardiens, on a tendance à leur donner un côté humain, c'est obligé puisque sinon il aurait pu appeler ça des poteaux ou bien des, là il leur donne un côté, ils sont humanisés quand on parle de sentinelles ou de gardiens, on a tendance à se dire qu'elles ne sont pas vivantes, c'est-à-dire, imaginez-vous prenez 3 poteaux, on est bien d'accord qu'ils ne sont pas vivants, mais si dans une chasse au Trésor, on les considère comme par exemple des sentinelles ou des gardiens, d'un seul coup, on va les humaniser, ça veut dire on va se dire bon voilà, maintenant c'est des soldats, c'est plus des poteaux dans la chasse, c'est des soldats et là on va les humaniser.)
(Q - ?? : Un publicitaire, Xavier, un publicitaire.)
MB : Je ne sais pas qui tout à l'heure parlait de son passage en revue et finalement, je ne sais toujours pas ce qui ce qu'il en est ressorti de ce passage en revue ?
(Q - Exalastro : c'est ce que vous disiez, c'est qu'on manque de déduction, on n'arrive pas à voir ce qui se passe et les déductions de ce passage en revue, c'est ce qui nous manque.)
(Q - Roc : Un passage en revue, c'est regarder les apparences, c’est superficiel, donc on s'intéresse à la superficie, non ?)
(Q - Exalastro : J’entends Michel, que le gradé derrière moi va prendre note de ce qui va ou ce qui ne va pas. Donc si c'est des déductions, c'est qu'en passant en revue mes sentinelles, je dois me rendre…)
MB : c'est pas une déduction. Ah si, j'ai les cheveux trop longs, il ne va pas déduire que j’ai les cheveux trop longs, il va juste le voir. Il ne va rien déduire du tout, il va déduire qu’il va m'engueuler et puis qu’il va…
(Q - Exalastro : Oui, c'est ça. Il va déduire qu’il me manque, je ne sais pas moi.)
MB : Je suis toujours affirmatif mais on subit, vous subissez, nous subissons ensemble en ce moment même, un des phénomènes qui perdure dans cette chasse, à savoir que plus on en parle, plus on embrouille, plus on en rajoute, plus j'entends des gens qui me disent, mais vous avez dit que, mais est-ce que ça voudrait dire que ? Et plus ça s'étoffe, plus ça s'embrouille, plus ça devient…
(Q - Exalastro : Ben parce qu'on n'y arrive pas, parce que enfin oui, c'est le fait de se dire ça paraissait simple à la base…)
MB : C'est quoi votre expression à vous ?
(Q - Exalastro : Passer en revue.)
MB : Et vous avez fait quoi avec ?
(Q - Exalastro : Ah, j'ai essayé de regarder ce que faisait un gradé face à ses troupes, à essayer de le mettre en application puisque je suis censé passer en revue mes sentinelles. J'ai tout essayé.)
MB : Et vous l'avez fait ?
(Q - Exalastro : en vous écoutant, alors mais apparemment je n'ai pas tout essayé, sinon j'aurais la chouette entre les mains.)
MB : Vous êtes allé sur place ?
(Q - Exalastro : Oui.)
MB : Vous avez passé en revue vos sentinelles ?
(Q - Exalastro : oui en appliquant à la lettre, ce que je pouvais voir, ce que ferait un président devant ses sentinelles, donc c'est pas compliqué, il ne fait pas un schéma de scientifique à la NASA hein, il marche, il passe devant une à une et il les regarde et il va dans une direction. Il y a un petit air, enfin voilà, il regarde un peu sur le côté et je me suis dit bah j'ai une situation pas aussi évidente que ça mais je pourrais faire un passage en revue mais toujours rien.)
MB : Vous vous rendez compte que personne ne vous interrompt là, le silence est très lourd. Vous n'êtes pas le seul, mon cher. [ouais] Ils attendent tous une réponse.
(Q - Exalastro : Ah non, mais on n’en aura pas, ce serait trop beau.)
MB : Alors vous avez passé vos sentinelles en revue. Très bien. Vous en avez déduit quoi ?
(Q - Exalastro : J'ai déduit… bah par exemple oui j'ai plusieurs sentinelles, j'en ai déduit que certaines pouvaient être passées en revue. On passe en revue d'habitude des hommes, donc…)
MB : Vous passez en revue, vous les avez passées en revue, bon, et vous en avez tiré quoi ?
(Q - Aladore : Une direction !)
(Q - Mupsaï : Qu’elles n’étaient pas toutes seules…)
(Q - Skybears : Qu’il y en a beaucoup plus !)
(Q - Exalastro : J'en ai déduit des orientations, des positions. J'en ai déduit une certaine manière de pouvoir les passer en revue. Un passage en revue, ça se fait d'un point A à un point B, donc il y a des…, j’ai essayé de calquer ce que pouvait faire un président ou qu'on pourrait voir dans un n'importe quel…)
MB : Et il fait quoi un président ou un général ou machin, disons…
(Q - Exalastro : bah il commence à un endroit, il se positionne, ses troupes par chance sont bien alignées pour le coup, elles sont sur sa droite par exemple, et il va les regarder, il va avancer droit devant lui, puis elles vont être sur sa droite à un angle de 90° et puis il va avancer et puis il va les regarder une à une et il va avancer, elle sont bien droites au garde à vous et on avance, on y va…)
MB : Et s’il y en a un qui a les cheveux longs ou un képi de travers et il va le repérer.
(Q - Exalastro : bah sur ce que fait Macron au 14 juillet, il ne s'arrête pas hein, il avance droit devant lui, il a un petit coup d'œil sur chaque premier de lignée mais c'est tout hein, il ne va pas…, il va peut-être faire une liste dans sa tête mais à la fin du défilé il ne va pas aller leur dire que c'était de travers hein ?)
MB : Non mais le général qui est derrière lui, fera le nécessaire.
(Q - Xavier : Ouais mais ça c'est de la revue détail Michel.
MB : Ah non.
(Q - Xavier : Ah bah si, la revue de détails, c'est justement une revue de détail.)
MB : Vous avez fait votre service militaire, vous ?
(Q - Xavier : Ah oui oui, en 87 à Arras, un an.)
MB : Ouais, et vous avez eu des revues de détails ?
(Q - Xavier : Ah oui, un paquet, oui, surtout le matin !)
MB : Comment ça se passe??
(Q - Xavier : C'était simple, les revues de détail, on était tous, comment dire, alignés bien sûr pour être passés en revue, on était alignés et on nous disait, ils regardaient enfin, ce n'était pas le général hein, c'était un adjudant ou n'importe quoi, ils passaient, ils disaient bon toi la barbe non, ça s'appelle de la revue de détail. Par contre, on faisait des défilés une fois tous les mois par exemple, où il y avait le général qui venait, là c'était autre chose. Il ne venait pas regarder si on avait un petit poil de barbe en plus ou une chemise avec un bouton en moins. Il s'en foutait, il passait…, vous comprenez, c'est pas du tout le même concept, ça veut dire que d'un côté il y a la revue de détail qui permet justement que la personne soit parfaite, c'est-à-dire disons qu'elle soit dans les règles et la revue, le général il passe mais il ne s'arrête pas sur ce genre de chose quoi.)
MB : Pour la revue de détails, vous les armoires étaient ouvertes.
(Q - Xavier : Oui, non, mais ça c'est autre chose, parce que revue de détails, ça peut être plein de choses, c'est-à-dire on peut effectivement, vous avez raison, ouvrir une armoire pour vérifier si c'était bien droit ou ceci cela, mais en général, ce qu'on appelait une revue de détails, c'était à l'humain, c'était on passait la revue de détail, c'était l'humain, c'est-à-dire il n'y avait pas…, les revues de chambres, oui, les revues de chambre, c'était pour le matériel, mais le vrai passage en revue, c'est-à-dire de détails, c'est la personne, la façon qu'elle est rasée, sa chemise et il y a ses chaussures sont, mais le passage en revue au sens militaire, général, président, il s'en fout, le président, il passe devant vous, simplement, c'est une espèce de, c'est pas du tout le même concept…)
(Q - Saïdparis : Il ne vient pas regarder si on vérifie quelque chose, bah si c'est pour vérifier quelque chose, après vas-y excuse-moi, je te laisse terminer, après je poserai la question à Michel…)
(Q - Xavier : Parce qu’on va prendre président ou général. Quand il passe, il ne s'arrête pas sur le fait que tu as un bouton en moins, il passe devant toi, c'est le personnage, il regarde les troupes en général, la revue de détail, c'est justement pour ça qu'on appelle ça son nom, c'est qu'on prend une personne, on va regarder ce qui ne fonctionne pas, alors ça s'appelle une revue de détails…)
MB : La revue de détails, ça comprend les équipements aussi Xavier.
(Q - Xavier : Oui oui, mais ça oui oui, ça je vous l'accorde, je vous l'accorde, je vous l'accorde, ça fait partie aussi puisque étant donné que par exemple…)
MB : Je ne pense pas que nos sentinelles à nous aient des équipements ? Si ? Vous croyez ?
(Q - Xavier : Non, je ne pense pas non plus, non, non non, non, pour moi, le problème c'est que si on leur donne, c'est toujours pareil, les sentinelles, est-ce que si on leur donne un côté, quand on les appelle sentinelles ou gardiens, on a tendance à leur donner un côté humain, c'est obligé puisque sinon il aurait pu appeler ça des poteaux ou bien des, là il leur donne un côté, ils sont humanisés quand on parle de sentinelles ou de gardiens, on a tendance à se dire qu'elles ne sont pas vivantes, c'est-à-dire, imaginez-vous prenez 3 poteaux, on est bien d'accord qu'ils ne sont pas vivants, mais si dans une chasse au Trésor, on les considère comme par exemple des sentinelles ou des gardiens, d'un seul coup, on va les humaniser, ça veut dire on va se dire bon voilà, maintenant c'est des soldats, c'est plus des poteaux dans la chasse, c'est des soldats et là on va les humaniser.)
(Q - ?? : Un publicitaire, Xavier, un publicitaire.)
MB : Je ne sais pas qui tout à l'heure parlait de son passage en revue et finalement, je ne sais toujours pas ce qui ce qu'il en est ressorti de ce passage en revue ?
(Q - Exalastro : c'est ce que vous disiez, c'est qu'on manque de déduction, on n'arrive pas à voir ce qui se passe et les déductions de ce passage en revue, c'est ce qui nous manque.)
(Q - Roc : Un passage en revue, c'est regarder les apparences, c’est superficiel, donc on s'intéresse à la superficie, non ?)
(Q - Exalastro : J’entends Michel, que le gradé derrière moi va prendre note de ce qui va ou ce qui ne va pas. Donc si c'est des déductions, c'est qu'en passant en revue mes sentinelles, je dois me rendre…)
MB : c'est pas une déduction. Ah si, j'ai les cheveux trop longs, il ne va pas déduire que j’ai les cheveux trop longs, il va juste le voir. Il ne va rien déduire du tout, il va déduire qu’il va m'engueuler et puis qu’il va…
(Q - Exalastro : Oui, c'est ça. Il va déduire qu’il me manque, je ne sais pas moi.)