(Q- Gringos : Est-ce que, à votre avis, diligent et zélé, ça serait 2 mots qu'il aurait pu choisir pour nous annoncer un peu le truc manquant qui était caché ? Enfin, la petite pièce du puzzle.)
MB : Non, non. C'est marrant parce que ça, c'est une question intéressante. L'autre était un petit peu, on va dire anecdotique, mais celle-là est assez intéressante. Je crois que ce genre de vocabulaire, cette manière d'approcher le sujet, n'a rien à voir avec l'esprit qu'avait Max Valentin. Je pense que lui aurait été beaucoup plus, comment je vais dire ça… Déjà moins précis, parce que Pierrette est un texte extrêmement précis, si on sait le voir du bon côté. Déjà, il n'aurait jamais été aussi précis que moi. Il aurait eu peur d'en dire trop je crois par rapport à ce texte et je pense qu'ensuite, il aurait choisi des vocables extrêmement différents, pour, à la fois, donner une parcelle de parcelle d'information et puis faire mousser le truc. Il aurait eu un propos beaucoup plus commercial que le mien. Moi, avec ce texte, je pense que j'ai produit quelque chose de, finalement, de précis.
(Q - Gringos : On connait Max, comment il pense pour le texte publicitaire. On connaît son esprit, voilà, maintenant on voit à peu près comment arborer les énigmes, mais on connaît moins l'esprit de Michel Becker, surtout sur un texte littéraire, parce que bon, on voit que vous avez une grande connaissance quand même de la langue française, parce que vous sortez souvent des mots qu'on ne connaît pas ça c'est cool…)
MB : Certains ont dit qu’ils avaient un dictionnaire dans la poche quand ils parlaient avec moi. Oui, je sais, mais je ne fais pas exprès.
(Q - Gringos : Voilà. Vous êtes précis. Pierrette, voilà, ce n'est rien de publicitaire, aucun emballage. Pierrette est allusive et précise. Peut-être que Max du coup aurait dit “Oh là Michel t'en dis peut-être un peu trop là”)
MB : Mais c'est sûr, il aurait fait des nuits blanches, lui avec ça. Ah ouais ouais, c'est certain.
MB : Non, non. C'est marrant parce que ça, c'est une question intéressante. L'autre était un petit peu, on va dire anecdotique, mais celle-là est assez intéressante. Je crois que ce genre de vocabulaire, cette manière d'approcher le sujet, n'a rien à voir avec l'esprit qu'avait Max Valentin. Je pense que lui aurait été beaucoup plus, comment je vais dire ça… Déjà moins précis, parce que Pierrette est un texte extrêmement précis, si on sait le voir du bon côté. Déjà, il n'aurait jamais été aussi précis que moi. Il aurait eu peur d'en dire trop je crois par rapport à ce texte et je pense qu'ensuite, il aurait choisi des vocables extrêmement différents, pour, à la fois, donner une parcelle de parcelle d'information et puis faire mousser le truc. Il aurait eu un propos beaucoup plus commercial que le mien. Moi, avec ce texte, je pense que j'ai produit quelque chose de, finalement, de précis.
(Q - Gringos : On connait Max, comment il pense pour le texte publicitaire. On connaît son esprit, voilà, maintenant on voit à peu près comment arborer les énigmes, mais on connaît moins l'esprit de Michel Becker, surtout sur un texte littéraire, parce que bon, on voit que vous avez une grande connaissance quand même de la langue française, parce que vous sortez souvent des mots qu'on ne connaît pas ça c'est cool…)
MB : Certains ont dit qu’ils avaient un dictionnaire dans la poche quand ils parlaient avec moi. Oui, je sais, mais je ne fais pas exprès.
(Q - Gringos : Voilà. Vous êtes précis. Pierrette, voilà, ce n'est rien de publicitaire, aucun emballage. Pierrette est allusive et précise. Peut-être que Max du coup aurait dit “Oh là Michel t'en dis peut-être un peu trop là”)
MB : Mais c'est sûr, il aurait fait des nuits blanches, lui avec ça. Ah ouais ouais, c'est certain.