(Q - ?? : Bonsoir Monsieur Beker, justement, je voulais vous poser une question par rapport à ça. Ce qui me surprend, c'est que la personne a donc semble avoir compris le mécanisme, les chiffres, tout cela entremêlés, mais pour autant l’a pas mis en pratique, n'a pas a priori énoncé de super solution en utilisant ce mécanisme.)
MB : Parce qu'on est dans une histoire qui est folle. On est dans une histoire qui dure depuis 30 ans, où il s'est passé tellement de choses que même aujourd'hui, les joueurs qui sont sur le bon truc ne sont pas forcément conscients, ne.. S'ils étaient devant moi et que je leur dise bah voilà, c'est ça. Ils auraient peut-être même de la peine à y croire quoi.
Il faut quand même, il faut que vous arriviez à intégrer le fait et je vous l'ai dit très souvent, je l'ai écrit, je l'ai dit, je le répète, le fait que cette chasse est dans un contexte très particulier, très exceptionnel, très inattendu à la fois du fait de sa durée, à la fois du fait du personnage de Max Valentin qui est parti totalement en vrille et qui nous a donné, qui a coloré cette histoire d'une manière complètement inattendue et à la fois encore du fait que les participants en jeu se sont constitués comme ils se sont constitués, ont publié tout ce qu'ils ont publié et que ils ressortent de ça, qu'il y a des idées qui sont considérées comme bonnes, d'autres qui sont considérées comme mauvaises, donc le généralement admis et le généralement réfuté.
Tout ça, ce sont des éléments qui font que bah même quelqu'un qui aujourd'hui est sur le bon truc. Il y a tellement de choses en face qu'il n'est pas forcément conscient que bah oui c'est ça.
(Q - ?? : D'accord, l’idée lancée, mais sans sans qu'il ait la la conviction, en fait derrière de qu'il a juste, c'est ça ?)
MB : Oui, il peut pas y avoir de conviction puisqu'en fait moi je vous dis ce que je lis dans mes messages privés, c'est très souvent cette tonalité de journal intime où les gens il me parle, mais il se parlent à eux-mêmes quelque part, ils énumèrent leurs idées, ils me racontent et cetera. Mais sans forcément chercher même à en mesurer la portée, c'est histoire de dire Bah voilà, moi j'ai pensé à ça. J'ai pensé à ça, j'ai pensé à ça. Puis il se trouve que bah oui y en a combien pensé.
(Q - ?? : Rebonsoir Michel, merci, on peut dire qu'une personne qui a qui a sans le vouloir a la bonne solution peut se dire Ah ça peut pas être ça. D'autres personnes y auraient pensé avant. Ça a l'air trop simple.)
MB : Ça peut arriver. Ça peut arriver, mais ce que vous devez retirer de l'information majeure que vous devez retirer de tout ça c'est que c'est trouvable. C'est vachement important quand même, même pour moi hein, je veux dire, je si je vous en parle c'est que pour moi c'est déterminant. Moi je me dis, j'essaie de faire le job, mais c'est difficile de mesurer le résultat tant que c'est pas trouvé. Je peux pas savoir si j'ai vraiment dit tout ce qu'il fallait dire et à la limite, je peux même craindre d'en dire trop.
MB : Parce qu'on est dans une histoire qui est folle. On est dans une histoire qui dure depuis 30 ans, où il s'est passé tellement de choses que même aujourd'hui, les joueurs qui sont sur le bon truc ne sont pas forcément conscients, ne.. S'ils étaient devant moi et que je leur dise bah voilà, c'est ça. Ils auraient peut-être même de la peine à y croire quoi.
Il faut quand même, il faut que vous arriviez à intégrer le fait et je vous l'ai dit très souvent, je l'ai écrit, je l'ai dit, je le répète, le fait que cette chasse est dans un contexte très particulier, très exceptionnel, très inattendu à la fois du fait de sa durée, à la fois du fait du personnage de Max Valentin qui est parti totalement en vrille et qui nous a donné, qui a coloré cette histoire d'une manière complètement inattendue et à la fois encore du fait que les participants en jeu se sont constitués comme ils se sont constitués, ont publié tout ce qu'ils ont publié et que ils ressortent de ça, qu'il y a des idées qui sont considérées comme bonnes, d'autres qui sont considérées comme mauvaises, donc le généralement admis et le généralement réfuté.
Tout ça, ce sont des éléments qui font que bah même quelqu'un qui aujourd'hui est sur le bon truc. Il y a tellement de choses en face qu'il n'est pas forcément conscient que bah oui c'est ça.
(Q - ?? : D'accord, l’idée lancée, mais sans sans qu'il ait la la conviction, en fait derrière de qu'il a juste, c'est ça ?)
MB : Oui, il peut pas y avoir de conviction puisqu'en fait moi je vous dis ce que je lis dans mes messages privés, c'est très souvent cette tonalité de journal intime où les gens il me parle, mais il se parlent à eux-mêmes quelque part, ils énumèrent leurs idées, ils me racontent et cetera. Mais sans forcément chercher même à en mesurer la portée, c'est histoire de dire Bah voilà, moi j'ai pensé à ça. J'ai pensé à ça, j'ai pensé à ça. Puis il se trouve que bah oui y en a combien pensé.
(Q - ?? : Rebonsoir Michel, merci, on peut dire qu'une personne qui a qui a sans le vouloir a la bonne solution peut se dire Ah ça peut pas être ça. D'autres personnes y auraient pensé avant. Ça a l'air trop simple.)
MB : Ça peut arriver. Ça peut arriver, mais ce que vous devez retirer de l'information majeure que vous devez retirer de tout ça c'est que c'est trouvable. C'est vachement important quand même, même pour moi hein, je veux dire, je si je vous en parle c'est que pour moi c'est déterminant. Moi je me dis, j'essaie de faire le job, mais c'est difficile de mesurer le résultat tant que c'est pas trouvé. Je peux pas savoir si j'ai vraiment dit tout ce qu'il fallait dire et à la limite, je peux même craindre d'en dire trop.