(Q - Apollon : Michel, j'ai une question rebonsoir dans le livre sous le sceau du secret, vous dites au départ pile ou face, tout ou rien, peut-on rajouter rouge ou noir ?)
MB : Aïe, aïe, aïe, Aïe, aïe, Aïe, Aïe, vous êtes incorrigibles. C'est terrifiant. Vous êtes des amalgameurs de première. C'est terrifiant ? Pile ou face à l'époque, au moment où j'ai écrit ce texte, c'était quelque chose. Rouge ou noir ça date de quand, d'hier, avant-hier, je sais plus. C'est, ça vient un certain temps après, c'est une suite, il y a pas, il y a pas de parallèle à faire. Rouge et noir ce que j'évoque à travers rouge et noir. Bon, allez, on va, on peut en parler un peu parce que finalement c'est d'actualité. Pourquoi j'ai mis ce titre rouge et noir ? Oui, il y a le petit clin d'œil évidemment à Stendhal, c'est c'est clair, mais c’est surtout un parallèle entre ce qui était supposé être, ce que pouvait devenir, comment avait été envisagé l'histoire et ce qu'elle est devenue aujourd'hui. Donc, le parallèle entre l'enveloppe noire du père Méhus puis l'enveloppe rouge qui a tellement, qui passionne tellement certains complotistes. Donc j'ai fait ce parallèle pour dire à la fois que ben on est dans le même contexte, on a des énigmes, on a des choses mystérieuses, on a tout ça, mais que entre le texte du communicant, l'enveloppe noire destinée à à susciter l'intérêt du lecteur à lui donner envie à l'intriguer, à tout ce que vous voudrez. Et puis l’enveloppe rouge aujourd'hui, qui a pris, qui avait pris une grande ampleur, une importance qui dépasse de loin son importance réelle. J'ai trouvé intéressant de faire ce parallèle d'une part, et puis de couper court à toutes les spéculations, d'autre part, mais ça n'a rien à voir avec ce qui a pu motiver mes écrits dans le sceau du secret.
(Q - Apollon : Donc le tout ou rien, ça a rien à voir avec les énigmes. Enfin, trouve mon tout et cetera. Ça a rien à voir ? )
MB : Bah tout ou rien dans ma tête, c'était que vous savez, j'ai quand même été… ça peut vous paraître peut-être un peu étonnant, mais j'ai quand même été confronté à cette pensée, à ce moment, dans ma vie où je me suis dit je flingue le jeu, j'arrête tout parce que j'en ai ras-le-bol ou je vais à fond, et si je vais à fond, je vais à fond, je fais les choses bien.
MB : Aïe, aïe, aïe, Aïe, aïe, Aïe, Aïe, vous êtes incorrigibles. C'est terrifiant. Vous êtes des amalgameurs de première. C'est terrifiant ? Pile ou face à l'époque, au moment où j'ai écrit ce texte, c'était quelque chose. Rouge ou noir ça date de quand, d'hier, avant-hier, je sais plus. C'est, ça vient un certain temps après, c'est une suite, il y a pas, il y a pas de parallèle à faire. Rouge et noir ce que j'évoque à travers rouge et noir. Bon, allez, on va, on peut en parler un peu parce que finalement c'est d'actualité. Pourquoi j'ai mis ce titre rouge et noir ? Oui, il y a le petit clin d'œil évidemment à Stendhal, c'est c'est clair, mais c’est surtout un parallèle entre ce qui était supposé être, ce que pouvait devenir, comment avait été envisagé l'histoire et ce qu'elle est devenue aujourd'hui. Donc, le parallèle entre l'enveloppe noire du père Méhus puis l'enveloppe rouge qui a tellement, qui passionne tellement certains complotistes. Donc j'ai fait ce parallèle pour dire à la fois que ben on est dans le même contexte, on a des énigmes, on a des choses mystérieuses, on a tout ça, mais que entre le texte du communicant, l'enveloppe noire destinée à à susciter l'intérêt du lecteur à lui donner envie à l'intriguer, à tout ce que vous voudrez. Et puis l’enveloppe rouge aujourd'hui, qui a pris, qui avait pris une grande ampleur, une importance qui dépasse de loin son importance réelle. J'ai trouvé intéressant de faire ce parallèle d'une part, et puis de couper court à toutes les spéculations, d'autre part, mais ça n'a rien à voir avec ce qui a pu motiver mes écrits dans le sceau du secret.
(Q - Apollon : Donc le tout ou rien, ça a rien à voir avec les énigmes. Enfin, trouve mon tout et cetera. Ça a rien à voir ? )
MB : Bah tout ou rien dans ma tête, c'était que vous savez, j'ai quand même été… ça peut vous paraître peut-être un peu étonnant, mais j'ai quand même été confronté à cette pensée, à ce moment, dans ma vie où je me suis dit je flingue le jeu, j'arrête tout parce que j'en ai ras-le-bol ou je vais à fond, et si je vais à fond, je vais à fond, je fais les choses bien.