(Q - l’Artiste : je rebondis sur ce que vous dites, un jour, vous nous avez dit qu'il fallait remonter…, enfin que lui, il fallait construire la chasse à l'envers. En fait, c'est un peu ce que Max Valentin avait fait, mais le fait de faire ça, on part d'un point précis, on a une première idée, mais avant de l'inventer sur la carte de France, on prend des repères et des distances, enfin, on prend une première notion, en tout cas du terrain et du lieu géographique, en tout cas très certainement avec une 2ème carte. Est-ce qu'il n’aurait pas déjà pu inventer une première partie sur cette 2ème carte et transposer ça sur la première ?)
MB : non je ne pense pas, il a fait le travail classique de gens qui font des rallyes surprises, c'est-à-dire qu'il a défini un point d'arrivée, qu'il a cherché à rendre mystérieux, à rendre un petit peu complexe à trouver, il a créé un parcours et il s'est dit, bon, on va partir de là. Le but, c'est d'arriver là et puis je je vais placer des indices, des trucs et machins, et puis avec un niveau de complexité que j'essaye de, comme il disait d'une manière tellement impressionnante à l'époque, de calibrer, bon calibre approximatif mais peu importe.
Voilà, c'était un travail…, c'est ça qu’il a fait, c'est rien d'autre. Il a fait un rallye surprise avec un point d'arrivée et sur ce point d'arrivée, il a greffé sa fameuse trouvaille pour pour dire Bah voilà, on va mettre un peu de piment dans l'histoire et puis en même temps, cette trouvaille me permet à moi puisque là, il s'agissait d'un produit de marketing, on n'était plus tout à fait dans un rallye surprise quand même et il s'est dit bon sur le final, il faut que je garde la main, il faut que je puisse doser par rapport à mon sponsor, éventuellement faire durer un peu, etc.
C'est pour ça que ce final de chasse est tellement compliqué à…, et qu'il est tellement compliqué, surtout d'échanger dessus parce que c'est ce qui était le…, c'est le seul levier qu’il ait gardé, qu'il avait ambitionné de garder dans sa main. C'était ce levier du final qui lui donnait pleins pouvoirs sur le moment où la chasse serait trouvée, il pouvait décider de la prolonger ou de l'écourter.
J’explique ça depuis fort longtemps, mais il semble que ce soit difficile à admettre pour beaucoup.
MB : non je ne pense pas, il a fait le travail classique de gens qui font des rallyes surprises, c'est-à-dire qu'il a défini un point d'arrivée, qu'il a cherché à rendre mystérieux, à rendre un petit peu complexe à trouver, il a créé un parcours et il s'est dit, bon, on va partir de là. Le but, c'est d'arriver là et puis je je vais placer des indices, des trucs et machins, et puis avec un niveau de complexité que j'essaye de, comme il disait d'une manière tellement impressionnante à l'époque, de calibrer, bon calibre approximatif mais peu importe.
Voilà, c'était un travail…, c'est ça qu’il a fait, c'est rien d'autre. Il a fait un rallye surprise avec un point d'arrivée et sur ce point d'arrivée, il a greffé sa fameuse trouvaille pour pour dire Bah voilà, on va mettre un peu de piment dans l'histoire et puis en même temps, cette trouvaille me permet à moi puisque là, il s'agissait d'un produit de marketing, on n'était plus tout à fait dans un rallye surprise quand même et il s'est dit bon sur le final, il faut que je garde la main, il faut que je puisse doser par rapport à mon sponsor, éventuellement faire durer un peu, etc.
C'est pour ça que ce final de chasse est tellement compliqué à…, et qu'il est tellement compliqué, surtout d'échanger dessus parce que c'est ce qui était le…, c'est le seul levier qu’il ait gardé, qu'il avait ambitionné de garder dans sa main. C'était ce levier du final qui lui donnait pleins pouvoirs sur le moment où la chasse serait trouvée, il pouvait décider de la prolonger ou de l'écourter.
J’explique ça depuis fort longtemps, mais il semble que ce soit difficile à admettre pour beaucoup.