(Q - Exalastro : et ouais, c'est ça et le savoir quoi en faire. Mais c'est ce côté…)
MB : c'est l'astuce, c'est ce truc-là qui, voilà…d'ailleurs entre parenthèses, si on parle de l'astuce, continuons un peu sur cette lancée, ça me paraît intéressant, si on parle de l'astuce et qu'on la met en parallèle avec son auteur, Max Valentin était-il un génie, était-il un mec normal ? Était-il un mec basique…
(Q - Exalastro : vous avez répondu déjà ça, on devine bien que ça va être basique et qu'à la fin, quand on aura le livre des solutions, on va se dire…)
MB : j'ai surtout dit qu'il était normal. En tout cas, je ne l'ai jamais décrit comme étant un génie, donc c'est pareil, le niveau de complexité de l'astuce, il faut, si vous voulez, je l'ai déjà évoqué, mais je crois que c'est intéressant d'y revenir. Je pense qu'il faut se mettre dans la peau d'un profiler quand il analyse le profil d'un suspect, ou qu'il analyse ou qu'il essaie de définir quel est le profil du coupable, sans le connaître ou bien qu'il analyse un suspect en disant, est-ce que ça peut être le coupable, ce profiler il va se baser déjà sur des connaissances, on va dire tout à fait établies, des éléments relativement précis. Ce n’est pas la majorité des arguments sur lesquels il va se fonder, mais après il va travailler à l'intuition et après il va travailler à la compréhension de la relation entre le personnage et les circonstances dans lesquelles les faits se sont produits.
Le personnage, c'est un communicant. Les circonstances dans lesquelles les faits se sont produits, c'est la création d'un produit destiné à être vendu à un sponsor.
Donc on a affaire à quelqu'un qui fait de la vente par correspondance, qui écrit des textes qui sont destinés à donner envie aux lecteurs. Vous restez complètement dans le truc, quoi ?
MB : c'est l'astuce, c'est ce truc-là qui, voilà…d'ailleurs entre parenthèses, si on parle de l'astuce, continuons un peu sur cette lancée, ça me paraît intéressant, si on parle de l'astuce et qu'on la met en parallèle avec son auteur, Max Valentin était-il un génie, était-il un mec normal ? Était-il un mec basique…
(Q - Exalastro : vous avez répondu déjà ça, on devine bien que ça va être basique et qu'à la fin, quand on aura le livre des solutions, on va se dire…)
MB : j'ai surtout dit qu'il était normal. En tout cas, je ne l'ai jamais décrit comme étant un génie, donc c'est pareil, le niveau de complexité de l'astuce, il faut, si vous voulez, je l'ai déjà évoqué, mais je crois que c'est intéressant d'y revenir. Je pense qu'il faut se mettre dans la peau d'un profiler quand il analyse le profil d'un suspect, ou qu'il analyse ou qu'il essaie de définir quel est le profil du coupable, sans le connaître ou bien qu'il analyse un suspect en disant, est-ce que ça peut être le coupable, ce profiler il va se baser déjà sur des connaissances, on va dire tout à fait établies, des éléments relativement précis. Ce n’est pas la majorité des arguments sur lesquels il va se fonder, mais après il va travailler à l'intuition et après il va travailler à la compréhension de la relation entre le personnage et les circonstances dans lesquelles les faits se sont produits.
Le personnage, c'est un communicant. Les circonstances dans lesquelles les faits se sont produits, c'est la création d'un produit destiné à être vendu à un sponsor.
Donc on a affaire à quelqu'un qui fait de la vente par correspondance, qui écrit des textes qui sont destinés à donner envie aux lecteurs. Vous restez complètement dans le truc, quoi ?