(Q - Nabil : OK alors je passe en revue, je passe, j'ai les bsm je tourne Nabil. Michel Nabil alors, est-ce que qu'est-ce que je dis, qu'est-ce que je ne vois pas.)
MB : Nabil ? Oui, tu m'entends.
(Q - Nabil : très bien Michel. )
MB : Je pense que je pense qu' à un moment donné, il faut arriver à prendre un peu d'altitude avec son raisonnement. Quand je t'entends parler là, ouais bon, il faut faire envie machin et cetera. Je me dis le mec il est à fond quoi là, il respire plus quoi, il est en apnée, il est dans son truc. Bon il faut prendre un peu de distance par rapport à toute cette histoire de la chouette. Et il faut arriver à la considérer avec comment je vais dire ça, Il faut être un peu désintéressé, il faut pas s'obséder sur le fait de dire je vais découvrir un trésor là, chouette, vaut 150 000€, peut-être plus machin, c'est pas ça le débat, le débat, c'est de comprendre, d'admettre à un moment donné que pour trouver, il faut une pointe de d'imagination, d'astuce, et que l'imagination et l'astuce, ça ne procède pas d'un sérieux appliqué. Ça ne procède pas d'une implication profonde, ça procède d'une fraîcheur d'esprit, d'une inspiration un petit peu guidée, un peu par une euphorie du moment ou que sais-je, il faut un peu plus léger par rapport à cette approche, faut pas avoir une approche lourdingue en se disant bon, faut trouver quelque chose, il y a une astuce à trouver, il y a machin, il faut prendre un petit peu d'altitude, il faut respirer, il faut le voir avec avec plus de légèreté, je pense. J'aime bien le terme de légèreté. Finalement, dans les échanges les fameux madits, les échanges Minitel et tout ce qui s'est passé au début de la chasse, on s'aperçoit que les débats ont pris une certaine gravité, une certaine lourdeur, une certaine densité et ça, ça ne va pas avec la fin de la chasse.
(Q - Nabil : Et du coup, l’imagination elle peut venir comme ça quoi si je suis au bon endroit.)
MB : Non, l'imagination, parlons de l'imagination, l'imagination, c'est un outil. C'est quelque chose qui fait qu’on prend des idées, on les brasse et on les met dans une perspective, on les met en abyme, on se dit pourquoi pas ci, pourquoi pas ça ? On imagine des situations, on imagine des possibilités, et cetera. Et ça, ça nécessite, ça nécessite un peu d'oxygène, un peu de souffle. Si on est trop anxieux, si on est trop acharné, obsédé par cette histoire, en se disant faut trouver, c'est pas possible, j'y arrive pas, et cetera il y a peu de chance qu'on ait le petit déclic, l'imagination qui va faire que tout d'un coup on capte quoi.
(Q - ?? : Bonjour, c'est la difficulté hein. On est dans l'imagination et encore toute l'astuce à faire et donc on a l'impression que.)
MB : C'est quand même pas une imagination parachutée non plus hein, c'est pas une imagination qui arrive comme ça, subitement. C'est une imagination qui est quand même reliée à la manière dont on en arrive là. On n’est pas dans le vide, on n'est pas tout d'un coup à se dire qu'est ce que je dois trouver machin ? Non non. Il y a quand même une corrélation avec ce qui s'est passé avant.
(Q - ?? : Avant dans les 9 énigmes, vous voulez dire ou avant en 650 quand même.)
MB : Avant dans les 9 énigmes un peu, et avant dans les deux dernières bien sûr.
MB : Vous remarquerez que je ne donne pas de nom, j'ai pas dit 650 ou pas 650…Vous vous débrouillez.
(Q - Apollon : Ce déclic, c'est une technique.)
MB : Le déclic, c'est comment un pirate un peu vicelard va concevoir son truc pour qu’on puisse pas lui piquer son trésor sans connaître réellement la solution. C'est une astuce, c'est une combine, c'est un peu vicelard, c'est un peu, mais en même temps c'est très abordable, hein.
(Q - Apollon : Ça reste vraiment très, très mystérieux cette histoire de déclic, c'est très, très mystérieux…
(Q - ?? : Déjà, avoir l'imaginaire.)
(Q - Tonton Nono : Oui parce que dans le dernier vocal ou le précédent, vous avez déclaré à une question qu’il fallait être sur place pour avoir le déclic, or je crois me souvenir que vous disiez qu’on pouvait l’avoir sous notre douche ou n’importe où, alors est-ce que vous pourriez préciser ce point svp.)
MB : Oui. En fait, le déclic dont je parle, je... C'est terrible, ces ronflements, hein, c'est terrible. J'arrive pas à m'y faire, mais ça a un côté fascinant hein, mais on est quand même dans une intimité fantastique hein ? D'accord Bah oui, oui, effectivement, oui, oui. Est-ce que, d'après vous, est-ce qu'il bave en dormant ?
(Q - ?? : Vous pouvez le muter à Michel si vous voulez, vous pouvez déjà)
MB : Je peux le muter mais bon finalement il nous empêche pas de communiquer, on va pas lui faire ça parce qu'après pour le démuter je serai peut-être pas là si je le mute après on sait pas jusqu'à quand il sera muté,
(Q - ?? Vous pouvez juste le muter pour vous en fait vous faites un clic droit et vous faites)
MB : Mais moi il ne me dérange pas. Non, c'est cette astuce dont je parle c'est toute la difficulté, parce qu’à la fois elle peut être comprise, elle revêt une certaine logique dans le contexte. Ouais OK Bah oui oui évidemment bon il a, notre pirate nationale a planqué son trésor, il a imaginé ça bon OK ouais pourquoi pas, mais l'autre versant c'est les chouetteurs qui eux sont pas réellement dans l'ambiance, qui sont un petit peu distancié, un petit peu éloigné de cette ambiance là, de vraiment la zone où on trouve et cetera. Pour eux, c'est encore un petit peu théorique et donc pour ces gens-là, effectivement pour vous tous donc, pratiquement, l'idée, quoi faire de ce déclic, de ce qui est à imaginer demeure, comment je vais dire ça, demeure un peu fugace, un peu difficile à attraper.
MB : Nabil ? Oui, tu m'entends.
(Q - Nabil : très bien Michel. )
MB : Je pense que je pense qu' à un moment donné, il faut arriver à prendre un peu d'altitude avec son raisonnement. Quand je t'entends parler là, ouais bon, il faut faire envie machin et cetera. Je me dis le mec il est à fond quoi là, il respire plus quoi, il est en apnée, il est dans son truc. Bon il faut prendre un peu de distance par rapport à toute cette histoire de la chouette. Et il faut arriver à la considérer avec comment je vais dire ça, Il faut être un peu désintéressé, il faut pas s'obséder sur le fait de dire je vais découvrir un trésor là, chouette, vaut 150 000€, peut-être plus machin, c'est pas ça le débat, le débat, c'est de comprendre, d'admettre à un moment donné que pour trouver, il faut une pointe de d'imagination, d'astuce, et que l'imagination et l'astuce, ça ne procède pas d'un sérieux appliqué. Ça ne procède pas d'une implication profonde, ça procède d'une fraîcheur d'esprit, d'une inspiration un petit peu guidée, un peu par une euphorie du moment ou que sais-je, il faut un peu plus léger par rapport à cette approche, faut pas avoir une approche lourdingue en se disant bon, faut trouver quelque chose, il y a une astuce à trouver, il y a machin, il faut prendre un petit peu d'altitude, il faut respirer, il faut le voir avec avec plus de légèreté, je pense. J'aime bien le terme de légèreté. Finalement, dans les échanges les fameux madits, les échanges Minitel et tout ce qui s'est passé au début de la chasse, on s'aperçoit que les débats ont pris une certaine gravité, une certaine lourdeur, une certaine densité et ça, ça ne va pas avec la fin de la chasse.
(Q - Nabil : Et du coup, l’imagination elle peut venir comme ça quoi si je suis au bon endroit.)
MB : Non, l'imagination, parlons de l'imagination, l'imagination, c'est un outil. C'est quelque chose qui fait qu’on prend des idées, on les brasse et on les met dans une perspective, on les met en abyme, on se dit pourquoi pas ci, pourquoi pas ça ? On imagine des situations, on imagine des possibilités, et cetera. Et ça, ça nécessite, ça nécessite un peu d'oxygène, un peu de souffle. Si on est trop anxieux, si on est trop acharné, obsédé par cette histoire, en se disant faut trouver, c'est pas possible, j'y arrive pas, et cetera il y a peu de chance qu'on ait le petit déclic, l'imagination qui va faire que tout d'un coup on capte quoi.
(Q - ?? : Bonjour, c'est la difficulté hein. On est dans l'imagination et encore toute l'astuce à faire et donc on a l'impression que.)
MB : C'est quand même pas une imagination parachutée non plus hein, c'est pas une imagination qui arrive comme ça, subitement. C'est une imagination qui est quand même reliée à la manière dont on en arrive là. On n’est pas dans le vide, on n'est pas tout d'un coup à se dire qu'est ce que je dois trouver machin ? Non non. Il y a quand même une corrélation avec ce qui s'est passé avant.
(Q - ?? : Avant dans les 9 énigmes, vous voulez dire ou avant en 650 quand même.)
MB : Avant dans les 9 énigmes un peu, et avant dans les deux dernières bien sûr.
MB : Vous remarquerez que je ne donne pas de nom, j'ai pas dit 650 ou pas 650…Vous vous débrouillez.
(Q - Apollon : Ce déclic, c'est une technique.)
MB : Le déclic, c'est comment un pirate un peu vicelard va concevoir son truc pour qu’on puisse pas lui piquer son trésor sans connaître réellement la solution. C'est une astuce, c'est une combine, c'est un peu vicelard, c'est un peu, mais en même temps c'est très abordable, hein.
(Q - Apollon : Ça reste vraiment très, très mystérieux cette histoire de déclic, c'est très, très mystérieux…
(Q - ?? : Déjà, avoir l'imaginaire.)
(Q - Tonton Nono : Oui parce que dans le dernier vocal ou le précédent, vous avez déclaré à une question qu’il fallait être sur place pour avoir le déclic, or je crois me souvenir que vous disiez qu’on pouvait l’avoir sous notre douche ou n’importe où, alors est-ce que vous pourriez préciser ce point svp.)
MB : Oui. En fait, le déclic dont je parle, je... C'est terrible, ces ronflements, hein, c'est terrible. J'arrive pas à m'y faire, mais ça a un côté fascinant hein, mais on est quand même dans une intimité fantastique hein ? D'accord Bah oui, oui, effectivement, oui, oui. Est-ce que, d'après vous, est-ce qu'il bave en dormant ?
(Q - ?? : Vous pouvez le muter à Michel si vous voulez, vous pouvez déjà)
MB : Je peux le muter mais bon finalement il nous empêche pas de communiquer, on va pas lui faire ça parce qu'après pour le démuter je serai peut-être pas là si je le mute après on sait pas jusqu'à quand il sera muté,
(Q - ?? Vous pouvez juste le muter pour vous en fait vous faites un clic droit et vous faites)
MB : Mais moi il ne me dérange pas. Non, c'est cette astuce dont je parle c'est toute la difficulté, parce qu’à la fois elle peut être comprise, elle revêt une certaine logique dans le contexte. Ouais OK Bah oui oui évidemment bon il a, notre pirate nationale a planqué son trésor, il a imaginé ça bon OK ouais pourquoi pas, mais l'autre versant c'est les chouetteurs qui eux sont pas réellement dans l'ambiance, qui sont un petit peu distancié, un petit peu éloigné de cette ambiance là, de vraiment la zone où on trouve et cetera. Pour eux, c'est encore un petit peu théorique et donc pour ces gens-là, effectivement pour vous tous donc, pratiquement, l'idée, quoi faire de ce déclic, de ce qui est à imaginer demeure, comment je vais dire ça, demeure un peu fugace, un peu difficile à attraper.