(Q - Apollon : On pourrait aller encore plus loin. Non mais je veux dire, je voulais dire dans vos réponses, mais moi je peux aller plus loin par exemple sur Dabo hein, il n’y a pas de problème. Ben je sais pas. Par exemple, si on part des Bornes Saint-Martin, ben dénouer les fils, ça serait tracer des frontières, par exemple des, enfin je sais pas, des 3 de Marmoutier, enfin des 3 comtés, je sais plus ce que c'était exactement, qui sont des limites, enfin, qui partent des bornes Saint-Martin et sur ces trucs là, sur ces frontières là, sur cette frontière là, il y a des bornes et pour moi, pour moi c'est sûr, enfin, on part d' une de ces bornes pour moi hein.)
MB : Vous avez quel âge ?
(Q - Apollon : La cinquantaine. Un petit peu plus…)
MB : Il y a 30 ans vous aviez la vingtaine. Entre le moment où Max Valentin a élaboré sa chasse et le moment où on l'a lancé, il s'est passé une quinzaine d'années. La logique qui était la sienne quand il a concocté tout ça, est bien éloignée du niveau de complexité qu'on s'accorde à lui prêter aujourd'hui. C'était si simple à l'époque. C'était tellement comment dirais-je, improvisé, inventé, basique, voilà. Ça, c'est un élément qui a du mal à passer, c'est un élément que les joueurs ont du mal à assimiler. L'histoire de la Chouette d'or, la chasse au trésor, les énigmes ont été conçues à la fin des années 70. Et aujourd'hui, on est en train de parler de tout ça avec toute la culture qui repose sur les séries, sur tout ce qu'on a inventé depuis, sur toutes ces histoires abracadabrantesques, complexes, ces chasse au trésor archi, comment dirais-je, trafiquées à coups d'effets spéciaux, à coups de tout ce qu'on veut, mais à la fin des années 70, c'était pas si compliqué.
(Q - Nabil : On peut faire du basique aussi et avoir faux comme solution.)
MB : Ben, on peut avoir faux de plein de manières, hein. Mais basique ou pas basique c'est pas tellement ça le débat, le débat, c'est vraiment…, c'est un petit peu mon combat personnel. J'essaie de convaincre la communauté des participants que rien ne leur permet de partir dans des théories d'une grande complexité. Et alors, si vous voulez vu de mon côté à moi encore une fois, à travers le évidemment, prenant en compte le fait que je connais les solutions, vu de mon côté à moi, je me dis mais c'est tellement facile et pour l'organisateur que je suis ou surtout pour l'organisateur qui était avant moi, Max Valentin, pratique de surfer sur la mode, la tendance actuelle de, j'ai évoqué les effets spéciaux, ça, ça a une petite connotation d'effets spéciaux, de complexifier les choses, de créer des personnages tellement intelligents qu’ils comprennent tout, ils décryptent, ils analysent, ils comprennent tout et enfin ils arrivent à trouver la solution mais à l'époque où la chouette a été conçue, c'était pas comme ça.
Donc on est sur un jeu qui est beaucoup plus simple que vous ne le pensez. On est sur des solutions qui sont beaucoup plus accessibles que vous n'imaginez, mais avec une logique qui est d'un autre temps, avec une logique bien plus basique que celle d'aujourd'hui. Aujourd'hui, faut être…, si on regarde les réseaux sociaux aujourd'hui, il faut être jeune, bon là je me disqualifie mais c'est pas grave, faut être bronzé, faut être intelligent, faut être performant, faut pas dormir, voilà. Oui, faut être tout le temps réactif, faut être tout le temps, faut être tout le temps-là. C'est ce que traduisent aujourd'hui le, ce que traduit aujourd'hui le schéma général du personnage idéal et c'est un petit peu ce qui fait la substance des super héros, des personnages qu'on admire ou auxquels on s'identifie dans les séries qu'on regarde. Mais la chouette d'or est d'une autre époque et d'un autre temps.
(Q - Apollon : Vous voulez dire que c'était beaucoup plus basique ?)
MB : Ah oui, je l'ai dit, oui.
(Q - Apollon : Donc quelque chose de simple pour la détermination finale, je veux dire repère direction de distance, un truc simple.)
MB : Bon, pourquoi pas, ça pourrait marcher ça.
(Q - ?? : Oui, ça marche, ça marche, ça, ça pourrait très très bien marcher même…)
(Q - Xavier d’Homan : ouais, mais on s'éloignerait quand même vachement du côté waouh, le côté astuce, côté machin tout ça, non, un petit peu Michel là.)
MB : Le côté waouh, je ne crois pas avoir jamais dit sur quoi il reposait.
(Q - Nabil : J'allais dire exactement ça, Michel, que le côté il est peut-être pas là où on le croit.)
MB : Nabil, t'es en train d'essayer de te faire passer pour plus intelligent que tu n'es. Moi je trouve cela dégueulasse. Tu récupères toutes mes réponses et tu essayes de les faire tiennes. Je trouve ça absolument dégueulasse, c'est de la récupération…
(Q - Apollon : Nabil, arrête de récupérer mes questions et mes réponses…)
MB : C’est exactement ce que j'allais dire, c'est ce que j'allais dire.
MB : Vous avez quel âge ?
(Q - Apollon : La cinquantaine. Un petit peu plus…)
MB : Il y a 30 ans vous aviez la vingtaine. Entre le moment où Max Valentin a élaboré sa chasse et le moment où on l'a lancé, il s'est passé une quinzaine d'années. La logique qui était la sienne quand il a concocté tout ça, est bien éloignée du niveau de complexité qu'on s'accorde à lui prêter aujourd'hui. C'était si simple à l'époque. C'était tellement comment dirais-je, improvisé, inventé, basique, voilà. Ça, c'est un élément qui a du mal à passer, c'est un élément que les joueurs ont du mal à assimiler. L'histoire de la Chouette d'or, la chasse au trésor, les énigmes ont été conçues à la fin des années 70. Et aujourd'hui, on est en train de parler de tout ça avec toute la culture qui repose sur les séries, sur tout ce qu'on a inventé depuis, sur toutes ces histoires abracadabrantesques, complexes, ces chasse au trésor archi, comment dirais-je, trafiquées à coups d'effets spéciaux, à coups de tout ce qu'on veut, mais à la fin des années 70, c'était pas si compliqué.
(Q - Nabil : On peut faire du basique aussi et avoir faux comme solution.)
MB : Ben, on peut avoir faux de plein de manières, hein. Mais basique ou pas basique c'est pas tellement ça le débat, le débat, c'est vraiment…, c'est un petit peu mon combat personnel. J'essaie de convaincre la communauté des participants que rien ne leur permet de partir dans des théories d'une grande complexité. Et alors, si vous voulez vu de mon côté à moi encore une fois, à travers le évidemment, prenant en compte le fait que je connais les solutions, vu de mon côté à moi, je me dis mais c'est tellement facile et pour l'organisateur que je suis ou surtout pour l'organisateur qui était avant moi, Max Valentin, pratique de surfer sur la mode, la tendance actuelle de, j'ai évoqué les effets spéciaux, ça, ça a une petite connotation d'effets spéciaux, de complexifier les choses, de créer des personnages tellement intelligents qu’ils comprennent tout, ils décryptent, ils analysent, ils comprennent tout et enfin ils arrivent à trouver la solution mais à l'époque où la chouette a été conçue, c'était pas comme ça.
Donc on est sur un jeu qui est beaucoup plus simple que vous ne le pensez. On est sur des solutions qui sont beaucoup plus accessibles que vous n'imaginez, mais avec une logique qui est d'un autre temps, avec une logique bien plus basique que celle d'aujourd'hui. Aujourd'hui, faut être…, si on regarde les réseaux sociaux aujourd'hui, il faut être jeune, bon là je me disqualifie mais c'est pas grave, faut être bronzé, faut être intelligent, faut être performant, faut pas dormir, voilà. Oui, faut être tout le temps réactif, faut être tout le temps, faut être tout le temps-là. C'est ce que traduisent aujourd'hui le, ce que traduit aujourd'hui le schéma général du personnage idéal et c'est un petit peu ce qui fait la substance des super héros, des personnages qu'on admire ou auxquels on s'identifie dans les séries qu'on regarde. Mais la chouette d'or est d'une autre époque et d'un autre temps.
(Q - Apollon : Vous voulez dire que c'était beaucoup plus basique ?)
MB : Ah oui, je l'ai dit, oui.
(Q - Apollon : Donc quelque chose de simple pour la détermination finale, je veux dire repère direction de distance, un truc simple.)
MB : Bon, pourquoi pas, ça pourrait marcher ça.
(Q - ?? : Oui, ça marche, ça marche, ça, ça pourrait très très bien marcher même…)
(Q - Xavier d’Homan : ouais, mais on s'éloignerait quand même vachement du côté waouh, le côté astuce, côté machin tout ça, non, un petit peu Michel là.)
MB : Le côté waouh, je ne crois pas avoir jamais dit sur quoi il reposait.
(Q - Nabil : J'allais dire exactement ça, Michel, que le côté il est peut-être pas là où on le croit.)
MB : Nabil, t'es en train d'essayer de te faire passer pour plus intelligent que tu n'es. Moi je trouve cela dégueulasse. Tu récupères toutes mes réponses et tu essayes de les faire tiennes. Je trouve ça absolument dégueulasse, c'est de la récupération…
(Q - Apollon : Nabil, arrête de récupérer mes questions et mes réponses…)
MB : C’est exactement ce que j'allais dire, c'est ce que j'allais dire.