(Q - Apollon : En parlant de Nabil, une fois vous avez posé une question et c'était sur les sentinelles, le passage en revue et ça a été interrompu, vous lui posiez la question, oui on passe les sentinelles, on passe devant et qu'est-ce qu'on fait ? Vous vous souvenez peut-être, non ? )
MB : Oh, tu sais à mon âge.
(Q - Apollon : Et ben, ça a été interrompu et si vous pouviez poursuivre ?)
MB : Est-ce que Nabil peut me reposer sa question, OK, on va, on va jouer le scénario, on va jouer le scénario jusqu'au bout. Nabil, on le refait une fois pour la technique.
(Q - Nabil : je n'ai pas écouté. C'était quoi la question ? C'est j'ai j'ai dit…)
MB : Non mais ça va pas là ?
(Q - Nabil : Non mais non, mais tard c'est quoi c'est quoi le truc ?)
MB : T’es payé pourquoi ?
(Q - Apollon : Tu te souviens Nabil, tu allais poser une question à Michel sur le passage en revue et Michel t'a dit, te disais voilà, on les passe en revue, donc on passe devant, on les regarde, et cetera. Tu t'en souviens?)
(Q - Nabil : Voilà. Mais là on est sur quelque chose de trop sensible. On va déterrer la chouette ensuite, si on passe en revue là c'est la chouette là..)
MB : Nabil est un grand sensible, vous voyez ce que je veux dire ?
(Q - Nabil : Si on passe en revue les Bornes Saint-Martin avec Michel, encore une fois, on va déterrer, la chouette, là, ce soir.)
(Q - Tonton Nono : Nabil a eu de la difficulté à trouver les yeux des Bornes Saint-Martin, il les cherche encore.)
MB : C'est rigolo. Vous savez, moi je vais vous dire un truc, vous êtes en train de, vous êtes en train d'évoquer des choses, de raconter des choses, mais attendez, mais vous êtes en train de parler de choses importantes.
(Q - Nabil : C'est ce que je dis, Michel, c'est passer en revue. Michel.)
MB : Nabil t’a rien dit, essaye pas de me dire ce que je dis, t'as rien dit. Non mais ça suffit. Ces gens qui s'approprient comme ça l'autorité non mais c'est insoutenable. Enfin Nabil t'as rien dit, pourquoi tu me dis c'est ce que je dis.)
(Q - Aladore : Ouais. Nabil, fait ton passage en revue.)
MB : Non mais bon il y a des moments où moi aussi hein, je suis un peu chaud bouillant là. Qu’est-ce que tu dis Nabil, alors ?
(Q - Nabil : Non non, je j'ai pas de question en particulier pour l'instant,)
MB : Voilà Nabill dit rien. On me dit ce que dit Nabil et Nabil dit rien, qu'est-ce que je dois comprendre ?
(Q - Nabil J’ai plus de question là il faut juste que…)
MB : Nabil. Tu m'entends ?
(Q - Nabil : Oui, je vous entends. Oui, je.)
MB : Nabil, tais-toi et creuse. Nabil c’est une boutade.
(Q - Nabil : J'ai bien compris Michel.)
MB : J'aime bien l'ambiance, j'aime, j'aime bien. Quand je vous entends, je vous sens comme ça, déconneur, je vous sens prêt à tout, mais il y a quand même des choses importantes, hein, qu'on qu'on se dit là mine de rien.
(Q - Nabil : Mais oui, parce que moi je pense que le déclic est lié au passage en revue et que la personne qui a ce déclic, qui passe bien en revue ou qui capte le truc de l'astuce liée au passage en revue, et ben je pense que tout se joue là. Le problème c'est est-ce que ce déclic va lui donner automatiquement les chiffres à cette personne, d'un coup comme ça, c'est sûr et certain. Voilà, il y a plein de questions par rapport à ça, mais je sens que tout se passe là et bon je suis pas le seul et moi je me demande si c'est ce qu'aujourd'hui on a besoin de plus, parce que je pense que peut-être qu'on le fait mal le passage en revue. Bon c'est sûr qu'on le fait mal puisqu'on déterre pas la chouette. J'irais même plus loin. Je pense que le passage en revue en réalité c'est ce qui nous permet de déterrer la chouette. Voilà ce que je pense Michel. Sans le passage en revue, tu la déterres pas.)
(Q - Apollon : Ben oui, c'est normal puisque tu continues après, donc c'est une condition nécessaire mais pas suffisante.)
MB : Ce que j'aime bien dans ce genre de débat, c'est qu'il y a toujours quelqu'un qui fait les réponses à ma place. Continuez, je vous écoute.
MB : Oh, tu sais à mon âge.
(Q - Apollon : Et ben, ça a été interrompu et si vous pouviez poursuivre ?)
MB : Est-ce que Nabil peut me reposer sa question, OK, on va, on va jouer le scénario, on va jouer le scénario jusqu'au bout. Nabil, on le refait une fois pour la technique.
(Q - Nabil : je n'ai pas écouté. C'était quoi la question ? C'est j'ai j'ai dit…)
MB : Non mais ça va pas là ?
(Q - Nabil : Non mais non, mais tard c'est quoi c'est quoi le truc ?)
MB : T’es payé pourquoi ?
(Q - Apollon : Tu te souviens Nabil, tu allais poser une question à Michel sur le passage en revue et Michel t'a dit, te disais voilà, on les passe en revue, donc on passe devant, on les regarde, et cetera. Tu t'en souviens?)
(Q - Nabil : Voilà. Mais là on est sur quelque chose de trop sensible. On va déterrer la chouette ensuite, si on passe en revue là c'est la chouette là..)
MB : Nabil est un grand sensible, vous voyez ce que je veux dire ?
(Q - Nabil : Si on passe en revue les Bornes Saint-Martin avec Michel, encore une fois, on va déterrer, la chouette, là, ce soir.)
(Q - Tonton Nono : Nabil a eu de la difficulté à trouver les yeux des Bornes Saint-Martin, il les cherche encore.)
MB : C'est rigolo. Vous savez, moi je vais vous dire un truc, vous êtes en train de, vous êtes en train d'évoquer des choses, de raconter des choses, mais attendez, mais vous êtes en train de parler de choses importantes.
(Q - Nabil : C'est ce que je dis, Michel, c'est passer en revue. Michel.)
MB : Nabil t’a rien dit, essaye pas de me dire ce que je dis, t'as rien dit. Non mais ça suffit. Ces gens qui s'approprient comme ça l'autorité non mais c'est insoutenable. Enfin Nabil t'as rien dit, pourquoi tu me dis c'est ce que je dis.)
(Q - Aladore : Ouais. Nabil, fait ton passage en revue.)
MB : Non mais bon il y a des moments où moi aussi hein, je suis un peu chaud bouillant là. Qu’est-ce que tu dis Nabil, alors ?
(Q - Nabil : Non non, je j'ai pas de question en particulier pour l'instant,)
MB : Voilà Nabill dit rien. On me dit ce que dit Nabil et Nabil dit rien, qu'est-ce que je dois comprendre ?
(Q - Nabil J’ai plus de question là il faut juste que…)
MB : Nabil. Tu m'entends ?
(Q - Nabil : Oui, je vous entends. Oui, je.)
MB : Nabil, tais-toi et creuse. Nabil c’est une boutade.
(Q - Nabil : J'ai bien compris Michel.)
MB : J'aime bien l'ambiance, j'aime, j'aime bien. Quand je vous entends, je vous sens comme ça, déconneur, je vous sens prêt à tout, mais il y a quand même des choses importantes, hein, qu'on qu'on se dit là mine de rien.
(Q - Nabil : Mais oui, parce que moi je pense que le déclic est lié au passage en revue et que la personne qui a ce déclic, qui passe bien en revue ou qui capte le truc de l'astuce liée au passage en revue, et ben je pense que tout se joue là. Le problème c'est est-ce que ce déclic va lui donner automatiquement les chiffres à cette personne, d'un coup comme ça, c'est sûr et certain. Voilà, il y a plein de questions par rapport à ça, mais je sens que tout se passe là et bon je suis pas le seul et moi je me demande si c'est ce qu'aujourd'hui on a besoin de plus, parce que je pense que peut-être qu'on le fait mal le passage en revue. Bon c'est sûr qu'on le fait mal puisqu'on déterre pas la chouette. J'irais même plus loin. Je pense que le passage en revue en réalité c'est ce qui nous permet de déterrer la chouette. Voilà ce que je pense Michel. Sans le passage en revue, tu la déterres pas.)
(Q - Apollon : Ben oui, c'est normal puisque tu continues après, donc c'est une condition nécessaire mais pas suffisante.)
MB : Ce que j'aime bien dans ce genre de débat, c'est qu'il y a toujours quelqu'un qui fait les réponses à ma place. Continuez, je vous écoute.