(Q - Patrick : Oui oui, donc du coup on pense avoir trouvé la 2ème carte parce que tout concorde à tous les cheminements qu'on a faits.)
MB : Bon, je vous interromps la 2ème carte, ça c'est pareil, c'est un truc pour moi ça devient presque un peu agaçant de toujours en parler de la notion d'outil. Tout ce qu’a pu dire Max Valentin par rapport à cette notion d'outil révèle, confirme le caractère spécieux, spécieux du personnage. Max Valentin était un communicant. Les mots pouvaient être utilisés d'une manière ou d’une autre et un communicant que vous essayez de mettre en défaut en lui disant, Ouais mais vous avez dit ça ? Il arrive toujours à vous expliquer que le mot peut être vu, considéré, interprété différemment. Bon alors non mais je vous réponds, je vous réponds, attendez, je finis de vous répondre. Après, vous pourrez vous exprimer tranquillement. Cette notion de 2ème carte, la 2ème carte comme la boussole comme comme un mètre, comme une cordelette, comme une lampe, comme tout ce que vous voudrez, comme un compas, comme tout ce que vous pouvez imaginer, ce sont des outils. Des outils, ce sont des éléments qu'on utilise, parce que ce que font ces outils, on ne peut pas le faire avec sa main. Donc on a besoin de quelque chose qui complète ce qu'on peut faire nous même avec sa tête ou avec sa main. Bah il nous faut une carte parce que on n'a pas la carte dans la tête, il nous faut une boussole parce qu'on n'a pas le Nord dans la tête. Il nous faut un compas parce qu'on peut pas tracer un cercle avec ses doigts et ainsi de suite. Pour moi, tout ça, ce sont des outils. La 2ème carte, c'est un outil, il y a des gens qui en auront besoin et il y en a d'autres qui n’en auront pas besoin. Je peux pas vous dire mieux, il n'y a aucun élément systématique. Cela dit, sur les, maintenant on le sait, sur les 9 premières énigmes, il est indispensable d'avoir une carte. On a besoin d'une carte. C’est un outil nécessaire.
(Q - Patrick : Non non, mais on sait bien servi de la carte comme d'un outil et on a bien reporté enfin.)
MB : Voilà voilà et la 2ème carte. Elle est disons facultative selon la manière dont vous appréhendez la solution.
(Q - Patrick : Toutes nos réflexions diverses et et et corrélées avec d'autres amis correspondent et pour autant, on tombe pas sur l'endroit précis jusqu'au pile poil, alors on se demande ce qu'on a brouté dans les 9 premières énigmes ou est ce que on a brouté sur la dernière quoi sur la 520.)
MB : Vous broutez tous, tous, tous, presque sans exception, à de rares exceptions vous broutez tous sur ce que j'essaie de dire depuis un bon moment, j'avais même commencé à le dire avant de reprendre le l'organisation du jeu, sur le personnage de Max Valentin. Personne ne veut me croire. C'est terrible. Je vous ai dit qui il était. J'ai essayé de le décrire et personne n'en tient compte. Pourtant, j'ai tout dit.
MB : Bon, je vous interromps la 2ème carte, ça c'est pareil, c'est un truc pour moi ça devient presque un peu agaçant de toujours en parler de la notion d'outil. Tout ce qu’a pu dire Max Valentin par rapport à cette notion d'outil révèle, confirme le caractère spécieux, spécieux du personnage. Max Valentin était un communicant. Les mots pouvaient être utilisés d'une manière ou d’une autre et un communicant que vous essayez de mettre en défaut en lui disant, Ouais mais vous avez dit ça ? Il arrive toujours à vous expliquer que le mot peut être vu, considéré, interprété différemment. Bon alors non mais je vous réponds, je vous réponds, attendez, je finis de vous répondre. Après, vous pourrez vous exprimer tranquillement. Cette notion de 2ème carte, la 2ème carte comme la boussole comme comme un mètre, comme une cordelette, comme une lampe, comme tout ce que vous voudrez, comme un compas, comme tout ce que vous pouvez imaginer, ce sont des outils. Des outils, ce sont des éléments qu'on utilise, parce que ce que font ces outils, on ne peut pas le faire avec sa main. Donc on a besoin de quelque chose qui complète ce qu'on peut faire nous même avec sa tête ou avec sa main. Bah il nous faut une carte parce que on n'a pas la carte dans la tête, il nous faut une boussole parce qu'on n'a pas le Nord dans la tête. Il nous faut un compas parce qu'on peut pas tracer un cercle avec ses doigts et ainsi de suite. Pour moi, tout ça, ce sont des outils. La 2ème carte, c'est un outil, il y a des gens qui en auront besoin et il y en a d'autres qui n’en auront pas besoin. Je peux pas vous dire mieux, il n'y a aucun élément systématique. Cela dit, sur les, maintenant on le sait, sur les 9 premières énigmes, il est indispensable d'avoir une carte. On a besoin d'une carte. C’est un outil nécessaire.
(Q - Patrick : Non non, mais on sait bien servi de la carte comme d'un outil et on a bien reporté enfin.)
MB : Voilà voilà et la 2ème carte. Elle est disons facultative selon la manière dont vous appréhendez la solution.
(Q - Patrick : Toutes nos réflexions diverses et et et corrélées avec d'autres amis correspondent et pour autant, on tombe pas sur l'endroit précis jusqu'au pile poil, alors on se demande ce qu'on a brouté dans les 9 premières énigmes ou est ce que on a brouté sur la dernière quoi sur la 520.)
MB : Vous broutez tous, tous, tous, presque sans exception, à de rares exceptions vous broutez tous sur ce que j'essaie de dire depuis un bon moment, j'avais même commencé à le dire avant de reprendre le l'organisation du jeu, sur le personnage de Max Valentin. Personne ne veut me croire. C'est terrible. Je vous ai dit qui il était. J'ai essayé de le décrire et personne n'en tient compte. Pourtant, j'ai tout dit.