(Q - ?? : et notre amie Pierrette pour le coup, c’est marrant que vous ayez choisi une fable, les gens hésitent de savoir si on parle de Pierrette, du chouetteur ou si on parle du tierce personne ?)
MB : t’es un gros malin t’essaye toujours de me la faire… « et si je vous posais la question suivante », qu’est-ce que vous répondriez…Pierrette, c’est rigolo Pierrette…
(Q - ?? : je me suis dit que ça faisait jaser que Pierrette fasse des galipettes…)
MB : je me suis dit heureusement qu’elle ne s’appelle pas Thérèse, j’aurais été embêté pour faire des rimes. Non mais c’est vrai quand je rigole, je rigole, mais il ne faut chercher dans les galipettes de Pierrette une signification, c’était juste un trait d’humour, une rime gratuite.
Mais c’est vrai que l’évocation de la fable de La Fontaine est assez rigolote, parce que c’est un peu ce dont vous avez besoin en fait, c’est ce recadrage et le moyen de le faire ce n’est pas de rajouter de l’énigme à l’énigme, c’est de rajouter du sens, même un peu caché, il faut quand même le chercher, mais de rajouter du sens à des choses qui en manquaient peut-être un peu jusqu’à présent.
(Q - ?? : mais je trouve il y a quand même un beau parallèle quand même avec le poème de La Fontaine…)
MB : ouais mais La Fontaine il a copié aussi, il y avait Esope, il y en a eu d’autres qui ont faits des fables, la notion de fable c’est une tradition, il y a un côté traditionnel, ça a été repris, parfois avec des nuances ou des différences mais tout n’a pas été inventé, c’est un peu comme du proverbe les fables, ça remonte à une tradition populaire, ça fait vraiment partie de l’imaginaire collectif et donc ça parle à l’imaginaire collectif, c’était un peu le but aussi de mon texte, c’était de le placer dans une teneur qui évoque pour chacun quelque chose.
MB : t’es un gros malin t’essaye toujours de me la faire… « et si je vous posais la question suivante », qu’est-ce que vous répondriez…Pierrette, c’est rigolo Pierrette…
(Q - ?? : je me suis dit que ça faisait jaser que Pierrette fasse des galipettes…)
MB : je me suis dit heureusement qu’elle ne s’appelle pas Thérèse, j’aurais été embêté pour faire des rimes. Non mais c’est vrai quand je rigole, je rigole, mais il ne faut chercher dans les galipettes de Pierrette une signification, c’était juste un trait d’humour, une rime gratuite.
Mais c’est vrai que l’évocation de la fable de La Fontaine est assez rigolote, parce que c’est un peu ce dont vous avez besoin en fait, c’est ce recadrage et le moyen de le faire ce n’est pas de rajouter de l’énigme à l’énigme, c’est de rajouter du sens, même un peu caché, il faut quand même le chercher, mais de rajouter du sens à des choses qui en manquaient peut-être un peu jusqu’à présent.
(Q - ?? : mais je trouve il y a quand même un beau parallèle quand même avec le poème de La Fontaine…)
MB : ouais mais La Fontaine il a copié aussi, il y avait Esope, il y en a eu d’autres qui ont faits des fables, la notion de fable c’est une tradition, il y a un côté traditionnel, ça a été repris, parfois avec des nuances ou des différences mais tout n’a pas été inventé, c’est un peu comme du proverbe les fables, ça remonte à une tradition populaire, ça fait vraiment partie de l’imaginaire collectif et donc ça parle à l’imaginaire collectif, c’était un peu le but aussi de mon texte, c’était de le placer dans une teneur qui évoque pour chacun quelque chose.