(Q – Marceau : mais après ouais par contre moi pour voir le déclic plus ou moins je peux juste dire que ça m'a apporté une confirmation. En fait quoi, pour commencer…)
MB : non, le déclic ce n’est pas une… non, non, le déclic ce n’est pas une confirmation, non, non, non, non, il ne confirme rien, le déclic, il apporte quelque chose, ça fait novation. Le déclic, ça vous apporte un truc, vous dites ah ! Ok, d'accord.
Vous n'y aviez pas pensé avant, c'est vraiment un truc qui se produit, qui vous donne une nouvelle information et là vous dites OK, ça va, maintenant je peux déduire où je dois creuser…
(Q – Marceau : d'accord, mais dans ce cas-là, dans ce sens-là, on peut dire que le résultat reste le même, avec ou sans le déclic, une fois qu'on l'a compris ?)
MB : Non, non, non. Vous employez des mots dans tous les sens. Comprendre, c'est le déclic. Tant qu'on n'a pas le déclic, on n'a pas compris. On arrive quelque part, il doit se passer ce fameux déclic. Si vous ne l’avez pas, vous ne trouverez pas et ça veut dire que vous n’avez pas capté quoi ? Voilà
MB : non, le déclic ce n’est pas une… non, non, le déclic ce n’est pas une confirmation, non, non, non, non, il ne confirme rien, le déclic, il apporte quelque chose, ça fait novation. Le déclic, ça vous apporte un truc, vous dites ah ! Ok, d'accord.
Vous n'y aviez pas pensé avant, c'est vraiment un truc qui se produit, qui vous donne une nouvelle information et là vous dites OK, ça va, maintenant je peux déduire où je dois creuser…
(Q – Marceau : d'accord, mais dans ce cas-là, dans ce sens-là, on peut dire que le résultat reste le même, avec ou sans le déclic, une fois qu'on l'a compris ?)
MB : Non, non, non. Vous employez des mots dans tous les sens. Comprendre, c'est le déclic. Tant qu'on n'a pas le déclic, on n'a pas compris. On arrive quelque part, il doit se passer ce fameux déclic. Si vous ne l’avez pas, vous ne trouverez pas et ça veut dire que vous n’avez pas capté quoi ? Voilà