(Q – Gringos : vous avez dit qu'il y avait très peu de joueurs qui avaient les bonnes solutions en main.)
MB : qui avait toutes les bonnes solutions en main.
(Q – Gringos : oui, toutes les bonnes solutions.)
MB : oui, j'ai dit ça, ouais.
(Q – Gringos : mais ça fait, ça fait peur, puisque qu'on peut être sur la bonne zone finale et puis ne pas avoir les bonnes solutions ?)
MB : oui, ça peut se produire.
(Q – Gringos : d'accord…)
MB : mais on ne saura pas quoi faire parce qu'on n'a pas les bonnes solutions.
(Q – Gringos : donc ça a contredit ce que vous avez expliqué avant. Si on est au bon endroit, on oublie les solutions précédentes…)
(Q – Exalastro : je suis d’accord avec ça aussi Gringos…)
MB : mais non, vous ne comprenez pas, vous avez parmi les chouetteurs, vous avez une grande quantité de gens qui prennent à gauche, à droite, donc ils utilisent tout ce qu'on peut trouver comme données sur Internet, qui arrivent à certains endroits, des endroits qui peuvent être, le cas échéant, la bonne zone, employons ce terme de zone, mais qui n'en ont pas forcément conscience ou qui ne savent pas vraiment pourquoi et qui n'ont pas le moyen d'enchaîner sur la super solution parce qu’ils n'ont pas capté tout le reste, donc ça peut arriver.
Mais ce qui est encore bien plus fréquent, c'est des gens qui comprennent beaucoup de choses, et qui, à un moment donné, moi je dis comme ça, je ne sais pas si les termes sont adaptés, qui à un moment donné ne se font plus confiance à eux-mêmes, doutent, échangent, en émettant des doutes. Je vois bien dans tout ce que je peux lire, il y a des gens qui disent, bah moi je pense comme ça, mais peut-être que…
Et à un moment donné, je veux dire, il faut se faire ses certitudes, c'est toujours, encore une fois, je reviens à ce que j'ai écrit à mblond hier, à un moment donné, il faut voter quoi. Il faut dire moi j'adopte ça parce que je pense vraiment que c'est ça, et à partir de là, je continue ou j'essaie de continuer.
Le problème, c'est qu'il y a un brassage tellement énorme de possibilités, de possibles, de ben oui, mais peut-être que si, machin et cetera, c'est tellement énorme ce brassage d'idées, que j'ai le sentiment que très peu arrivent à maintenir le cap quoi, si j'ose dire, et à rester sur leur logique et en gardant leur déduction et en tirant les conclusions qui s'imposent.
C'est ça que je vois moi, et je le vois dans les écrits, ça.
MB : qui avait toutes les bonnes solutions en main.
(Q – Gringos : oui, toutes les bonnes solutions.)
MB : oui, j'ai dit ça, ouais.
(Q – Gringos : mais ça fait, ça fait peur, puisque qu'on peut être sur la bonne zone finale et puis ne pas avoir les bonnes solutions ?)
MB : oui, ça peut se produire.
(Q – Gringos : d'accord…)
MB : mais on ne saura pas quoi faire parce qu'on n'a pas les bonnes solutions.
(Q – Gringos : donc ça a contredit ce que vous avez expliqué avant. Si on est au bon endroit, on oublie les solutions précédentes…)
(Q – Exalastro : je suis d’accord avec ça aussi Gringos…)
MB : mais non, vous ne comprenez pas, vous avez parmi les chouetteurs, vous avez une grande quantité de gens qui prennent à gauche, à droite, donc ils utilisent tout ce qu'on peut trouver comme données sur Internet, qui arrivent à certains endroits, des endroits qui peuvent être, le cas échéant, la bonne zone, employons ce terme de zone, mais qui n'en ont pas forcément conscience ou qui ne savent pas vraiment pourquoi et qui n'ont pas le moyen d'enchaîner sur la super solution parce qu’ils n'ont pas capté tout le reste, donc ça peut arriver.
Mais ce qui est encore bien plus fréquent, c'est des gens qui comprennent beaucoup de choses, et qui, à un moment donné, moi je dis comme ça, je ne sais pas si les termes sont adaptés, qui à un moment donné ne se font plus confiance à eux-mêmes, doutent, échangent, en émettant des doutes. Je vois bien dans tout ce que je peux lire, il y a des gens qui disent, bah moi je pense comme ça, mais peut-être que…
Et à un moment donné, je veux dire, il faut se faire ses certitudes, c'est toujours, encore une fois, je reviens à ce que j'ai écrit à mblond hier, à un moment donné, il faut voter quoi. Il faut dire moi j'adopte ça parce que je pense vraiment que c'est ça, et à partir de là, je continue ou j'essaie de continuer.
Le problème, c'est qu'il y a un brassage tellement énorme de possibilités, de possibles, de ben oui, mais peut-être que si, machin et cetera, c'est tellement énorme ce brassage d'idées, que j'ai le sentiment que très peu arrivent à maintenir le cap quoi, si j'ose dire, et à rester sur leur logique et en gardant leur déduction et en tirant les conclusions qui s'imposent.
C'est ça que je vois moi, et je le vois dans les écrits, ça.