(Q – Roc : J'aurais un commentaire à faire à Michel, vous savez que les vacances de Noël commencent bientôt et on va avoir beaucoup de temps pour mouliner et pour chercher, parce que bon, plusieurs d'entre nous vont être en congé, donc c'est bien que vous soyez venu ce soir pour donner un coup de pied un peu dans la fourmilière et pour nous provoquer à chercher davantage.)
MB : Mais par exemple, encore un sujet que j'ai plaisir à aborder ce soir, qui est très polémique, j'ai fait une intervention écrite il y a quelques jours pour reparler de l'émission d'Europe 1 où Max Valentin est interviewé. Alors, j'ai été ahuri de voir la levée de boucliers en disant ouais, ce n'est pas bien, vous attaquez Max Valentin, vous êtes toujours en train de l'attaquer.
Moi, j'avais envie de dire un truc. J'avais envie de dire un truc, j'espère que beaucoup de gens vont pouvoir l'entendre. Pourquoi se permet-on d’éplucher, de disséquer les vocaux de Michel Becker et pourquoi serait-il malsain, malhonnête, malvenu, d’éplucher les quelques minutes de vocal de Max Valentin.
Ce que j'ai essayé de faire en disant vous avez entendu comment il parle, vous avez entendu son intonation, c’est-à-dire j'ai fait ce que vous faites avec moi.
Tout le monde me dissèque vocalement parlant. Tout le monde épluche, tout le monde interprète, tout le monde essaye de comprendre un truc qui serait induit, un bégaiement, une hésitation, un dada…. Vous savez ce fameux « dada » qui n'avait rien à voir avec Dabo, mais tant pis, laissant ceux qui le croient le croire. Pourquoi est-ce que ce qu'on aurait pas le droit de le faire avec les quelques minutes d'enregistrement de Max Valentin ? Expliquez-moi ? Quelqu'un a une réponse à formuler là-dessus ?
(Q - Roc : Ben Michel, il y en a seulement un ou deux qui vous ont critiqué là-dessus, parce que…)
MB : il y en a plus que ça, mais pour autant, je le dis quand même, parce que quand on me dit vous nous poussez à éplucher le personnage de Max Valentin, on est dans de la psychologie, … Qu'est-ce que vous faites avec moi ? C'est exactement ce qu'on fait avec moi. Alors moi je dis pour la compréhension du jeu, là je fournis un élément, en disant écoutez bien.
Et écoutez bien, ce qu'il y avait à entendre, c'est que le gars qui est à un moment donné là, qui n’est pas très à l'aise dans l'interview pour des raisons qui sont les siennes et qu'on peut imaginer, il dit quand même, à un moment, j'ai eu à intervenir sur un rallye surprise, ça fait des années qu'il disait qu'il était un grand spécialiste des Rallyes surprise, puis là où il est pris de court, où il ne maîtrise pas trop l'interview, il dit un rallye surprise. Ma conviction c'est qu'il n'en a fait qu'un d'ailleurs hein.
Mais qu'est-ce que voulais souligner, à travers ça, je voulais souligner que, la manière, comme je l'ai dit 150 fois, ce n’est pas un scoop, hein, mais j'essayais d'étayer un petit peu le truc, la démonstration, de dire, on a affaire à quelqu'un qui est un littéraire et qui a construit sa chasse comme le rallye surprise sur lequel il a eu à travailler, et en s'inspirant fortement, probablement de mascarade.
Ce sont les 2 points de repère qui sont les sien, qui étaient les siens pardon et j'ai souhaité vous mettre ça en avant, vous le souligner pour que vous puissiez, le cas échéant, en tirer parti.
Mais c'est pour, c'est pour souligner qu'il y a 2 poids, 2 mesures, c'est à dire qu’il faut rester beaucoup plus, beaucoup plus serein dans les débats, ce que moi-même je n’'arrive pas toujours à faire d'ailleurs, mais pour autant il faut rester serein, c'est à dire que moi, j'accepte qu'on m'enregistre, j'accepte qu'on épluche tout, qu'on interprète, qu'on dissèque, etc, tout ce que vous voudrez, il faut accepter que dans l'autre sens, ça peut fonctionner aussi, hein.
Et que chacun peut se retrouver enregistré, il y a quand même des joueurs ici qui écoutent, il y a des joueurs qui écoutent les enregistrements et qui ne supportent pas quand ils sont enregistrés eux-mêmes.
Ce qui est un peu paradoxal et ce qui montre à quel point il y a des traitements différents de l'information, des approches différentes selon qui s'exprime et qui écoute. Et ça peut conduire, peut-être en pensant à ça, à un petit peu plus d'ouverture d'esprit pour se dire bon Ok, il y a des informations de part et d'autre, il y a des choses à comprendre et notamment pour y revenir très brièvement sur l'évolution de mon propos à travers les vocaux, ben il est lié à tout ça, à cette évolution, à cet apprentissage de l'échange, de ce qui se passe chez les Chouetteurs etc.
(Q - ?? : Michel, vous l'avez dit vous-même, on ne peut pas plaire à tout le monde et il ne faut pas se formaliser pour ces gens-là qui sont de toute façon ancrés ou cristallisés dans un passé qui n'existe plus. MB : Mais je ne me formalise pas Roc, je ne me formalise pas, je les mouche, je les mouche parce qu'ils vont écouter cet enregistrement s’ils ne sont pas là, donc je me fais plaisir.
(Q – Roc : Je vous comprends et je vous approuve !)
MB : mais je ne me formalise pas du tout hein, je recommencerai hein.
MB : Mais par exemple, encore un sujet que j'ai plaisir à aborder ce soir, qui est très polémique, j'ai fait une intervention écrite il y a quelques jours pour reparler de l'émission d'Europe 1 où Max Valentin est interviewé. Alors, j'ai été ahuri de voir la levée de boucliers en disant ouais, ce n'est pas bien, vous attaquez Max Valentin, vous êtes toujours en train de l'attaquer.
Moi, j'avais envie de dire un truc. J'avais envie de dire un truc, j'espère que beaucoup de gens vont pouvoir l'entendre. Pourquoi se permet-on d’éplucher, de disséquer les vocaux de Michel Becker et pourquoi serait-il malsain, malhonnête, malvenu, d’éplucher les quelques minutes de vocal de Max Valentin.
Ce que j'ai essayé de faire en disant vous avez entendu comment il parle, vous avez entendu son intonation, c’est-à-dire j'ai fait ce que vous faites avec moi.
Tout le monde me dissèque vocalement parlant. Tout le monde épluche, tout le monde interprète, tout le monde essaye de comprendre un truc qui serait induit, un bégaiement, une hésitation, un dada…. Vous savez ce fameux « dada » qui n'avait rien à voir avec Dabo, mais tant pis, laissant ceux qui le croient le croire. Pourquoi est-ce que ce qu'on aurait pas le droit de le faire avec les quelques minutes d'enregistrement de Max Valentin ? Expliquez-moi ? Quelqu'un a une réponse à formuler là-dessus ?
(Q - Roc : Ben Michel, il y en a seulement un ou deux qui vous ont critiqué là-dessus, parce que…)
MB : il y en a plus que ça, mais pour autant, je le dis quand même, parce que quand on me dit vous nous poussez à éplucher le personnage de Max Valentin, on est dans de la psychologie, … Qu'est-ce que vous faites avec moi ? C'est exactement ce qu'on fait avec moi. Alors moi je dis pour la compréhension du jeu, là je fournis un élément, en disant écoutez bien.
Et écoutez bien, ce qu'il y avait à entendre, c'est que le gars qui est à un moment donné là, qui n’est pas très à l'aise dans l'interview pour des raisons qui sont les siennes et qu'on peut imaginer, il dit quand même, à un moment, j'ai eu à intervenir sur un rallye surprise, ça fait des années qu'il disait qu'il était un grand spécialiste des Rallyes surprise, puis là où il est pris de court, où il ne maîtrise pas trop l'interview, il dit un rallye surprise. Ma conviction c'est qu'il n'en a fait qu'un d'ailleurs hein.
Mais qu'est-ce que voulais souligner, à travers ça, je voulais souligner que, la manière, comme je l'ai dit 150 fois, ce n’est pas un scoop, hein, mais j'essayais d'étayer un petit peu le truc, la démonstration, de dire, on a affaire à quelqu'un qui est un littéraire et qui a construit sa chasse comme le rallye surprise sur lequel il a eu à travailler, et en s'inspirant fortement, probablement de mascarade.
Ce sont les 2 points de repère qui sont les sien, qui étaient les siens pardon et j'ai souhaité vous mettre ça en avant, vous le souligner pour que vous puissiez, le cas échéant, en tirer parti.
Mais c'est pour, c'est pour souligner qu'il y a 2 poids, 2 mesures, c'est à dire qu’il faut rester beaucoup plus, beaucoup plus serein dans les débats, ce que moi-même je n’'arrive pas toujours à faire d'ailleurs, mais pour autant il faut rester serein, c'est à dire que moi, j'accepte qu'on m'enregistre, j'accepte qu'on épluche tout, qu'on interprète, qu'on dissèque, etc, tout ce que vous voudrez, il faut accepter que dans l'autre sens, ça peut fonctionner aussi, hein.
Et que chacun peut se retrouver enregistré, il y a quand même des joueurs ici qui écoutent, il y a des joueurs qui écoutent les enregistrements et qui ne supportent pas quand ils sont enregistrés eux-mêmes.
Ce qui est un peu paradoxal et ce qui montre à quel point il y a des traitements différents de l'information, des approches différentes selon qui s'exprime et qui écoute. Et ça peut conduire, peut-être en pensant à ça, à un petit peu plus d'ouverture d'esprit pour se dire bon Ok, il y a des informations de part et d'autre, il y a des choses à comprendre et notamment pour y revenir très brièvement sur l'évolution de mon propos à travers les vocaux, ben il est lié à tout ça, à cette évolution, à cet apprentissage de l'échange, de ce qui se passe chez les Chouetteurs etc.
(Q - ?? : Michel, vous l'avez dit vous-même, on ne peut pas plaire à tout le monde et il ne faut pas se formaliser pour ces gens-là qui sont de toute façon ancrés ou cristallisés dans un passé qui n'existe plus. MB : Mais je ne me formalise pas Roc, je ne me formalise pas, je les mouche, je les mouche parce qu'ils vont écouter cet enregistrement s’ils ne sont pas là, donc je me fais plaisir.
(Q – Roc : Je vous comprends et je vous approuve !)
MB : mais je ne me formalise pas du tout hein, je recommencerai hein.