(Q - ?? : mais c'était assez risqué pour Max Valentin de distribuer ça à des futurs, comment vous dites ça, des gens qui ont des contributeurs ou des gens qui vont financer des sponsors, donc je trouve ça assez risqué non d'avoir distribué des indications comme ça qui sont moins codés.)
MB : Pour le pognon, il y a des mecs qui prennent des risques insensés. Il a essayé de vendre son truc. Il ne me vient même pas à l'idée qu'il ait pu imaginer, envisager la notion de risque à ce niveau-là. Lui il a préparé un truc, il a essayé de le vendre par tous les moyens possibles qui étaient à sa portée. Il n'était pas dans la démarche d'un poète, d'un artiste qui a envie de se faire connaître comme moi ou quoi que ce soit. Il était dans la démarche d'un publicitaire qui vend un produit et qui essaie d'en tirer le maximum, si j’ose dire.
(Q - ?? : Et j'imagine qu'il aurait donné le lieu final de la contremarque au sponsor j'imagine qu'il proposait en échange hein non ?)
MB : Ben, je dirais que la différence entre le moment où le sponsor, donc mon ami Hervé était censé financer l'opération, être le seul à signer le bouquin, quand je dis ça, j'ai des écrits hein, j'ai des projets de contrat, et cetera… donc à l'origine, il n’était absolument pas question que ni Régis Hauser, ni Max Valentin, qui n'existait même pas signent le bouquin. Il s'agissait d'une opération vendue à un sponsor en échange d'un chèque.
Et donc, la notion qu'on évoque, de risques, de confidentialité, le fait que Régis hauser, Max Valentin ait communiqué ou pas à son sponsor les solutions, ne se posaient pas de cette manière-là. Ce qui se posait, c'était de dire, j'ai une idée de chasse au Trésor, j'ai envie de la vendre et si j'ai en face de moi un mec qui est prêt à faire un chèque et ben je fais ce qu'il faut pour qu'il signe quoi. Donc, s'il avait fallu communiquer les solutions, il les aurait communiquées.
MB : Pour le pognon, il y a des mecs qui prennent des risques insensés. Il a essayé de vendre son truc. Il ne me vient même pas à l'idée qu'il ait pu imaginer, envisager la notion de risque à ce niveau-là. Lui il a préparé un truc, il a essayé de le vendre par tous les moyens possibles qui étaient à sa portée. Il n'était pas dans la démarche d'un poète, d'un artiste qui a envie de se faire connaître comme moi ou quoi que ce soit. Il était dans la démarche d'un publicitaire qui vend un produit et qui essaie d'en tirer le maximum, si j’ose dire.
(Q - ?? : Et j'imagine qu'il aurait donné le lieu final de la contremarque au sponsor j'imagine qu'il proposait en échange hein non ?)
MB : Ben, je dirais que la différence entre le moment où le sponsor, donc mon ami Hervé était censé financer l'opération, être le seul à signer le bouquin, quand je dis ça, j'ai des écrits hein, j'ai des projets de contrat, et cetera… donc à l'origine, il n’était absolument pas question que ni Régis Hauser, ni Max Valentin, qui n'existait même pas signent le bouquin. Il s'agissait d'une opération vendue à un sponsor en échange d'un chèque.
Et donc, la notion qu'on évoque, de risques, de confidentialité, le fait que Régis hauser, Max Valentin ait communiqué ou pas à son sponsor les solutions, ne se posaient pas de cette manière-là. Ce qui se posait, c'était de dire, j'ai une idée de chasse au Trésor, j'ai envie de la vendre et si j'ai en face de moi un mec qui est prêt à faire un chèque et ben je fais ce qu'il faut pour qu'il signe quoi. Donc, s'il avait fallu communiquer les solutions, il les aurait communiquées.