(Q – Nabil : et c'est pas ce que je vous ai envoyé, Michel et pourtant, j'ai l'impression que c'est exactement la super solution ce que je vous ai envoyé par message privé, mais bon j'ai tout faux, mais c’est à n'y rien comprendre quoi, moi la zone je l'ai, je vois des déclics supersoniques, sur la carte, sur la zone et je ne comprends pas, ça parle tellement avec le livre. Et là, j'en suis à me dire, mais qu'est-ce qui est juste, qu'est-ce qui est faux dans ce que je trouve ? Qu'est-ce qui…)
MB : Nabil, je suis vachement vieux, j'ai 73 ans aujourd'hui, je suis vraiment un vieux bonhomme, mais je me souviens, quand j'étais beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup plus jeune, que j'étais à l'école et qu'on faisait des explications de texte, Ah oui, c'est loin et qu’on avait des profs, en ce temps-là qui étaient capables de nous faire comprendre, de nous faire toucher du doigt de quelle manière on devait interpréter, comprendre, traduire, entendre tel mot, telle expression, telle phrase.
Et aujourd'hui, quand je parle avec vous, j'ai sincèrement, j'ai cette sensation d'un grand décalage entre ce que vous êtes en mesure de capter dans les textes des énigmes et ce que réellement contiennent ces énigmes. J'ai le sentiment que très peu d'entre vous parviennent ou sont en mesure de parvenir à comprendre les textes. A les comprendre, comprendre, c'est envisager les diverses significations d'un mot, les lire avec attention et les capter en se disant voilà, ça peut signifier ça, ça peut signifier autre chose, voilà comment je comprends le texte.
J'ai la sensation que la plupart d'entre vous passent un peu à la hussarde sur les textes, vous les lisez, vous pensez avoir compris et vous passez à autre chose. Mais moi, je ne suis pas sûr que vous avez bien compris. Ça, c'est important. N'oubliez pas que Régis Hauser était comme moi, il était mon contemporain, il est mort plus jeune que moi mais finalement, c’était le même que moi, on est du siècle dernier. On est d'une époque où on utilisait les mots où il n’y avait pas internet ou les échanges écrits pesaient beaucoup plus lourd qu'aujourd'hui ou quand on employait un terme, un mot ou quand on utilisait tel ou tel vocable, c'était avec l'intention de dire telle ou telle chose, et aujourd'hui très peu d'entre vous sont capables de lire ça, de comprendre ça.
MB : Nabil, je suis vachement vieux, j'ai 73 ans aujourd'hui, je suis vraiment un vieux bonhomme, mais je me souviens, quand j'étais beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup plus jeune, que j'étais à l'école et qu'on faisait des explications de texte, Ah oui, c'est loin et qu’on avait des profs, en ce temps-là qui étaient capables de nous faire comprendre, de nous faire toucher du doigt de quelle manière on devait interpréter, comprendre, traduire, entendre tel mot, telle expression, telle phrase.
Et aujourd'hui, quand je parle avec vous, j'ai sincèrement, j'ai cette sensation d'un grand décalage entre ce que vous êtes en mesure de capter dans les textes des énigmes et ce que réellement contiennent ces énigmes. J'ai le sentiment que très peu d'entre vous parviennent ou sont en mesure de parvenir à comprendre les textes. A les comprendre, comprendre, c'est envisager les diverses significations d'un mot, les lire avec attention et les capter en se disant voilà, ça peut signifier ça, ça peut signifier autre chose, voilà comment je comprends le texte.
J'ai la sensation que la plupart d'entre vous passent un peu à la hussarde sur les textes, vous les lisez, vous pensez avoir compris et vous passez à autre chose. Mais moi, je ne suis pas sûr que vous avez bien compris. Ça, c'est important. N'oubliez pas que Régis Hauser était comme moi, il était mon contemporain, il est mort plus jeune que moi mais finalement, c’était le même que moi, on est du siècle dernier. On est d'une époque où on utilisait les mots où il n’y avait pas internet ou les échanges écrits pesaient beaucoup plus lourd qu'aujourd'hui ou quand on employait un terme, un mot ou quand on utilisait tel ou tel vocable, c'était avec l'intention de dire telle ou telle chose, et aujourd'hui très peu d'entre vous sont capables de lire ça, de comprendre ça.