(Q – Apollon : Quand vous dites, nous avons le lieu sous notre nez, vous parlez de la zone ou du pile poil ?)
MB : je n'ai pas dit sous notre nez, j'ai dit sous votre nez, vous l'avez, vous qui me parlez, vous l'avez sous votre nez.
(Q – Apollon : vous parlez de la zone ou du pile poil ?)
MB : de tout…vous l'avez sous le nez. Je sais bien que ça paraît, ça paraît dingue. On se dit Becker, il nous musique, il est en train de nous balader, il est en train de nous raconter des trucs, non, non, je vous raconte pas de trucs, vous l'avez sous le nez quoi.
C'est dingue, il y a un truc, vous me répondez, vous avez bien dit ça ? Oui j'ai bien dit ça. Oui mais vous avez bien dit, c'est bien, c'est sûr. Vous avez bien dit ça ? Oui, oui, c'est sûr. J'ai bien dit ça.
(Q – Roc : Non mais Michel c'est tellement incroyable qu’on est sous le choc un peu là…)
MB : mais attendez, mais moi j'ai été sous le choc le jour où j'ai découvert les solutions, j'ai été le choc quoi, j'ai été sur le cul Roc, j'étais sur le cul, je me suis dit mais c'est pas possible là, j'en crois pas mes yeux. Mais attendez, mais vous imagine, vous avez l'air, qu'est-ce que vous croyez-vous, que je suis un ectoplasme, un mec complètement imperméable qui n'a aucune émotion ou, qu'est-ce que vous pensez, mais j'ai des émotions, je réagis comme vous, je suis comme vous, le jour où j'ai eu le truc en main, je me suis dit, merde, c'est incroyable cette histoire. Ce n'est pas possible.
(Q – Apollon : oui, vous vous avez eu un choc parce que…)
MB : c’est Apollon qui parle ? Nous étions un petit peu… un peu en bisbille tous les 2 à un moment. On n'était pas trop copains.
(Q - Apollon : Non, on n'était pas trop copains…)
MB : Mais on est copains aujourd'hui ?
(Q – Apollon : Oui, on est copains, il n’y a pas de souci.)
MB : mais tout a changé, on n'était pas copain au début quand même. Allez, je vous écoute, allez posez-moi votre question…
(Q – Apollon : pourquoi vous avez été choqué ? Quand vous avez découvert les solutions, il y a quelque chose que vous aviez fait qui a absolument collé avec les solutions, c'est ça ? Il y a un hasard, c'est un hasard absolu ?)
MB : Ma première réflexion a été de me dire, en pensant à vous, vous Apollon, vous les chouetteurs…Nom de Dieu, les pauvres, les pauvres, attendez, laissez-moi le temps de m'exprimer, je vous jure que c'est vrai. Je me suis dit nom de Dieu les pauvres, comment je vais faire ? Parce que, à l'instant où j'ai découvert les solutions, je me suis rendu compte de l'ampleur du délire, qui avait pu entourer le personnage de Max Valentin. Je me suis dit Waouh, Waouh, Waouh.
Mais en quelques minutes, je me suis dit, comment je vais faire pour rattraper ça ? Et la tonalité un peu bizarre, un peu de mauvais goût je l'admets, du vocal que j'ai fait, de la vidéo que j'ai publiée au moment où j'ai dit, en voilà la communication présidentielle aux chouetteurs, cette communication que j'ai faite pour dire, eh ben voilà, je suis allé vérifier etc, en moi-même, j’étais encore extrêmement perturbé, parce ce que je ne savais pas comment j'allais faire pour communiquer avec vous, pour vous dire bah voilà, dans quelle direction il faut aller, etc.
J'ai essayé de le faire dans une première phase, puis il y a eu cette fameuse conférence où je me suis dit, il faut quand même que tu déballes un peu, quoi, tu ne peux pas rester comme ça, tu ne peux pas jouer avec les gens à ce point-là.
Et le jour où j'ai fait cette conférence, où j'ai dit bah y a pas de reliquat, tout ça n'existe pas.
Le jour où j'ai fait cette conférence, c'était le moment où après une première phase, je me suis dit, rentre un petit peu dans le jeu, essaye de ne pas tout casser et essaye de répondre, essaye de rentrer dans le truc quoi.
Et à un moment donné, je me suis dit tu ne peux pas continuer, là tu ne vas pas y arriver, ce n'est pas possible de soutenir, il y a des positions que tu ne peux pas soutenir, il faut que tu dises la vérité.
Et cette conférence, ça a été important pour moi, parce que c'est le moment où j'ai pu dire ben les reliquats, hein, les machins…enfin, tout ce que vous savez tous, si vous ne le savez pas, ben, vous pourrez l'écouter cette conférence, mais c'est le moment où je me suis un peu lâché en disant, écoutez, il y a vraiment des trucs, il faut que je vous le dise quoi, il y a vraiment des choses qui ne sont pas vraies.
Il faut que vous compreniez que vous vous êtes fait, d'une certaine manière, vous êtes fait balader par quelqu'un qui était un communicant, qui vous a raconté des trucs, mais ce n'est pas la vérité, ce n'est pas comme ça qu'il faut voir les choses.
(Q – Apollon : vous vous êtes rendu compte, quand vous avez fait la conférence, hein, ça a été terrible pour beaucoup de chercheurs, pour beaucoup d'anciens chercheurs, c'était une catastrophe. Vous vous en êtes rendu compte. Pourquoi ? Parce que pendant des années, on tournait d'une certaine façon, on avait des reliquats, etc. Mais apprendre ça d'un coup, c'était enfin, imaginez un petit peu. Il y en a beaucoup qui sont tombés de leur chaise. Je suis tombé de ma chaise aussi.)
MB : Est-ce qu'il vous est arrivé de penser un instant ce que moi j'avais ressenti ? Est-ce que vous pouvez penser que le jour où j'ai lu les solutions, je suis tombé de ma chaise ?
MB : je n'ai pas dit sous notre nez, j'ai dit sous votre nez, vous l'avez, vous qui me parlez, vous l'avez sous votre nez.
(Q – Apollon : vous parlez de la zone ou du pile poil ?)
MB : de tout…vous l'avez sous le nez. Je sais bien que ça paraît, ça paraît dingue. On se dit Becker, il nous musique, il est en train de nous balader, il est en train de nous raconter des trucs, non, non, je vous raconte pas de trucs, vous l'avez sous le nez quoi.
C'est dingue, il y a un truc, vous me répondez, vous avez bien dit ça ? Oui j'ai bien dit ça. Oui mais vous avez bien dit, c'est bien, c'est sûr. Vous avez bien dit ça ? Oui, oui, c'est sûr. J'ai bien dit ça.
(Q – Roc : Non mais Michel c'est tellement incroyable qu’on est sous le choc un peu là…)
MB : mais attendez, mais moi j'ai été sous le choc le jour où j'ai découvert les solutions, j'ai été le choc quoi, j'ai été sur le cul Roc, j'étais sur le cul, je me suis dit mais c'est pas possible là, j'en crois pas mes yeux. Mais attendez, mais vous imagine, vous avez l'air, qu'est-ce que vous croyez-vous, que je suis un ectoplasme, un mec complètement imperméable qui n'a aucune émotion ou, qu'est-ce que vous pensez, mais j'ai des émotions, je réagis comme vous, je suis comme vous, le jour où j'ai eu le truc en main, je me suis dit, merde, c'est incroyable cette histoire. Ce n'est pas possible.
(Q – Apollon : oui, vous vous avez eu un choc parce que…)
MB : c’est Apollon qui parle ? Nous étions un petit peu… un peu en bisbille tous les 2 à un moment. On n'était pas trop copains.
(Q - Apollon : Non, on n'était pas trop copains…)
MB : Mais on est copains aujourd'hui ?
(Q – Apollon : Oui, on est copains, il n’y a pas de souci.)
MB : mais tout a changé, on n'était pas copain au début quand même. Allez, je vous écoute, allez posez-moi votre question…
(Q – Apollon : pourquoi vous avez été choqué ? Quand vous avez découvert les solutions, il y a quelque chose que vous aviez fait qui a absolument collé avec les solutions, c'est ça ? Il y a un hasard, c'est un hasard absolu ?)
MB : Ma première réflexion a été de me dire, en pensant à vous, vous Apollon, vous les chouetteurs…Nom de Dieu, les pauvres, les pauvres, attendez, laissez-moi le temps de m'exprimer, je vous jure que c'est vrai. Je me suis dit nom de Dieu les pauvres, comment je vais faire ? Parce que, à l'instant où j'ai découvert les solutions, je me suis rendu compte de l'ampleur du délire, qui avait pu entourer le personnage de Max Valentin. Je me suis dit Waouh, Waouh, Waouh.
Mais en quelques minutes, je me suis dit, comment je vais faire pour rattraper ça ? Et la tonalité un peu bizarre, un peu de mauvais goût je l'admets, du vocal que j'ai fait, de la vidéo que j'ai publiée au moment où j'ai dit, en voilà la communication présidentielle aux chouetteurs, cette communication que j'ai faite pour dire, eh ben voilà, je suis allé vérifier etc, en moi-même, j’étais encore extrêmement perturbé, parce ce que je ne savais pas comment j'allais faire pour communiquer avec vous, pour vous dire bah voilà, dans quelle direction il faut aller, etc.
J'ai essayé de le faire dans une première phase, puis il y a eu cette fameuse conférence où je me suis dit, il faut quand même que tu déballes un peu, quoi, tu ne peux pas rester comme ça, tu ne peux pas jouer avec les gens à ce point-là.
Et le jour où j'ai fait cette conférence, où j'ai dit bah y a pas de reliquat, tout ça n'existe pas.
Le jour où j'ai fait cette conférence, c'était le moment où après une première phase, je me suis dit, rentre un petit peu dans le jeu, essaye de ne pas tout casser et essaye de répondre, essaye de rentrer dans le truc quoi.
Et à un moment donné, je me suis dit tu ne peux pas continuer, là tu ne vas pas y arriver, ce n'est pas possible de soutenir, il y a des positions que tu ne peux pas soutenir, il faut que tu dises la vérité.
Et cette conférence, ça a été important pour moi, parce que c'est le moment où j'ai pu dire ben les reliquats, hein, les machins…enfin, tout ce que vous savez tous, si vous ne le savez pas, ben, vous pourrez l'écouter cette conférence, mais c'est le moment où je me suis un peu lâché en disant, écoutez, il y a vraiment des trucs, il faut que je vous le dise quoi, il y a vraiment des choses qui ne sont pas vraies.
Il faut que vous compreniez que vous vous êtes fait, d'une certaine manière, vous êtes fait balader par quelqu'un qui était un communicant, qui vous a raconté des trucs, mais ce n'est pas la vérité, ce n'est pas comme ça qu'il faut voir les choses.
(Q – Apollon : vous vous êtes rendu compte, quand vous avez fait la conférence, hein, ça a été terrible pour beaucoup de chercheurs, pour beaucoup d'anciens chercheurs, c'était une catastrophe. Vous vous en êtes rendu compte. Pourquoi ? Parce que pendant des années, on tournait d'une certaine façon, on avait des reliquats, etc. Mais apprendre ça d'un coup, c'était enfin, imaginez un petit peu. Il y en a beaucoup qui sont tombés de leur chaise. Je suis tombé de ma chaise aussi.)
MB : Est-ce qu'il vous est arrivé de penser un instant ce que moi j'avais ressenti ? Est-ce que vous pouvez penser que le jour où j'ai lu les solutions, je suis tombé de ma chaise ?