(Q - ?? : une question par rapport à ça, est-ce que dans les solutions, les Indications Supplémentaires sont expliqués ou pas ?)
MB : Non.
(Q - ?? : D'accord, parce que pour moi, dans les Indications Supplémentaires, il y a ce qu'il faut pour mettre en avant cette, pour débloquer cette chasse et notamment par rapport à cette expression, et je trouve, je pense que ça peut être dommage que vous les mettiez de côté si rapidement, que vous dites qu'il y a rien à prendre dedans parce que justement je pense que certaines Indications Supplémentaires sont là pour faire sauter ce verrou.)
MB : Écoutez, j'étais avec Max Valentin, le jour où nous avons rencontré dans leur bureau le rédacteur en chef de L'Express et un certain nombre de ses collaborateurs. Nous avons posé la chouette d'or sur le bureau et nous avons discuté avec eux du numéro spécial qu'ils allaient sortir sur notre chasse au trésor, et des numéros qu'ils allaient sortir avec des indices complémentaires sur la Chouette d’Or. Je vous dis, j'affirme, le confirme, le souligne, que les Indications Supplémentaires, c'est de la foutaise. C'est de la nourriture, c'est de la monnaie d'échange, genre, monnaie de singe pour journaliste.
Je peux faire un indice complémentaire, tu me fais 3 pages… Moi je vous dis ça aujourd'hui, il est vrai que je ne me suis pas penché sur la question puisque en ayant parlé de vive voix, en direct, en live, on est en 1993, avec Max Valentin, je sais très bien que ces indications supplémentaires, complémentaires appelez-les comme vous voulez c'est de la roupie de Sansonnet. Ça ne vaut pas une tune mais…
(Q - ?? : sauf le Tour de France ?)
MB : Attendez oui, exact, c'est tout à fait, et d'ailleurs je l'ai dit, je ne m'en suis pas privé. Pourquoi ? Parce qu’au moment où ça s'est produit, il n'était pas possible de mentir. À partir du moment où on dit tel jour le Tour de France a coupé 2 lignes, machin et cetera, on peut pas mentir ou alors là on est en dessous de tout, puis en plus on est on est au démarrage du jeu, c'est vraiment le lancement du jeu donc là il n’y a pas de place pour le mensonge, le baratin, mais après quand on commence à discuter, je ne sais pas si vous réalisez bien ce que c'est, mais quand vous discutez avec le rédacteur en chef de L'Express à l'époque, aujourd'hui, c'est plus tout à fait pareil parce que bon, internet a pris le pas sur beaucoup de choses, mais à l'époque, la presse écrite, c'était tout quoi, il n’y avait rien d'autre, il n’y avait rien de mieux.
Le rédacteur en chef de L'Express c'est pas quelqu'un qu'on rencontre comme ça. allô, est-ce que je peux rencontrer le rédacteur en chef ? Non, non, c'est quelqu'un qui est pas facile forcément à atteindre, nous, petits initiateurs d'une chasse au Trésor, on rencontre le rédacteur en chef de L'Express, qui nous reçoit dans ses bureaux avec un petit coupe de champagne sur une tonalité un petit peu hautaine, un petit peu, voilà, oui, bonsoir, alors, c'est quoi votre histoire, et cetera. Il faut se replacer dans le contexte, c'était important pour la communication. Et qu'est ce qui s'est passé ? Bah il s'est passé qu'un Max Valentin a dit bah écoutez, moi voilà, si vous me faites 3 numéros consécutifs, un numéro spécial machin, moi je vous fournis, bon ben nous on est prêt à vous faire ça, mais il faut nous donner des indications supplémentaires, il faut nous donner quelque chose.
Tout le travail des indications complémentaires était orienté vers les journalistes, pas vers les chouetteurs. À partir du moment où vous comprenez ça, moi je veux bien qu'on en parle, mais arrêtez de penser que Max Valentin a pu un jour imaginer une seconde, créer une indication supplémentaire pour aider les chouetteurs, mais il n'en avait rien à foutre.
(Q - Draz: Je suis moins cynique que ça.)
MB : Moins cynique, mais vous avez le droit, mais si vous êtes moins cynique que ça, vous êtes à côté de la plaque. Moi je l’ai vécu, je suppose pas, je suppose rien, je vous raconte ! Vous me croyez, vous ne me croyez pas, ça c’est votre droit. Moi je vous raconte, je n’imagine rien, je l’ai vécu, je sais de quoi je parle. Je vous raconte la réalité des choses, vous en faites ce que vous voulez. Si vous imaginez que les indications supplémentaires sont d’une quelconque utilité, ben vous avez le droit ! Si vous souhaitez que je m'y intéresse, je veux bien m'y intéresser, moi je veux bien, le moment venu.
MB : Non.
(Q - ?? : D'accord, parce que pour moi, dans les Indications Supplémentaires, il y a ce qu'il faut pour mettre en avant cette, pour débloquer cette chasse et notamment par rapport à cette expression, et je trouve, je pense que ça peut être dommage que vous les mettiez de côté si rapidement, que vous dites qu'il y a rien à prendre dedans parce que justement je pense que certaines Indications Supplémentaires sont là pour faire sauter ce verrou.)
MB : Écoutez, j'étais avec Max Valentin, le jour où nous avons rencontré dans leur bureau le rédacteur en chef de L'Express et un certain nombre de ses collaborateurs. Nous avons posé la chouette d'or sur le bureau et nous avons discuté avec eux du numéro spécial qu'ils allaient sortir sur notre chasse au trésor, et des numéros qu'ils allaient sortir avec des indices complémentaires sur la Chouette d’Or. Je vous dis, j'affirme, le confirme, le souligne, que les Indications Supplémentaires, c'est de la foutaise. C'est de la nourriture, c'est de la monnaie d'échange, genre, monnaie de singe pour journaliste.
Je peux faire un indice complémentaire, tu me fais 3 pages… Moi je vous dis ça aujourd'hui, il est vrai que je ne me suis pas penché sur la question puisque en ayant parlé de vive voix, en direct, en live, on est en 1993, avec Max Valentin, je sais très bien que ces indications supplémentaires, complémentaires appelez-les comme vous voulez c'est de la roupie de Sansonnet. Ça ne vaut pas une tune mais…
(Q - ?? : sauf le Tour de France ?)
MB : Attendez oui, exact, c'est tout à fait, et d'ailleurs je l'ai dit, je ne m'en suis pas privé. Pourquoi ? Parce qu’au moment où ça s'est produit, il n'était pas possible de mentir. À partir du moment où on dit tel jour le Tour de France a coupé 2 lignes, machin et cetera, on peut pas mentir ou alors là on est en dessous de tout, puis en plus on est on est au démarrage du jeu, c'est vraiment le lancement du jeu donc là il n’y a pas de place pour le mensonge, le baratin, mais après quand on commence à discuter, je ne sais pas si vous réalisez bien ce que c'est, mais quand vous discutez avec le rédacteur en chef de L'Express à l'époque, aujourd'hui, c'est plus tout à fait pareil parce que bon, internet a pris le pas sur beaucoup de choses, mais à l'époque, la presse écrite, c'était tout quoi, il n’y avait rien d'autre, il n’y avait rien de mieux.
Le rédacteur en chef de L'Express c'est pas quelqu'un qu'on rencontre comme ça. allô, est-ce que je peux rencontrer le rédacteur en chef ? Non, non, c'est quelqu'un qui est pas facile forcément à atteindre, nous, petits initiateurs d'une chasse au Trésor, on rencontre le rédacteur en chef de L'Express, qui nous reçoit dans ses bureaux avec un petit coupe de champagne sur une tonalité un petit peu hautaine, un petit peu, voilà, oui, bonsoir, alors, c'est quoi votre histoire, et cetera. Il faut se replacer dans le contexte, c'était important pour la communication. Et qu'est ce qui s'est passé ? Bah il s'est passé qu'un Max Valentin a dit bah écoutez, moi voilà, si vous me faites 3 numéros consécutifs, un numéro spécial machin, moi je vous fournis, bon ben nous on est prêt à vous faire ça, mais il faut nous donner des indications supplémentaires, il faut nous donner quelque chose.
Tout le travail des indications complémentaires était orienté vers les journalistes, pas vers les chouetteurs. À partir du moment où vous comprenez ça, moi je veux bien qu'on en parle, mais arrêtez de penser que Max Valentin a pu un jour imaginer une seconde, créer une indication supplémentaire pour aider les chouetteurs, mais il n'en avait rien à foutre.
(Q - Draz: Je suis moins cynique que ça.)
MB : Moins cynique, mais vous avez le droit, mais si vous êtes moins cynique que ça, vous êtes à côté de la plaque. Moi je l’ai vécu, je suppose pas, je suppose rien, je vous raconte ! Vous me croyez, vous ne me croyez pas, ça c’est votre droit. Moi je vous raconte, je n’imagine rien, je l’ai vécu, je sais de quoi je parle. Je vous raconte la réalité des choses, vous en faites ce que vous voulez. Si vous imaginez que les indications supplémentaires sont d’une quelconque utilité, ben vous avez le droit ! Si vous souhaitez que je m'y intéresse, je veux bien m'y intéresser, moi je veux bien, le moment venu.