Moteur de recherche & Synthèse des "Midits" sur le jeu "Sur la trace de la Chouette d'Or ®"

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13/11/2022 - Enregistrement n° 48 - 27:50 : SS - Mécanisme, logique et doute

(Q - nlc : vous avez dit celui qui va trouver la solution, en fait il ne se prendra peut-être même pas la tête à aller sur le formulaire, parce que ça sera tellement sûr pour lui, qu'il n'aura qu'une seule chose en tête c'est d'aller creuser. il n'aura aucun doute sur la super solution et pourtant il y a un vocal ou deux ou trois je ne sais plus, vous aviez bien confirmé que le doute de la 520 c'était un vrai doute, donc en quelque sorte qui consistait à avoir plusieurs options possibles en fin de compte, donc du coup ça... on est sûr, sûr ou il y a quand même un doute...?)

MB : le doute c'est comme la lumière chacun a son idée là-dessus, moi ce que je crois c'est que le mécanisme de la super solution, je préférerai dire à la limite de la solution, parce qu'en fait c'est ça, le mécanisme de la solution est tellement, comment je vais dire ça, particulier, il n'a tellement jamais été imaginé par personne, que le jour où quelqu'un va avoir ce fameux déclic dont je parle, va se dire et si c'était ça, et en voyant que ah ben oui ça donne quelque chose, je pense que là on échappe complètement à la logique de dire j'ai des doutes, j'ai pas des doutes.
Le doute dont je parle et dont parlait probablement Max Valentin au niveau de la solution, de la dernière solution, de la super solution, ce doute là c'est celui qui consiste à dire, bon j'ai compris, je viens de comprendre un truc que personne n'avait compris, qu'est-ce que je fais avec. Là il va se produire effectivement un petit doute sur la manière d'utiliser ce qu'on a compris et ce doute-là, il va très vite disparaître parce qu'il y a de la logique, parce qu'il y a des choses qui vont faire que ok on prend des options, le doute est éliminé et là on dit bah voilà c'est là.
Effectivement il y a du doute mais enfin on n'est pas non plus, le doute ne constitue pas forcément à une remise en question complète, c'est un peu là aussi où il faut être prudent dans les termes qu'on emploie. Le doute c'est de dire j'arrive à un carrefour, est-ce que je vais à gauche ou à droite, ça m'est arrivé en bagnole quand j'habitais Lyon, qu'il avait du brouillard et qu'on voyait pas à 10 mètres, d'être obligé de descendre de ma bagnole pour aller lire les panneaux, on a un doute, on ne sait plus de quel côté on doit tourner, mais on va lire les panneaux, on va comprendre un truc puis on va dire bon bah je vais de ce côté-là, c'est fini voilà.
C'est à ce niveau-là, on est on est sur du doute tout à fait viable, gérable et supportable, on n'est pas dans un doute métaphysique profond où on se dit qui suis-je...

(Q - nlc : vous avez dit les chiffres, il n'y a qu'une possibilité, c'est impossible de pouvoir les associer à autre chose, si on pense que c'est possible c'est que c'est faux et donc du coup-là c'est pour ça l'histoire du doute bon ben...)

MB : non mais c'est un doute, c'est un doute complètement gérable qui n'interfère pas avec la solution elle-même, ce doute-là il se produira. Je veux dire quand on a compris le déclic, quand on a eu le déclic, il y a encore quelques questions à se poser, il y a encore des trucs à assimiler mais ça se fait quoi, ça se fait, il n'y a pas besoin d'en parler pendant des heures quoi, ça va se faire.