(Q - Palestrina :Michel, je crois qu'on a bien compris la parabole, mais Olwman sa question en fait, si j'ai bien compris en fait ce qu'il veut vous demander, c'est quand vous faites la parabole du Groenland, est-ce que ça, c'est la même chose que cette expression qu’on rate tous, est-ce que c'est la même notion en fait ? On vous parlait du Groenland, derrière vous faites une parabole, donc vous pensez à un élément…)
MB : cette expression, elle est tellement banale…
(Q - Palestrina :cette expression c’est le Groenland, en fait, quand vous nous parlez de ça, ben en fait vous nous parliez de cette expression qu'on ne voyait pas…)
MB : le Groenland, c'est pour vous dire que, quand un communicant vous balade, si on ne vous dit pas regarde exactement là, regarde par le hublot, regarde au-dessus de quoi on est en train de voler, vous ne le voyez pas…
(Q - Palestrina : d'accord, ça c'est large, en fait l'image du Groenland parce que nous, on a associé l'image…)
MB : L'image du Groenland est plus large, vous avez raison, l'image du Groenland est plus large. L'image de l’expression, l'expression elle est tellement banale qu'on a tendance à oublier qu'elle a un autre sens que celui du sens commun. Quand j'ai parlé de frigidaire, même si je suis quelqu'un qui ne comprend pas toutes les énigmes, qui n’a pas bien saisi les finesses, qui n’a pas fait la chasse, qui n’a pas tracé les traits, qui n’est pas en mesure de tout comprendre, je ne suis pas tout à fait idiot.
Et quand je vous parle de frigidaire, c'est exactement ça, quand on vous dit aujourd'hui un frigidaire, aucun d'entre vous ne pense qu’il y a eu un Monsieur Tartempion qui a créé la marque frigidaire, qui a payé pour faire déposer la marque, qui a fabriqué ses produits, qui a vendu ses produits, qui a promu ces produits. Personne d'entre vous ne pense à ça, le frigidaire, le frigidaire, c'est le frigo, c'est le diminutif de frigidaire, Frigidaire, c'est une marque et c'est devenu quelque chose de tellement banal que plus personne aujourd'hui n'a la moindre pensée pour la personne qui a déposé cette marque, a payé cher pour la protéger et a fabriqué ses premiers frigidaires. Tout le monde a oublié ça.
MB : cette expression, elle est tellement banale…
(Q - Palestrina :cette expression c’est le Groenland, en fait, quand vous nous parlez de ça, ben en fait vous nous parliez de cette expression qu'on ne voyait pas…)
MB : le Groenland, c'est pour vous dire que, quand un communicant vous balade, si on ne vous dit pas regarde exactement là, regarde par le hublot, regarde au-dessus de quoi on est en train de voler, vous ne le voyez pas…
(Q - Palestrina : d'accord, ça c'est large, en fait l'image du Groenland parce que nous, on a associé l'image…)
MB : L'image du Groenland est plus large, vous avez raison, l'image du Groenland est plus large. L'image de l’expression, l'expression elle est tellement banale qu'on a tendance à oublier qu'elle a un autre sens que celui du sens commun. Quand j'ai parlé de frigidaire, même si je suis quelqu'un qui ne comprend pas toutes les énigmes, qui n’a pas bien saisi les finesses, qui n’a pas fait la chasse, qui n’a pas tracé les traits, qui n’est pas en mesure de tout comprendre, je ne suis pas tout à fait idiot.
Et quand je vous parle de frigidaire, c'est exactement ça, quand on vous dit aujourd'hui un frigidaire, aucun d'entre vous ne pense qu’il y a eu un Monsieur Tartempion qui a créé la marque frigidaire, qui a payé pour faire déposer la marque, qui a fabriqué ses produits, qui a vendu ses produits, qui a promu ces produits. Personne d'entre vous ne pense à ça, le frigidaire, le frigidaire, c'est le frigo, c'est le diminutif de frigidaire, Frigidaire, c'est une marque et c'est devenu quelque chose de tellement banal que plus personne aujourd'hui n'a la moindre pensée pour la personne qui a déposé cette marque, a payé cher pour la protéger et a fabriqué ses premiers frigidaires. Tout le monde a oublié ça.