(Q - Messine 4429 : est-ce que vous lisez vos messages personnels ?)
MB : J’ai lu mes MP jusqu'en décembre, là, je me suis mis à jour de toutes mes réponses, puis je me suis déconnecté. Je me suis reconnecté, aujourd'hui, je ne me suis plus connecté depuis décembre et j'ai vu que j'avais plus de 1000 messages en attente et je ne peux pas répondre, je vous le dis, moi je peux pas suivre quoi !
Mes journées ont 24h comme les vôtres, je ne peux pas répondre à des centaines de messages tous les jours, c'est absolument impossible. D'une manière générale, quand je les parcours, ce que je peux continuer de vous affirmer, c'est que la super solution elle n’est pas encore là, c'est que personne n'a eu le déclic, ça c'est une absolue certitude. Et quand je reçois des messages comme j'en reçois toutes les semaines parfois quotidiennement, des gens qui me disent, mais je suis absolument sûr de ceci, je suis absolument sûr de cela, etc. Je vois qu’aujourd'hui encore, les certitudes sont assises sur des données qui sont, comment je vais dire ça… qui s'appuient sur des notions qui ne sont plus tellement d'actualité.
Et très franchement ma démarche actuelle, c'est de dire je prends un peu de distance par rapport aux chouetteurs parce que d'une part, j'ai compris définitivement que je ne ferai pas l'unanimité, que tout le monde pouvait avoir des doutes sur ce que je peux dire et que d'une manière générale, il est extrêmement difficile voire impossible d'éradiquer des convictions à partir du moment où elles sont ancrées dans un imaginaire collectif, qu'il concernent 3000 personnes, 20000 personnes, 100000 personnes, 200000 personnes ou des millions de personnes, à partir du moment où une certaine quantité de gens ont acquis des convictions, il y a un moment où on ne pourra plus jamais les éradiquer, ces convictions, elles demeureront, elles feront surface de temps en temps, elles resteront à portée de main pour objecter que oui, mais ceci oui, mais cela donc, je l'ai compris, je l'ai admis, je l'ai accepté et par conséquent, je prends mes distances.
MB : J’ai lu mes MP jusqu'en décembre, là, je me suis mis à jour de toutes mes réponses, puis je me suis déconnecté. Je me suis reconnecté, aujourd'hui, je ne me suis plus connecté depuis décembre et j'ai vu que j'avais plus de 1000 messages en attente et je ne peux pas répondre, je vous le dis, moi je peux pas suivre quoi !
Mes journées ont 24h comme les vôtres, je ne peux pas répondre à des centaines de messages tous les jours, c'est absolument impossible. D'une manière générale, quand je les parcours, ce que je peux continuer de vous affirmer, c'est que la super solution elle n’est pas encore là, c'est que personne n'a eu le déclic, ça c'est une absolue certitude. Et quand je reçois des messages comme j'en reçois toutes les semaines parfois quotidiennement, des gens qui me disent, mais je suis absolument sûr de ceci, je suis absolument sûr de cela, etc. Je vois qu’aujourd'hui encore, les certitudes sont assises sur des données qui sont, comment je vais dire ça… qui s'appuient sur des notions qui ne sont plus tellement d'actualité.
Et très franchement ma démarche actuelle, c'est de dire je prends un peu de distance par rapport aux chouetteurs parce que d'une part, j'ai compris définitivement que je ne ferai pas l'unanimité, que tout le monde pouvait avoir des doutes sur ce que je peux dire et que d'une manière générale, il est extrêmement difficile voire impossible d'éradiquer des convictions à partir du moment où elles sont ancrées dans un imaginaire collectif, qu'il concernent 3000 personnes, 20000 personnes, 100000 personnes, 200000 personnes ou des millions de personnes, à partir du moment où une certaine quantité de gens ont acquis des convictions, il y a un moment où on ne pourra plus jamais les éradiquer, ces convictions, elles demeureront, elles feront surface de temps en temps, elles resteront à portée de main pour objecter que oui, mais ceci oui, mais cela donc, je l'ai compris, je l'ai admis, je l'ai accepté et par conséquent, je prends mes distances.