(Q – Bioposis : il n’ y a aucun problème là-dessus et ce que je disais tout à l'heure, ce n'est pas se dire, Max machin a dit, non, non, on est plein ici à mettre tout de côté, moi le premier, je vous l'ai déjà expliqué, les madits, tout ça, j’y 'ai passé ma vie, j'ai tout mis de côté. Ce que je voulais vous dire, c'est que vous nous lisez, mais vous ne nous écoutez peut-être pas. Il y a des gens ici qui ont passé Olwman, Aladore, des dizaines d'heures de soirée à chercher cette expression sans absolument prendre en compte ce qu'a dit Max Valentin avant, et on n'y arrive pas. Voilà, c'est ça que je voulais dire en fait tout à l'heure, et on n'y arrive pas.)
MB : Cette expression, vous l'avez sous le nez. Et quand je dis sous le nez, c'est peut-être encore insuffisant, c'est peut-être encore plus près que ça. Vous l'avez sous le nez, vous l'employez vous-même dans vos échanges sans vous en rendre compte. C'est une expression qui est tellement commune qu'on n'y fait plus attention. Et c'est tout le… comment dirais-je, la perversité d'un communicant, elle se situe exactement là, c'est à dire de faire passer un message à l'aide de mots qui paraissent anodins, mais qui percutent dans l'esprit et dans l'imaginaire des gens qui sont destinataires du message. Vous ne vous rendez même pas compte que vous employez des… quand je dis une expression, c'est plusieurs mots qui sont employés, qui sont toujours employés ensemble. Donc c'est une expression, c'est un ensemble de mots qu'on emploie toujours de la même manière, qui sont toujours les mêmes…et à un moment donné, on peut se dire, mais qu'est-ce que c'est que cette expression ?
J'emploie cette expression, mais ce qu'elle veut vraiment dire, et tout le problème est là, c'est que vous passez tous dessus, vous l'avez tous sous le nez, ça c'est une absolue certitude je peux vous l'affirmer. Et il y en a pas un qui se dit, mais ça veut dire quelque chose. Il y en a quelques-uns qui ont un moment donné, qui ont posé des questions dessus, qui se sont dit “mais est-ce que cette expression”….et puis elle est tellement, tellement habituelle, tellement banale que bah bon il n’y a pas de retour, il n’y a pas de réponse, Il n'y a pas vraiment de débat autour, donc on… finalement on laisse filer ça, ça rejoint ce que je vous ai dit plusieurs fois, à savoir qu'il y a des chouetteurs qui ont en main des éléments déterminants et soit qui ne s'en rendent pas compte, soit qui ne veulent pas le croire.
MB : Cette expression, vous l'avez sous le nez. Et quand je dis sous le nez, c'est peut-être encore insuffisant, c'est peut-être encore plus près que ça. Vous l'avez sous le nez, vous l'employez vous-même dans vos échanges sans vous en rendre compte. C'est une expression qui est tellement commune qu'on n'y fait plus attention. Et c'est tout le… comment dirais-je, la perversité d'un communicant, elle se situe exactement là, c'est à dire de faire passer un message à l'aide de mots qui paraissent anodins, mais qui percutent dans l'esprit et dans l'imaginaire des gens qui sont destinataires du message. Vous ne vous rendez même pas compte que vous employez des… quand je dis une expression, c'est plusieurs mots qui sont employés, qui sont toujours employés ensemble. Donc c'est une expression, c'est un ensemble de mots qu'on emploie toujours de la même manière, qui sont toujours les mêmes…et à un moment donné, on peut se dire, mais qu'est-ce que c'est que cette expression ?
J'emploie cette expression, mais ce qu'elle veut vraiment dire, et tout le problème est là, c'est que vous passez tous dessus, vous l'avez tous sous le nez, ça c'est une absolue certitude je peux vous l'affirmer. Et il y en a pas un qui se dit, mais ça veut dire quelque chose. Il y en a quelques-uns qui ont un moment donné, qui ont posé des questions dessus, qui se sont dit “mais est-ce que cette expression”….et puis elle est tellement, tellement habituelle, tellement banale que bah bon il n’y a pas de retour, il n’y a pas de réponse, Il n'y a pas vraiment de débat autour, donc on… finalement on laisse filer ça, ça rejoint ce que je vous ai dit plusieurs fois, à savoir qu'il y a des chouetteurs qui ont en main des éléments déterminants et soit qui ne s'en rendent pas compte, soit qui ne veulent pas le croire.