(Q - MacDo : ce n’était pas du tout l’objet de mon propos, je voulais juste comprendre pourquoi vous, effectivement vous soulignez le fait qu’il y a des chasseurs qui sont sur le bon chemin, la bonne voie et que tout avance bien, mais dans le même temps, vous nous avez dit aussi tout à l’heure “mais les amis là il y a vraiment un blocage. Il va falloir que vous vous “resetiez” le cerveau, que vous arrêtiez de lire les QR, parce que tout ça vous bloque”. Il est là pour moi le paradoxe, parce que finalement, ceux qui sont sur le bon chemin n’ont pas été bloqués par tout ça, finalement donc à quoi bon faire fi de tout ça parce que pour eux, ça ne les a pas bloqués. Je ne sais pas si c’est plus clair ce que j’essaie de vous dire.)
MB : Je vais vous raconter une petite anecdote qui date de l’époque où j’habitais à Monaco et où j’ai eu l’occasion de rencontrer maintes et maintes fois un garçon qui s’appelait Michel Pastor, qui est mort aujourd’hui, qui était multimilliardaire, qui était un des personnages les plus en vue à Monaco, et je me souviens d’une fois, ça m’est revenu tardivement, je me souviens d’une fois où il m’avait parlé de Madoff, à une époque où Madoff n’était pas du tout suspect de quoi que ce soit, et où il m’avait dit avoir placé quelques centaines de millions chez Madoff. Bha qu’il a dû perdre. Bon, il est mort aujourd’hui donc paix à son âme. Peu importe, ce n'est pas le sujet.
Le sujet c’est Madoff, c’est le fait que, face à des gens, je parle donc de la, je parle de Michel Pastor, c’est-à-dire d’un multimilliardaire, d’une des sommités monégasque, de quelqu’un qui était réputé pour être un grand homme d’affaire etc, tout ce que vous voudrez, et qui me parlait de Madoff, Madoff, qui est aujourd’hui, on sait aujourd’hui que c’était un escroc, que tout était du pipeau etc.. et qui était très fier de me dire qu’il détenait un certain nombre d’actifs chez Madoff. Ce qui n’était pas permis à tout le monde d’ailleurs. Certains déploraient de ne pas avoir eu la chance d’investir chez Madoff à l’époque.
Et bien je rapproche Madoff de Max Valentin, c'est-à-dire d’un personnage fictif, de quelqu’un qui laisse passer la notion d’un univers d’un monde merveilleux, quelque part de quelque chose de totalement au-delà du commun. Là, quand on parle de Madoff, on parlait de placement mirobolant etc.. Quand on parle de Max Valentin on parle d’une intelligence supérieure. On parle de quelqu’un qui aurait réussi à concevoir des énigmes tellement exceptionnelles, à un degré, 2e degré; 3e degré, 4e degré, 5e degré, à des niveaux d’interprétation sans fin. Tout ça a une influence sur l’imaginaire et sur le mental.
On est fasciné, tout le monde est fasciné, moi j’ai été fasciné par Max Valentin, le personnage de Max Valentin, au début, m’a fasciné. je me suis dit ce type, bravo quoi, chapeau c'est extra quoi ! Jusqu’au moment où j’ai compris qui était réellement Max Valentin. C’est vraiment notre débat à nous. C’est à dire que moi j’essaie depuis plus d’un an de vous dire revenez sur terre,
Et vous êtes toujours, toujours, toujours, en train de me questionner, de rapprocher mes propos de ce qu’a pu dire un personnage idéalisé, fictif, qui n'existe pas, qui n’a jamais existé, qui n'existera jamais. Et vous êtes toujours en train de faire ce genre de parallèle, qui fait que ce que je peux dire peut apparaître comme trivial, comme étant un peu sujet à caution, un peut difficile à admettre, mais moi je suis dans le réel avec vous, je suis dans le réel, je suis aujourd’hui, je suis maintenant, je suis dans le concret, je suis dans le présent, et vous vous comparez ce que je dis et ce que je fais avec des choses qui sont complètement virtuelles, imaginaires embellies, idéalisées etc… C’est ça la problématique.
MB : Je vais vous raconter une petite anecdote qui date de l’époque où j’habitais à Monaco et où j’ai eu l’occasion de rencontrer maintes et maintes fois un garçon qui s’appelait Michel Pastor, qui est mort aujourd’hui, qui était multimilliardaire, qui était un des personnages les plus en vue à Monaco, et je me souviens d’une fois, ça m’est revenu tardivement, je me souviens d’une fois où il m’avait parlé de Madoff, à une époque où Madoff n’était pas du tout suspect de quoi que ce soit, et où il m’avait dit avoir placé quelques centaines de millions chez Madoff. Bha qu’il a dû perdre. Bon, il est mort aujourd’hui donc paix à son âme. Peu importe, ce n'est pas le sujet.
Le sujet c’est Madoff, c’est le fait que, face à des gens, je parle donc de la, je parle de Michel Pastor, c’est-à-dire d’un multimilliardaire, d’une des sommités monégasque, de quelqu’un qui était réputé pour être un grand homme d’affaire etc, tout ce que vous voudrez, et qui me parlait de Madoff, Madoff, qui est aujourd’hui, on sait aujourd’hui que c’était un escroc, que tout était du pipeau etc.. et qui était très fier de me dire qu’il détenait un certain nombre d’actifs chez Madoff. Ce qui n’était pas permis à tout le monde d’ailleurs. Certains déploraient de ne pas avoir eu la chance d’investir chez Madoff à l’époque.
Et bien je rapproche Madoff de Max Valentin, c'est-à-dire d’un personnage fictif, de quelqu’un qui laisse passer la notion d’un univers d’un monde merveilleux, quelque part de quelque chose de totalement au-delà du commun. Là, quand on parle de Madoff, on parlait de placement mirobolant etc.. Quand on parle de Max Valentin on parle d’une intelligence supérieure. On parle de quelqu’un qui aurait réussi à concevoir des énigmes tellement exceptionnelles, à un degré, 2e degré; 3e degré, 4e degré, 5e degré, à des niveaux d’interprétation sans fin. Tout ça a une influence sur l’imaginaire et sur le mental.
On est fasciné, tout le monde est fasciné, moi j’ai été fasciné par Max Valentin, le personnage de Max Valentin, au début, m’a fasciné. je me suis dit ce type, bravo quoi, chapeau c'est extra quoi ! Jusqu’au moment où j’ai compris qui était réellement Max Valentin. C’est vraiment notre débat à nous. C’est à dire que moi j’essaie depuis plus d’un an de vous dire revenez sur terre,
Et vous êtes toujours, toujours, toujours, en train de me questionner, de rapprocher mes propos de ce qu’a pu dire un personnage idéalisé, fictif, qui n'existe pas, qui n’a jamais existé, qui n'existera jamais. Et vous êtes toujours en train de faire ce genre de parallèle, qui fait que ce que je peux dire peut apparaître comme trivial, comme étant un peu sujet à caution, un peut difficile à admettre, mais moi je suis dans le réel avec vous, je suis dans le réel, je suis aujourd’hui, je suis maintenant, je suis dans le concret, je suis dans le présent, et vous vous comparez ce que je dis et ce que je fais avec des choses qui sont complètement virtuelles, imaginaires embellies, idéalisées etc… C’est ça la problématique.