(Q - ?? : bonjour Michel, j'aurai une question administrative. Disons qu'il n’y a plus de doute au niveau de l'énigme, mais j'ai un dernier doute, c'est celui de creuser dans le sens où, est-ce que la cache, vous avez bien vérifié qu'elle était en dehors d'un périmètre de protection archéologique…)
MB : est-ce que je vous donne l'impression d'être un mec un peu limite, un peu débile, un peu limité ou je ne sais quoi ? Est-ce que vous pensez que ce genre de truc a pu m'échapper ? Bien entendu, non, non, cette question ne se pose pas, et si on veut…Alors si on veut être rigoureux, le fait d'aller creuser ou que ce soit en France, dans un terrain quelconque qui soit du domaine public, c'est pas forcément euh… accepté, légal, je ne connais pas forcément à fond la législation là-dessus, mais on peut considérer qu'il est pas forcément permis en France d'aller faire des trous où on veut comme ça.
(Q - ?? : Voilà maintenant surtout que des zones archéologiques y en a quasiment partout, partout, partout la moindre borne la moindre…)
MB : Non, il n’y en a pas partout, partout, partout, il y en a dans certains endroits et ce qui est très vicelard puisque je m'en suis entretenu avec les services d'archéologie, c'est que il existe effectivement des cartes très précises sur les sites qui sont archéologiquement parlant sensibles où intéressants. Il existe des cartes, mais elles ne sont pas communiquées, pour éviter que les pilleurs puissent s’en servir tout simplement. Si on communique une carte en disant telle ou telle zone est sensible, bah évidemment les pilleurs vont s'y intéresser. Donc elles ne sont pas communiquées.
(Q - ?? : Alors si, sur le site du gouvernement justement, sur culture.gouv, on retrouve toutes les cartes, de toutes les régions. Tout est répertorié, tous les monuments sont répertoriés avec les différents types de protection qu’il y a autour.)
MB : Oui, mais les monuments, mais pas les zones où il pourrait y avoir des choses et qu’on ne sait pas qu’elles y sont. Non, il y a des informations sensibles en matière archéologique qui ne sont pas du tout publiques. Ça m'a été confirmé. Enfin, je veux dire ça m’a été expliqué par quelqu’un qui fait partie des services d'archéologie, donc j’ai aucune raison de mettre en doute. Et puis, je le comprends très bien, si on fournit toutes les informations sur des sites potentiellement intéressants, à ce moment-là il est évident que les pilleurs vont se précipiter. C’est difficile de protéger l’intégralité du territoire, surtout les sites qui peuvent être potentiellement intéressants. Il faut être clair là-dessus. On comprend bien. Cela dit, le site qui nous intéresse, la cache, n'est pas sur un site à haut degré de sensibilité. Voilà, calmez-vous, ce n’est pas forcément hyper légal d’aller y faire un trou, c’est pas pour ça que vous allez vous retrouver avec les menottes parce que vous serez allé creuser à cet endroit-là. Il faut rester calme.
(Q - Aladore : on peut, Michel, parce qu’aujourd’hui il y a par exemple des jeux de géocaching, où il y a des objets, des boîtes qui sont enterrés. Et en fait, on n’a pas le droit effectivement de creuser pour trouver des objets archéologiques mais on a le droit de creuser pour trouver un objet qui a été enterré pour un jeu. On voit bien que pour le géocaching, ça fonctionne.)
MB : Oui de toute façon je vais vous dire, je vais vous rassurer, qui ira creuser sur la cache et sortira la contremarque se fera applaudir par tout le monde. Et au niveau local, il n' y aura aucune, aucune, aucune, contre-indications. Soyez tranquille.
(Q - BuBzZz : vous avez dit que vous serez prévenu de l'arrivée d’un chouetteur sur la cache, j’ai du mal à comprendre comment vous pourriez être si rapidement appelé. C’est un mystère que je n’ai pas encore résolu dans vos Midits.)
MB : C’est ce qui fait mon charme hein, c’est que je suis environné de mystère. Il faut vous y faire !
MB : est-ce que je vous donne l'impression d'être un mec un peu limite, un peu débile, un peu limité ou je ne sais quoi ? Est-ce que vous pensez que ce genre de truc a pu m'échapper ? Bien entendu, non, non, cette question ne se pose pas, et si on veut…Alors si on veut être rigoureux, le fait d'aller creuser ou que ce soit en France, dans un terrain quelconque qui soit du domaine public, c'est pas forcément euh… accepté, légal, je ne connais pas forcément à fond la législation là-dessus, mais on peut considérer qu'il est pas forcément permis en France d'aller faire des trous où on veut comme ça.
(Q - ?? : Voilà maintenant surtout que des zones archéologiques y en a quasiment partout, partout, partout la moindre borne la moindre…)
MB : Non, il n’y en a pas partout, partout, partout, il y en a dans certains endroits et ce qui est très vicelard puisque je m'en suis entretenu avec les services d'archéologie, c'est que il existe effectivement des cartes très précises sur les sites qui sont archéologiquement parlant sensibles où intéressants. Il existe des cartes, mais elles ne sont pas communiquées, pour éviter que les pilleurs puissent s’en servir tout simplement. Si on communique une carte en disant telle ou telle zone est sensible, bah évidemment les pilleurs vont s'y intéresser. Donc elles ne sont pas communiquées.
(Q - ?? : Alors si, sur le site du gouvernement justement, sur culture.gouv, on retrouve toutes les cartes, de toutes les régions. Tout est répertorié, tous les monuments sont répertoriés avec les différents types de protection qu’il y a autour.)
MB : Oui, mais les monuments, mais pas les zones où il pourrait y avoir des choses et qu’on ne sait pas qu’elles y sont. Non, il y a des informations sensibles en matière archéologique qui ne sont pas du tout publiques. Ça m'a été confirmé. Enfin, je veux dire ça m’a été expliqué par quelqu’un qui fait partie des services d'archéologie, donc j’ai aucune raison de mettre en doute. Et puis, je le comprends très bien, si on fournit toutes les informations sur des sites potentiellement intéressants, à ce moment-là il est évident que les pilleurs vont se précipiter. C’est difficile de protéger l’intégralité du territoire, surtout les sites qui peuvent être potentiellement intéressants. Il faut être clair là-dessus. On comprend bien. Cela dit, le site qui nous intéresse, la cache, n'est pas sur un site à haut degré de sensibilité. Voilà, calmez-vous, ce n’est pas forcément hyper légal d’aller y faire un trou, c’est pas pour ça que vous allez vous retrouver avec les menottes parce que vous serez allé creuser à cet endroit-là. Il faut rester calme.
(Q - Aladore : on peut, Michel, parce qu’aujourd’hui il y a par exemple des jeux de géocaching, où il y a des objets, des boîtes qui sont enterrés. Et en fait, on n’a pas le droit effectivement de creuser pour trouver des objets archéologiques mais on a le droit de creuser pour trouver un objet qui a été enterré pour un jeu. On voit bien que pour le géocaching, ça fonctionne.)
MB : Oui de toute façon je vais vous dire, je vais vous rassurer, qui ira creuser sur la cache et sortira la contremarque se fera applaudir par tout le monde. Et au niveau local, il n' y aura aucune, aucune, aucune, contre-indications. Soyez tranquille.
(Q - BuBzZz : vous avez dit que vous serez prévenu de l'arrivée d’un chouetteur sur la cache, j’ai du mal à comprendre comment vous pourriez être si rapidement appelé. C’est un mystère que je n’ai pas encore résolu dans vos Midits.)
MB : C’est ce qui fait mon charme hein, c’est que je suis environné de mystère. Il faut vous y faire !