(Q - Flo : Ce n’est pas du tout ce que je vous suggère. Je pense que vous en avez conscience ?)
MB : Non, non, j'ai compris la question, c'était un préambule. Mais par rapport à votre question et à ce que vous évoquez… C'est rigolo parce que je le dis, je le répète, et j'ai bien conscience qu’on ne me comprend pas et on ne m'écoute pas sur ce point-là. La chasse est dans une situation aujourd'hui qui fait qu’on ne peut pas parler… On ne peut pas comparer la Chouette d'Or à l’Or de Sipan, à je sais pas quoi, les nouvelles chasses qui se sont lancées, ou… Toutes ces chasses au Trésor organisées qui ont cours aujourd'hui, ça n'a strictement, croyez-moi, hein, ça n’a strictement rien à voir avec la Chouette d'Or. La Chouette d'or c'est vraiment une…, c'est une aventure qui aujourd'hui se trouve dans une situation où je me permets de dire, je me suis permis de dire que le jour où elle va être trouvée, ça fera le tour du monde. On est dans une situation complètement exceptionnelle, inattendue, à peine croyable. La situation du jeu… [Flo : je comprends] Non, vous ne pouvez pas comprendre, vous pouvez me croire, mais vous ne pouvez pas vraiment comprendre, mais…
(Q - Flo : justement c’est ce que je disais, c'est-à-dire… je vous crois, mais je ne comprends pas du tout en quoi ça a un lien avec ce que je vous ai présenté.)
MB : Voilà alors ce que je veux dire, c'est que contrairement à ce que vous pensez, il ne m'est pas possible de dire vraiment plus sans déflorer le jeu. Parce qu'on est à un stade où si quelqu'un en vient à comprendre ce qu'est la super solution, il va se dire “mais… Mais c'est pas possible !”, comme moi je me le suis dit. Croyez bien que le moment où j'ai eu les solutions en main, le jour où j'ai décrypté, fini de décrypter le texte et où je me suis dit : ”Ouah ! Elle est là !”, ce jour-là, je me suis dit : “Bah dis donc, quelle histoire ! Mais quelle histoire !”
Et franchement, c'est difficile aujourd'hui d'aller plus loin que ce que j'ai fait. Je comprends complètement que des gens m'en veuillent, que certains m'écrivent des choses peu agréables parce qu'ils estiment que je fais de l'humour là où il ne faudrait pas en faire ou des choses comme ça… Je comprends tout ça. Mais ça ne me donne pas pour autant plus de latitude pour intervenir. Et franchement, je crois que tout ce que j'ai mis en œuvre pour sincèrement, pour aider les chouetteurs, pour essayer de réorienter les réflexions… Je pense qu'il est difficile de faire davantage, et je maintiens que effectivement aujourd'hui les débats, les réflexions, les discussions, les échanges sont orientés d'une manière très très différente de ce qui se faisait jusqu'à présent, tel qu'on peut le retracer facilement sur les forums, par exemple, de l’A2CO et d'autres. Aujourd'hui, les réflexions sont très différentes.
(Q - Gringos : là c'est un peu les adieux de Michel, du coup, il n’y aura plus besoin de vocaux, alors ?)
MB : je n’en sais rien, c'est pareil, c'est vraiment un truc… Moi je découvre ça, je suis aujourd'hui dans un rôle de… entre guillemets de maître du jeu que je n’avais jamais envisagé. Franchement, je n'ai jamais imaginé me placer dans une telle position, me trouver dans une telle position aujourd'hui, malgré moi, en quelque sorte. J'ai voulu relancer le jeu, mais je n'ai pas voulu être un maître du jeu, être un maître à penser, être quelqu'un dont on boit les paroles et dont on attend la parole comme si c'était celle du Messie. Pas du tout. C'est vraiment pas mon truc, mais ben j'y suis malgré moi. Je me rends bien compte que je n'ai pas vraiment le choix.
Et cette position que j'ai aujourd'hui me fait mesurer deux choses : elle me fait mesurer d'abord comment un Max Valentin a pu grandir, a pu croître, a pu devenir ce qu'il est devenu parce que je conçois très bien que ça puisse griser quelqu'un. J'aurais 40 ans aujourd'hui, je prendrais mon pied. Je me dirais : “Putain, j'ai une communauté de 3 000 personnes, j'en fais ce que je veux, je leur dis un truc ils réfléchissent pendant 6 mois”, je pourrais jouer avec ça. Mais bon j'ai 73 ans, j'en ai rien à foutre de montrer ma gueule à la télé et tout ça… Je m'en tape, c'est vraiment pas mon débat, c'est vraiment pas ma préoccupation.
Ma préoccupation aujourd'hui, c'est de dire la vérité sur l'histoire, c'est qu'elle soit pérennisée dans sa réalité et non pas à travers des suppositions ou des rumeurs. Et je me rends compte que tous nos échanges aujourd'hui conduisent à essayer plus ou moins de retrouver l'ambiance des madits, de retrouver un nouveau Max Valentin qui va délivrer des propos qui vont fournir quelques indices, etc. Et moi je m'y refuse totalement, je ne veux pas le faire, je ne l'ai jamais fait, ça n'a jamais été mon intention.
MB : Non, non, j'ai compris la question, c'était un préambule. Mais par rapport à votre question et à ce que vous évoquez… C'est rigolo parce que je le dis, je le répète, et j'ai bien conscience qu’on ne me comprend pas et on ne m'écoute pas sur ce point-là. La chasse est dans une situation aujourd'hui qui fait qu’on ne peut pas parler… On ne peut pas comparer la Chouette d'Or à l’Or de Sipan, à je sais pas quoi, les nouvelles chasses qui se sont lancées, ou… Toutes ces chasses au Trésor organisées qui ont cours aujourd'hui, ça n'a strictement, croyez-moi, hein, ça n’a strictement rien à voir avec la Chouette d'Or. La Chouette d'or c'est vraiment une…, c'est une aventure qui aujourd'hui se trouve dans une situation où je me permets de dire, je me suis permis de dire que le jour où elle va être trouvée, ça fera le tour du monde. On est dans une situation complètement exceptionnelle, inattendue, à peine croyable. La situation du jeu… [Flo : je comprends] Non, vous ne pouvez pas comprendre, vous pouvez me croire, mais vous ne pouvez pas vraiment comprendre, mais…
(Q - Flo : justement c’est ce que je disais, c'est-à-dire… je vous crois, mais je ne comprends pas du tout en quoi ça a un lien avec ce que je vous ai présenté.)
MB : Voilà alors ce que je veux dire, c'est que contrairement à ce que vous pensez, il ne m'est pas possible de dire vraiment plus sans déflorer le jeu. Parce qu'on est à un stade où si quelqu'un en vient à comprendre ce qu'est la super solution, il va se dire “mais… Mais c'est pas possible !”, comme moi je me le suis dit. Croyez bien que le moment où j'ai eu les solutions en main, le jour où j'ai décrypté, fini de décrypter le texte et où je me suis dit : ”Ouah ! Elle est là !”, ce jour-là, je me suis dit : “Bah dis donc, quelle histoire ! Mais quelle histoire !”
Et franchement, c'est difficile aujourd'hui d'aller plus loin que ce que j'ai fait. Je comprends complètement que des gens m'en veuillent, que certains m'écrivent des choses peu agréables parce qu'ils estiment que je fais de l'humour là où il ne faudrait pas en faire ou des choses comme ça… Je comprends tout ça. Mais ça ne me donne pas pour autant plus de latitude pour intervenir. Et franchement, je crois que tout ce que j'ai mis en œuvre pour sincèrement, pour aider les chouetteurs, pour essayer de réorienter les réflexions… Je pense qu'il est difficile de faire davantage, et je maintiens que effectivement aujourd'hui les débats, les réflexions, les discussions, les échanges sont orientés d'une manière très très différente de ce qui se faisait jusqu'à présent, tel qu'on peut le retracer facilement sur les forums, par exemple, de l’A2CO et d'autres. Aujourd'hui, les réflexions sont très différentes.
(Q - Gringos : là c'est un peu les adieux de Michel, du coup, il n’y aura plus besoin de vocaux, alors ?)
MB : je n’en sais rien, c'est pareil, c'est vraiment un truc… Moi je découvre ça, je suis aujourd'hui dans un rôle de… entre guillemets de maître du jeu que je n’avais jamais envisagé. Franchement, je n'ai jamais imaginé me placer dans une telle position, me trouver dans une telle position aujourd'hui, malgré moi, en quelque sorte. J'ai voulu relancer le jeu, mais je n'ai pas voulu être un maître du jeu, être un maître à penser, être quelqu'un dont on boit les paroles et dont on attend la parole comme si c'était celle du Messie. Pas du tout. C'est vraiment pas mon truc, mais ben j'y suis malgré moi. Je me rends bien compte que je n'ai pas vraiment le choix.
Et cette position que j'ai aujourd'hui me fait mesurer deux choses : elle me fait mesurer d'abord comment un Max Valentin a pu grandir, a pu croître, a pu devenir ce qu'il est devenu parce que je conçois très bien que ça puisse griser quelqu'un. J'aurais 40 ans aujourd'hui, je prendrais mon pied. Je me dirais : “Putain, j'ai une communauté de 3 000 personnes, j'en fais ce que je veux, je leur dis un truc ils réfléchissent pendant 6 mois”, je pourrais jouer avec ça. Mais bon j'ai 73 ans, j'en ai rien à foutre de montrer ma gueule à la télé et tout ça… Je m'en tape, c'est vraiment pas mon débat, c'est vraiment pas ma préoccupation.
Ma préoccupation aujourd'hui, c'est de dire la vérité sur l'histoire, c'est qu'elle soit pérennisée dans sa réalité et non pas à travers des suppositions ou des rumeurs. Et je me rends compte que tous nos échanges aujourd'hui conduisent à essayer plus ou moins de retrouver l'ambiance des madits, de retrouver un nouveau Max Valentin qui va délivrer des propos qui vont fournir quelques indices, etc. Et moi je m'y refuse totalement, je ne veux pas le faire, je ne l'ai jamais fait, ça n'a jamais été mon intention.