(Q - ?? : D'ailleurs, Michel, en parlant de promesses, vous avez pu refaire les traces sur la carte ou pas ?)
MB : j'aurais pu et au moment de le faire, je n'ai pas eu envie. Je suis insupportable, hein ? Non mais sérieusement, je suis insupportable, mais je sais que je le ferai, mais quelque part, je me dis, je le ferai comme ça, le jour ça va me prendre mais j'en ai un peu envie là quelque part.
Ca commence à me titiller, je crois que je vais vraiment le faire.
(Q – Roc : j'en profite, Michel, pour vous dire, pour vous rappeler que vous aviez dit que seulement 2 tracés étaient importants finalement dans la chasse.)
MB : Oui, rappelez-moi ce que je dis parce que j'oublie facilement…
(Q – Roc : oui, alors vous avez dit qu’il y a seulement 2 tracés qui comptent pour identifier le point où on doit atterrir, ça c'est en février ou en mars.)
MB : Oui, je me souviens, je l'ai dit et j'en suis toujours convaincu et je ne pourrais le confirmer que quand j'aurais fait les traits moi-même sur la carte, mais à priori, oui, je pense que c'est vraiment ça.
À priori, ça veut dire avant d'avoir fait les traits sur la carte, mais j'ai de bonnes raisons de penser qu'effectivement, 2 traits sont indispensables.
(Q - ?? : Dans la première carte et la 2ème, ou que la première ?)
(Q – Roc : Je parle de la première…)
MB : on essaye, on essaye, qui ne tente rien n’a rien.
Bon, allez, on va se faire la bise, on va aller dormir un peu, ouh là là, mais ça bastonne là ce soir, les images.
À la vache, c'est de vous, c'est la dernière.
(Q – Belou : On veut vous changer les idées comme ça on repart sur 2h encore.)
MB : La dernière, c'est une toile qui fait 2 mètres par 3, et ça, c'était d'une série sur l'opéra Lucia di Lammermoor, et j'avais exposé ça à l'opéra d'Avignon en 88 je crois de mémoire, je l'avais fait toute une série qui avait été exposée au foyer de l'opéra d'Avignon et j'avais eu l'immense plaisir d'assister à toutes les répétitions et à toutes les représentations. Ça avait été un grand bonheur pour moi. Je m'étais baladé dans les coulisses, j'avais pu tout voir, c'était passionnant.
MB : j'aurais pu et au moment de le faire, je n'ai pas eu envie. Je suis insupportable, hein ? Non mais sérieusement, je suis insupportable, mais je sais que je le ferai, mais quelque part, je me dis, je le ferai comme ça, le jour ça va me prendre mais j'en ai un peu envie là quelque part.
Ca commence à me titiller, je crois que je vais vraiment le faire.
(Q – Roc : j'en profite, Michel, pour vous dire, pour vous rappeler que vous aviez dit que seulement 2 tracés étaient importants finalement dans la chasse.)
MB : Oui, rappelez-moi ce que je dis parce que j'oublie facilement…
(Q – Roc : oui, alors vous avez dit qu’il y a seulement 2 tracés qui comptent pour identifier le point où on doit atterrir, ça c'est en février ou en mars.)
MB : Oui, je me souviens, je l'ai dit et j'en suis toujours convaincu et je ne pourrais le confirmer que quand j'aurais fait les traits moi-même sur la carte, mais à priori, oui, je pense que c'est vraiment ça.
À priori, ça veut dire avant d'avoir fait les traits sur la carte, mais j'ai de bonnes raisons de penser qu'effectivement, 2 traits sont indispensables.
(Q - ?? : Dans la première carte et la 2ème, ou que la première ?)
(Q – Roc : Je parle de la première…)
MB : on essaye, on essaye, qui ne tente rien n’a rien.
Bon, allez, on va se faire la bise, on va aller dormir un peu, ouh là là, mais ça bastonne là ce soir, les images.
À la vache, c'est de vous, c'est la dernière.
(Q – Belou : On veut vous changer les idées comme ça on repart sur 2h encore.)
MB : La dernière, c'est une toile qui fait 2 mètres par 3, et ça, c'était d'une série sur l'opéra Lucia di Lammermoor, et j'avais exposé ça à l'opéra d'Avignon en 88 je crois de mémoire, je l'avais fait toute une série qui avait été exposée au foyer de l'opéra d'Avignon et j'avais eu l'immense plaisir d'assister à toutes les répétitions et à toutes les représentations. Ça avait été un grand bonheur pour moi. Je m'étais baladé dans les coulisses, j'avais pu tout voir, c'était passionnant.